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Conseil du 9 février : mauvaise soirée pour nos socialos !

JC Gruau, le dernier conseil a été des plus houleux et les socialistes ont été durement secoués ! Oui, nous avons assisté à un véritable feu d’artifice de critiques tous azimuts contre ces grotesques socialos qui passent leur vie à sermonner quiconque conserve un peu de bon sens, un zest d’esprit français et le courage d’appeler un chat un chat. Personnellement, j’avoue avoir passé une excellente soirée car j’aime beaucoup voir l’équipe de Guillaume Garot mordre la poussière au conseil municipal. Quel dommage que mon cher grand-père ne soit plus de ce monde car il rirait beaucoup, lui aussi, d’un pareil spectacle !

Il m’a semblé que la charge la plus percutante contre eux fut celle lancée par Philippe Habault… Oui. L’adjoint aux Finances a révélé, pour notre plus grande satisfaction, que le fort endettement de la Ville lié à l’un des deux emprunts toxiques n’avait point pour auteur François d’Aubert mais – je vous le donne en mille ! – le tandem Garot-Boyer, lequel a volontairement ignoré les 17 propositions de sortie de cet emprunt émanant de la banque Depfa !

Hein ! Quoi ! Comment ! La banque leur a proposé 17 fois de sortir de ce cauchemar financier ! Oui, cher Bois-Renard, vous avez bien lu : 17 fois la banque Depfa leur a proposé un arrangement avantageux pour la Ville, et 17 fois, les socialistes ont préféré faire l’autruche ! Vous me direz qu’un tel aveuglement n’empêche pas d’entrer au Gouvernement ni de travailler au ministère de la Fonction publique ni même de présider le prestigieux château de Chamboooord ! Misérable époque que la nôtre, qui récompense et enrichit des incompétents alors qu’elle sanctionne lourdement des gens valables !

Ce n’est pas nouveau ! Non, mais cela s’aggrave ! Ce qui est nouveau en revanche, c’est qu’on ne peut plus dire grand-chose. Hormis vanter Charlie Hebdo quand il tape sur la religion. Mais nous nous éloignons…

Revenons aux explications de Philippe Habault qui ont eu une autre conséquence heureuse : vous permettre de rendre hommage à François d’Aubert. Ce maire, on sent que vous l’avez apprécié tout particulièrement. Bien sûr, puisque je l’ai – si j’ose dire – servi pendant treize ans ! C’était un homme de qualité et à cent coudées de Garot et Boyer.

Et de Zocchetto ? Il est trop tôt pour le juger, attendons un peu…

Pour en revenir à d’Aubert il a quand même couché sur sa liste de 2001 une certaine Gisèle Chauveau ! Oui, et ce n’est pas ce qu’il a fait de mieux ! Du reste, il a bien regretté ce « recrutement » quand cette excitée l’a trahi dans la dernière ligne droite des municipales…

Je sais que vous aviez prévu cette trahison… Oui. Depuis ma première rencontre avec elle (pour raisons professionnelles), j’ai toujours su qu’elle irait voir ailleurs quand d’Aubert serait définitivement grillé…

Vous croyez qu’elle a du mal à assumer sa trahison… Bien sûr car ce n’est jamais glorieux de trahir ! Mais ce qu’elle déteste par-dessus tout, je l’ai remarqué plusieurs fois, ce sont les critiques liées aux actions que ses « nouveaux » seigneurs et maîtres socialistes ont menées – avec elle – entre 2008 et 2014.  

Cela la met franchement en rogne, on en a eu la preuve lundi dernier… Oui, après une pluie de critiques concernant la mandature Garot-Boyer, elle a piqué une mini crise de nerfs qui a conduit François Zocchetto à vouloir – pour la troisième fois depuis qu’il est maire de Laval - interrompre mon intervention…

Et, fidèle à votre habitude, vous vous êtes une fois de plus levé pour vous exprimer seulement avec votre grosse voix ! Ce n’est pas parce que Madame Chauveau fait des siennes lors d’un conseil que le bon fonctionnement de la démocratie doit en être interrompu ! Quand on a quelque chose à dire concernant l’intérêt général, on le dit. En l’occurrence je tenais à critiquer une subvention de 38 000 euros que la Ville a – hélas – attribuée à une nouvelle association nommée Altercité.  

