Laval sous François d'Aubert
Quiconque a connu Laval en 1995 puis, l'ayant quittée l'a retrouvée treize ans plus tard, a pu constater qu'elle s'était métamorphosée en une ville moyenne agréable.
Ce grand changement, c'est à François d'Aubert que nous le devons...
Laval sous André Pinçon
Personnalité sympathique capable d’attirer les voix d’électeurs refusant de chanter L’Internationale avec une « rose au poing », cet expert-comptable remplacera Robert Buron en 1973 puis se fera élire en 1977 et réélire en 1983 et 1989.
Le blason de la Ville de Laval
Jusqu'à 1987, la Ville de Laval était représentée par un bel écu de gueules au léopard d'or.
Mais depuis cette date le blason primitif des seigneurs de la cité ne figure plus que sur quelques façades du centre-ville, les murs du musée des Sciences et l'un des vitraux de l'église Saint-Jean (photo).
Résultat: de nombreux Lavallois ignorent jusqu’à son existence...
Laval sous Francis Le Basser
Pour définir le sénateur-maire Francis Le Basser, citons son successeur : « Jovial et disert, bon vivant et non-conformiste, écrit Robert Buron, Le Basser s’était attiré d’innombrables sympathies individuelles. »
Mais les qualités de l’ancien chirurgien ne s’arrêtaient point là : « Il possédait aussi au plus haut point la qualité essentielle à tout homme politique : la vitalité.»
Laval sous Eugène Jamin
De 1919 à 1933, Laval est gérée par un maître-imprimeur féru d’hygiène sociale, un sénateur de l’Union Républicaine qui charme ses loisirs en traduisant ses auteurs latins préférés et en présidant l’Union Vélocipédique Lavalloise et la Société Horticole.
Son nom ? Eugène Jamin.
Petit survol des événements qui marquèrent ses mandats...