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CM du 25 septembre : archives audiovisuelle, Saint Julien, gôche locale en voie de décomposition...

JC Gruau vous avez participé au dernier conseil municipal où l'on vous a entendu plusieurs fois défendre vos thèmes favoris. Eh oui, mon récent éloignement de Laval pour des raisons professionnelles ne m'empêche pas, contrairement à l'un de mes adversaires de 2014, Monsieur Boyer pour ne pas le citer, de rester sur le ring de la place du 11-Novembre, pour défendre les idées auxquelles je crois... Je ne me suis pas lancé dans la bataille politique par accident, ou pour gagner de l'argent...

Vous avez tenu à dire deux mots sur la puissance acquise par Laval Agglo, après que le maire eut évoqué le bilan  2016 de cette collectivité de plus en plus tentaculaire mais que les citoyens n'aiment guère. Voilà ce que j'ai dit textuellement sans que cela ne suscite la moindre réponse de François 1er :  

« Tourisme, sport, développement économique, environnement, etc. Laval Agglo s'occupe de tout ou presque ! Et continue d'étendre ses compétences, ce qui est écrit noir sur blanc dans le rapport que nous avons reçu, dans le chapitre "Laval Agglomération : une collectivité compétente".

Comme tout le monde  je prends acte, contraint et forcé, de cette évolution liée aux exigences de notre société technicienne qui privilégie en toute chose le principe de précaution, les mises aux normes, la novlangue orwellienne, les grands thèmes chers au Nouvel Ordre du Monde qui se met en place à la vitesse grand V et qui nous habitue progressivement à vivre dans un univers d'assistés incapables d'émettre une pensée personnelle, un avis un tantinet original et frappé au coin du bon sens, je prends acte de cette évolution mais je pose la question : à quoi servent encore les mairies ? Quels sont leurs pôles de compétences, leurs pouvoirs aujourd'hui ?

En clair, à quoi servons-nous, à part marier les hommes et les femmes qui ont décidé de s'unir devant Marianne 5 "pour le meilleur et pour le pire".

Je pense qu'il serait temps de mener une réflexion sur le sujet et, si besoin est, d'éliminer carrément les mairies du mille-feuilles administratifs si coûteux...»

Pas de réponse du maire-président ? Aucune, comme d'habitude, mes réflexions ne l'intéressent pas.

Du reste, il n'a pas répondu non plus quand vous avez évoqué les festivités de fin d'année... Non, mais le programme de la fin d'année 2017 étant formulé avec la même phrase politiquement correcte  que l'an passé ("et de toute autre opération répondant à l'esprit des fêtes de fin d'année et pouvant trouver sa place dans le programme des animations proposées"), j'ai tenu à dire que j'en avais déduis qu'il y aura, cette année encore, une crèche municipale à La Perrine ou ailleurs... Et ai souhaité remercier le maire-président au nom de tous les Lavallois qui souhaitent que la fête de Noël garde tout son sens...

Une bonne chose de faite ! Oui, car nous devons absolument maintenir nos traditions chrétiennes, surtout quand le calendrier l'impose.

Ensuite vous avez approuvé la mise en oeuvre d'un plan de conservation et de valorisation des archives audiovisuelles. Et comment ! Car en tant que "vieux" Lavallois passionné par l'histoire réelle de sa «petite patrie», je ne peux qu'être favorable à cette installation. Et je le suis d'autant plus que la consultation de ces archives nous démontrera de manière nette et sans bavure que le grand remplacement de population que je dénonce inlassablement depuis des années est en marche, chez nous comme partout ailleurs...

J'ai dénoncé l'africanisation de Laval durant la campagne des dernières municipales et le ferai de nouveau, si Dieu me prête vie, lors de la prochaine car le phénomène se poursuit de semaine en semaine...

Il est évident que j'aurai un vif plaisir à me fournir en "preuves", si j'ose dire "officielles" auprès de vos archives où les Lavallois représentés formaient un peuple homogène, le peuple qui a permis à la France de devenir ce qu'elle est - ou, plus précisément, ce qu'elle était.

Merci donc à la Municipalité  de m'offrir, via ces archives, des arguments en béton armée pour les prochaines municipales, et des arguments qui seront d'autant plus percutants qu'ils n'exigent aucun effort intellectuel pour être absorbés : un seul regard suffira... 

Concernant Saint-Julien, même son de cloche : vous avez remercié la Mairie. Bien sûr ! Des logements neufs, des locaux destinés au commerce, une résidence séniors,  un internat, sans oublier l'entretien d'une superbe chapelle qui pourra également retrouver son usage d'origine et ce d'autant plus facilement qu'elle n'a jamais été désaffectée...

C'est peu dire que ce projet est excellent pour le centre-ville de Laval car il va enfin permettre de garnir un espace que l'on pouvait craindre tôt ou tard de voir occupé par ces fameux « migrants » que le maire-président aime tant parce qu'il vit loin d'eux...