Vous avez commencé votre intervention en citant le célèbre proverbe chinois : qui donne du poisson à un affamé le nourrit pour la journée, qui lui apprend à pêcher le nourrit pour la vie… Oui, j’aime beaucoup ce proverbe qui mériterait d’être gravé sur le mur de la salle du conseil municipal...

Mais quel rapport avec la subvention de 38 000 € pour faciliter les activités ménagères d’une association totalement inconnue au bataillon ? Je pense que cette subvention ressemble à cette distribution de poisson qui nourrira les « affamés » pour la journée mais ne règlera aucun problème de fond et, en l’occurrence, d’insertion.

Vous pensez que c’est de l’argent gaspillé en pure perte ? Oui, comme les milliards d’euros consacrés à cette politique - dite - de la Ville menée par l’UMPS avec des expressions et un jargon qu’aucun esprit clair ne peut comprendre.

Ce qui est clair, en revanche, c’est qu’il y a effectivement des problèmes de chômage, d’impolitesse, de compréhension de la langue française aux Pommeraies ! Bien sûr ! Mais ce qu’il faut faire c’est prendre le taureau par les cornes afin de soigner le mal à la racine. Car la politesse, mes chers collègues, ça s’apprend ! La famille ça se respecte ! Le français, ça s’enseigne ! Ras le bol de toujours demander des sous aux contribuables !

Votre critique est pertinente mais qu’avez-vous à proposer pour sortir de ce bourbier ? De réunir une équipe de bénévoles expérimentés dans la transmission des connaissances et fermement décidés à venir réellement en aide à des populations qui n’ont rien reçu – ou très peu. Mais attention, pour aider ces dernières, il faut que l’équipe en question ait la possibilité d’utiliser des méthodes d’apprentissage qui ont fait leurs preuves ! Des méthodes à l’ancienne. Des méthodes d’avant 68…

Je reviens sur votre première intervention qui a bien fait marrer le public, au sujet des invitations que la Ville n’envoie plus aux élus de l’opposition. Monsieur le comte de Chambord a cité différentes manifestations où, effectivement, l’opposition – de gauche comme de droite - n’a pas été conviée. Mais j’ai trouvé le ton de Monsieur le comte si larmoyant, si pompeux, si excessivement triste que j’ai préféré mettre les rieurs de mon côté en disant que je comprenais mieux maintenant pourquoi je recevais personnellement dix cartons à chaque invitation !

Le chrétien que je suis a beaucoup apprécié que vous citiez deux phrases très pertinentes du philosophe Emmanuel Mounier, qui apparut dans l’ordre du jour du conseil via l’allée qu’il occupe dans, je vous cite, « ce quartier du Bourny où la gauche règne en maître à la fois dans les urnes et, plus encore, sur les plaques de rue ». En 1947 le fondateur du mouvement Personnalisme a en effet écrit au moins deux phrases qui méritent d’être méditées par les Français d’aujourd’hui car elles décrivent parfaitement notre Europe dominée par la haine de ses racines chrétiennes et le matérialisme maçonnique.

Je vous écoute…  « L’Orient n’a jamais déferlé que sur une Europe décomposée. Le grand raz de marée de la barbarie est dans nos cœurs vides, dans nos têtes perdues, dans nos œuvres incohérentes, dans nos actes stupides à force de courte vue. » N’est-ce pas un excellent résumé de notre époque ?  

Bravo Manu et longue vie à ta plaque de rue ! C’est exactement ce que j’ai dit.

Concernant les collections du musée du Vieux-Château, Didier Pillon a fait état du mauvais entretien que la « gôche » leur a réservé. Il paraît que c’est catastrophique et que la dépense pour le contribuable va s’élever à 300 000 euros ! Oui et c’est pourquoi l’adjoint nous a demandé d’autoriser le maire à tendre sa sébile au ministère de la Culture afin d’obtenir des subventions de l’Etat destinées à corriger les négligences des équipes municipales de « gôche ».

