Au cinéma, OSS 117 ferme le bec au muezzin !
Le grand nombre de minarets qui s’élèvent actuellement aux quatre coins du pays de Voltaire m’a donné envie de revoir un film hilarant avec Jean Dujardin, Le Caire nid d‘espions. Il s’agit des aventures – très politiquement incorrectes et à prendre au second degré (l’époque impose cette précision) – de l’agent OSS 117 qui, quand il débarque en Egypte, continue de dire tout ce qu’il pense, y compris de l’islam, la religion de ses hôtes...
Récréation : ces mots latins de tous les jours
L'Empire du Bien n'aime pas le latin qui, pour lui, sent l'Eglise, le passé, la transmission, la réaction, bref tout ce qu'il déteste.
Malgré cela, nous parlons tous (un peu de) latin chaque jour.
Cette petite histoire fictive en témoigne...
Rions avec Tristan Bernard (1866-1947)
Dans ses livres, Muray explique très bien pourquoi « l’univers hyperfestif » est « aussi celui où disparaît cet abandon festif au principe de plaisir qu’était l’usage de l’humour, de la drôlerie, du mot d’esprit, du rire critique, du non-sens, des diverses formes de l’esprit de problématisation. L’univers hyperfestif est celui où toute plaisanterie se trouve plus que jamais guettée par le vautour vertueux. L’existence actuelle doit être aimée en tant que telle, et il devient même interdit de ricaner de soi ». (Après l’Histoire, janvier 1998, De l’époque qui commence).
Ces choses dites, voici un article qui permet de rire avec Tristan Bernard (1866-1947) , alias le « philosophe du sourire » dont les mots d’esprit – contrairement aux œuvres théâtrales – n’ont pas pris une ride…
90% des Français lisent aux toilettes !
L'Empire du Bien présente de nombreux désagréments mais il n'interdit pas encore de lire dans le seul endroit de l’habitation situé à l’abri des regards indiscrets, les toilettes…
Eh oui, les toilettes, les gogues, les vécés et autre « lieu où le roi va seul » se transforment souvent en cabinet de lecture pour - excusez du peu ! - 90% des Français, qui y passent en moyenne l’équivalent de quatre semaines par an !
Rions avec Alphonse Allais (1854-1905)
Dans ses livres, Muray explique très bien pourquoi « l’univers hyperfestif » est « aussi celui où disparaît cet abandon festif au principe de plaisir qu’était l’usage de l’humour, de la drôlerie, du mot d’esprit, du rire critique, du non-sens, des diverses formes de l’esprit de problématisation. L’univers hyperfestif est celui où toute plaisanterie se trouve plus que jamais guettée par le vautour vertueux. L’existence actuelle doit être aimée en tant que telle, et il devient même interdit de ricaner de soi ». (Après l’Histoire, janvier 1998, De l’époque qui commence).
Ces choses dites, voici un article qui permet de rire avec Alphonse Allais (1854-1905) dont l’humour faisait rire et troublait à la fois à cause de leur sens de l’absurde…