Ouest-France, le lendemain, via la plume de Jérôme Bezannier, signalait que l'un de vos frères était « dans le coup » et le Courrier de la Mayenne, lui, trois jours plus tard, via la plume de Kristell Le Gall, revenant sur cet engagement, se demandait si vous auriez pu être contre ce projet... Que mon frère soit ou non dans le coup dans la SCI Saint-Julien ne change rien à ce que je pense de ce projet. En revanche, si le frangin s'était engagé dans un projet immobilier pour gagner de l'argent (ce qui en soi n'a rien de condamnable, cela dit), je n'aurais pas pris la parole pour approuver ce projet. Les motivations de mon frère dans cette affaire ne sont pas financières et le temps qu'il a passé depuis plusieurs années pour affiner ce projet sur le plan juridique n'ont rien à voir avec une rentabilité quelconque. Maintenant, ce n'est pas trahir un secret que de dire que mon frère en question et moi-même avons, grosso modo, la même vision du monde, le même Dieu, la même religion. Ce qui veut dire qu'il est en effet fort peu probable (pour répondre à la journaliste du Courrier de la Mayenne) que je puisse être un jour contre un projet auquel mon frère aurait donné son assentiment... Mais je tiens à le répéter : dans cette affaire mon frère ne gagnera pas d'argent.  

Voilà donc l'essentiel de vos interventions lors d'un conseil qui a duré beaucoup trop longtemps pour regretter d'y avoir vu aussi peu de public. Oui, les interventions du nouveau leader de la gôche, Claude Gourvil, étaient interminables et, de surcroît, murmurées, chuchotées au micro. Nous étions un certain nombre à ne pas tout entendre... On m'a reproché d'être souvent trop long mais au moins, moi, on m'entend... Alors que l'élu écolo, il faut vraiment tendre l'oreille. C'est extrêmement pénible, surtout quand on ne croit pas au réchauffement climatique d'origine humaine, une vaste fumisterie mise au point par les mondialistes...

La gôche présentait deux nouveaux élus. Oui, elle fait les fonds de tiroir, si l'on peut dire, pour faire face aux innombrables démissions de ses « pointures », la dernière en date (qui venait de tomber le jour du conseil) étant celle de Madame Baudry, chevalier de la Légion d'honneur (si mes souvenirs sont bons), ce qui nous vaudra un nouveau visage la prochaine fois. Un ou deux si un autre conseiller démissionne entre temps.

Ce n'est pas sérieux. Non. Mais ces « rigolos » n'ont rien à dire de particulier, seulement à réciter des critiques d'un autre âge, des critiques d'enfants gâtés. Ce sont tous des bobos sans consistance, sans relief, qui oeuvrent pour que le pays crève sous nos yeux, ce qu'il fait. Car la France se meurt, une promenade de cinq minutes dans n'importe quel coin de Paris en témoigne...

Et l'ambiance côté gôche ? Plutôt bonne, car personne ne pleure les deux leaders disparus. En effet, depuis le départ de Guillaumette et Jean Cricri, on sent leurs colistiers plus à l'aise pour s'exprimer. Mais c'est - je me répète - toujours le même disque, toujours la même chanson, laquelle n'intéresse plus que leurs électeurs, de moins en moins nombreux, et fonctionnaires pour la plupart, qui se croient « insoumis », « rebelles », « révolutionnaires » parce qu'ils lisent des journaux payés par le contribuable (L'Humanité...) ou l'oligarchie cosmopolite (comme Libération...). Et je ne vous parle même pas du coco de service qui devrait pourtant se taire en cette année 2017 où l'on « fête » le centenaire de son idéologie de mort : le communisme, plus de cent millions de cadavres... Tout cela est franchement désespérant sur le fond, et je comprends chaque jour davantage ceux qui refusent de s'engager en politique. Car tout est joué d'avance. Tout. Comme la candidature Macron à la présidentielle et son élection à L'Elysée avec sa maman chérie qui aime à étaler ses vieilles gambettes à la une des magazines destinés aux gogos satisfaits de se faire rouler dans la farine par ceux qui mènent le monde. C'est franchement pénible, oui ; insupportable même... Nous sommes vraiment dans une dictature qui ne dit pas son nom...  

Mais vous restez néanmoins. Oui, car il est dans ma nature de ne pas céder. Et j'aime le conflit, mettre le doigt là où ça fait mal. Mais j'ai beaucoup perdu en intensité d'indignation car ce Système me répugne de plus en plus. Le triomphe de l'anti-France a quelque chose de cauchemardesque. Mais peu de nos concitoyens ressentent - hélas - ce que je ressens. Il est vrai qu'ils ne s'intéressent plus qu'à la technique, aux écrans de plus en plus plats... comme leurs cerveaux.

Merci en tout cas d'avoir répondu à mes questions, depuis le temps, certains vous croyaient mort... Le « problème » est que je n'ai pas l'internet depuis plusieurs mois, pour des raisons indépendantes de ma volonté et ce « manque » m'empêche de rester en contact avec mes lecteurs mais non de lire plus que jamais. Ma vie est dans les livres. Ceux des autres, principalement. Car ce que j'aurais à écrire ne trouverait pas d'éditeur, hélas. On ne peut plus parler de rien dans ce pays pourri. Richard Millet l'a écrit et sait de quoi il parle. Il faut dire amen à toutes les conneries que nos dirigeants sans relief nous pondent à longueur de journée pour détruire ce « cher et vieux pays » qu'on appelle encore la France. Mais je ne me lance pas sur le sujet car j'ai peu de temps à passer à Laval ce ouiquène et souhaite le consacrer à ma famille, plus belle réalisation de mon existence.

A bientôt, cher JCG. Oui, à bientôt et bon dimanche !

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