C’est un peu facile, non ? C’est pourquoi, considérant cette demande de subvention comme embarrassante, j’ai posé la question que tout élu responsable doit se poser : que faire en pareil cas ?

Oui, que faire ? Imposer à MM. Boyer et Garot de payer une partie de la note que leur négligence culturelle a créée ?

Ils refuseront. Montrer à la population lavalloise les collections endommagées afin que tous ensemble, démocratiquement, nous choisissions entre ce qui doit être restauré et ce qui pourrait filer directement à la déchetterie des Touches, dans le plus grand secret.

Impossible ! Eh oui, Fleur Pellerin l’apprendrait et viendrait nous chercher des poux dans la tête !

Bref, nous sommes obligés de payer – via de nouvelles subventions – ce que les socialistes n’ont pas fait ! Oui. Cependant, j’ai également demandé à ce que, dorénavant, chaque œuvre d’art appartenant aux collections du musée du Vieux-Château fasse l’objet, comme n’importe quel véhicule automobile, d’un contrôle technique avec une date butoir. L’objectif étant que les administrations en charge de conserver ces collections dans le meilleur état possible, puissent veiller au grain dans les temps. Et ce, y compris quand elles sont dirigées par des socialistes incompétents…

Vous avez également demandé à ce que les auxiliaires de puériculture – évoquées lors du conseil - portent désormais une combinaison tricolore. Encore de l’humour ? Non car depuis les événements liés à la tuerie des dessinateurs de Charlie Hebdo, le Gouvernement ne cesse de vanter la République sous toutes les coutures et à longueur de journée. Sachant que l’inénarrable NVB veut former des agents de propagande chargés de « républicaniser » les enfants dès la maternelle je pose la question : pourquoi ne pas présenter des auxiliaires de puériculture arborant les couleurs tricolores qui immanquablement feraient tilt dans le cerveau des enfants ?  

C’est vrai qu’avec les exemples donnés ces derniers mois par des personnalités aussi peu recommandables que Cahuzac, Jack Lang, Thévenoud, DSK, Taubira, j’en passe et des meilleures !, la République a peu de chance de se faire respecter par les jeunes esprits qui veulent donner un sens élevé à leur vie… C’est le moins qu’on puisse dire…

Citons un autre nom « républicain », celui de Tillion qui vient d’être donné à une école des Pommeraies. Une fois n’est pas coutume, vous avez voté comme tous les autres conseillers. Oui et aussi en partie pour le prénom Germaine !

Comment ça ? Pendant la campagne des municipales, évoquant l’état-civil de notre cité, j’avais déploré que la rubrique Naissance accueille trop de prénoms exotiques et la rubrique Décès trop de vieux prénoms d’chez nous ! Avec le choix effectué par les habitants des Pommeraies, je ne peux donc que me réjouir de voir graver une bonne vieille Germaine des familles sur le porche d’une école !

Rassurez-moi, vous n’avez pas accepté ce nom uniquement pour cette raison ? Non, je l’ai accepté parce que trois autres choses me plaisent également chez cette femme que le lavallois François Béchu avait fait connaître dans nos contrées via une lettre fictive publiée chez Siloë en 2007.

La première… C’est que Germaine Tillion, malgré un passage forcé à Ravensbrück, avait su garder sa foi catholique qui recommande le pardon des offenses.

La seconde… C’est que, malgré sa naïveté à l’égard de certains Algériens de souche, elle a condamné avec la même vigueur pendant la guerre d’Algérie les tortures infligées par les paras et les attentats aveugles du FLN. Je ne me permets pas de juger ses condamnations morales mais tiens à saluer le courage dont elle a fait montre en critiquant le FLN qui était alors porté au pinacle par toute l’intelligentsia communiste et communisante.

Enfin, la troisième ? Son essai « Le harem et les cousins » mérite d’être lu par tous ceux qui désirent mieux connaître les us et coutumes matrimoniales de nos frères originaires de la Méditerranée… Ce ne sont pas les mœurs de nos Germaine du temps passé, mais ce sont peut-être celles des futures Germaines enturbannées des temps à venir…

Venons-en maintenant à la volonté de M. Boyer de porter devant la justice les propos que vous avez tenus dans la tribune du journal municipal de février 2015 sous le titre : « L’africanisation de Laval se poursuit jour après jour ». Si vous voulez mais, dans ce cas, permettez-moi de citer cette tribune à l’attention des lecteurs qui ne reçoivent pas la pravda de « Papa Zoc » rédigée par Didier Maignan, le deuxième mari de la fonctionnaire-journaliste de Radio Mayenne Isabelle Marchand.

Je vous écoute… « En mars dernier, Laval Mieux Vivre fut la seule liste à pointer du doigt « l’africanisation de notre cité ». Un an après, ce phénomène continue de s’accentuer et de perturber la vie quotidienne de centaines de Lavallois de souche. Malgré cela, cultivant le déni, les conseillers municipaux de la majorité s’obstinent à vanter un« vivre-ensemble » qu’ils ne connaissent pas. »

Mais il n’y a rien de choquant dans ces lignes ! Bien sûr que non ! Toutefois ce n’est pas ce que pensent les petits dictateurs de la pensée politiquement correcte (ou, plus exactement, anti-française) qui siègent au conseil de Laval.

Et pour quelle raison veulent-ils saisir la Justice ? Parce qu’ils voient dans mes propos « un délit d’injures publiques » !

Hein, quoi ! Un délit d’injures publiques ! Oui.

Mais qui avez-vous donc insulté ? Personne !

Contrairement à nombre de rappeurs qui, eux, s’en prennent haineusement à la France, aux « sous-chiens », aux petits blancs ! Ces socialos – blancs pour la plupart - sont d’autant plus fous à lier que la Justice croule déjà sous les dossiers concernant des cas urgents !

Ce que vous avez dit est une constatation anodine et exempte de méchanceté, de haine. Une constatation que pourraient signer nombre de Lavallois… de souche mais aussi du Maghreb. Evidemment ! 

Quant à « L’africanisation de Laval », c’est une expression que vous avez – si j’ai bonne mémoire - utilisée cent fois pendant les municipales de mars dernier ! Vous avez bonne mémoire, il n’y a rien de nouveau sous le soleil ! Si ce n’est que le phénomène s’accentue sans que nous n’ayons jamais aucun débat sur le sujet, aucun chiffre le concernant, aucune statistique susceptible de faire taire tous ceux qui ne veulent entendre parler de rien…

Les autruches françaises ont quand même appris cette semaine, en découvrant les chiffres de l’ambassadeur de France en Algérie, que notre pays comptait – excusez du peu ! – quelque 7 millions de Franco-Algériens ! Oui. Quel désaveu pour tous les pitoyables commentateurs politiques qui ne cessent, depuis quarante ans, de nous citer le chiffre de cinq millions de Mahométans en France ! Ajoutez à ces Franco-Algériens, les Franco-Marocains et les Franco-Tunisiens auxquels s’ajoutent les Algériens, Tunisiens et Marocains qui vivent en France…   

Sacré Boyer, tout est bon pour éviter de regarder la réalité en face. Mais une chose me surprend : vous n’avez pas l’air effondré, ni même vraiment surpris par cette réaction de l’autre Jean-Christophe du conseil ! Non car si cette plainte est déposée je me battrai comme il convient, en apportant des arguments en béton et en faisant témoigner quelques-uns des nombreux étrangers qui m’apprécient. Par ailleurs, le FN 53 en profitera aussi pour organiser une grande fête de soutien, avec quelques orateurs nationaux qui feront le déplacement pour nous permettre de collecter des fonds nécessaires aux frais de justice. Bref, ce sera un moyen d’attirer l’attention du citoyen français, de lui montrer qu’il ne peut plus dire grand chose sans être inquiété par… la Loi, la Justice...

Cela vous inquiète cette dictature de la pensée qui gagne sans cesse du terrain ? Bien sûr que cela m’inquiète ! C’est même la première de mes inquiétudes ! Car il se trouve que je suis sensible à la Liberté d’expression avant tout le reste ! Or, cette liberté d’expression devient, au pays de Voltaire et des Droits de l’Homme, impossible à pratiquer dès lors qu’on ne vante pas le métissage, la mondialisation, le Vivre-Ensemble… En clair, on ne pourra bientôt plus s’exprimer librement qu’entre membres d’une même famille, chez soi, portes closes et portables éteints.

Et encore ! Oui, il faudra s’exprimer devant des proches qui sachent lire et écrire, aient encore un minimum d’humour et ne passent pas leur temps devant la télévision à avaler de la niaiserie à longueur de journée ! Des proches aussi qui nous apprécient suffisamment pour ne pas aller nous dénoncer à des petits cafards du Système comme Boyer and friends ! Autant dire que les années à venir risquent d’être pénibles. Seront pénibles. Car Valls, Hollande, Taubira, Belkacem et les autres, n’ont pas encore décidé de nous quitter…

En fait, si je comprends bien on peut publier une caricature du pape en train de sodomiser un petit garçon sur la couverture d’un torchon de presse (Charlie Hebdo) mais on n’a pas le droit d’évoquer « l’africanisation » d’une ville !  Vous avez compris la liberté à la sauce hollandaise…

Au sujet de ce conditionnement politico-médiatique que vous avez évoqué avec la toute puissance de la télé, il y a un livre à lire de toute urgence : « La France Big Brother » de Laurent Obertone, un livre qui dit tout sur le sujet et habille pour l’Eternité les petites frappes de Canal Plus qui avaient voulu vous noircir l’année dernière. Me noircir !, faites attention à ce que vous dites, Bois-Renard où je vous attaque moi aussi pour « injure publique » ! [Rires] Plus sérieusement, ce livre est une réussite et le chapitre sur Canal un chef d’œuvre. D’ailleurs à ce sujet, je vous propose d’en reparler prochainement sur ce blog.  

Demande acceptée ! Dernier point : j’ai appris que vous alliez, vous aussi, porter plainte contre M. Boyer dans cette histoire de voiture de fonction accordée à sa directrice de cabinet de la mairie. Oui. Je vais écrire une lettre très prochainement, la montrer à un avocat spécialisé dans ce domaine et… hop ! Direction la Justice. Mais je ne reviens pas sur le sujet vu que j’ai déjà publié un post le concernant exclusivement il y a deux ou trois jours…   

Cher JCG, il me reste à vous remercier pour tout le travail que vous effectuez à l’attention des patriotes locaux qui ont voté pour vous et vous soutiennent chaleureusement. De rien, cher Bois-Renard, de rien ! Car je n’ai pas été élu pour me tenir à carreau ! N’oubliez pas non plus que je ne touche que 26 euros par mois en tant que conseiller municipal. Une somme aussi faiblarde interdit de se ranger du côté du Système ! Au contraire ! D’autant que je n’ai pas grand-chose à perdre professionnellement, étant sous-utilisé depuis mon éviction de la mairie en 2008…

Ecrivez donc une troisième pièce comique ? Qui osera la jouer ? On ne peut rire de personne aujourd’hui sans se prendre un procès au derrière ! Merci !

En fait, si on vous a au conseil municipal, c’est grâce aux socialistes ? Oui. Ils m’ont obligé à suivre – depuis sept ans maintenant, - un parcours professionnel ô combien formateur, certes, mais que je ne souhaite pas à mon pire ennemi ! Car le chômage de longue durée – y compris avec des activités régulières plaisantes (conférences) – est une épreuve dont je me serais bien passé, croyez-moi. Mais enfin, ne dit-on pas que chacun doit porter sa croix…

Heureusement que cela n’affecte pas votre nature profonde dont la caractéristique principale est la gaieté. Disons que j’ai encore suffisamment de vitalité en moi pour ne pas baisser les bras devant les problèmes que mon pays traverse et qui risquent de le tuer si nous ne faisons rien. Pour paraphraser Malraux, je dirai que l’action politique ne vaut rien mais que rien ne vaut l’action politique.

Ce sera le mot de la fin car nous n’avons pas le temps d’aborder le sujet des départementales. Il me convient pleinement. 

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