En 2010, un Microbus 100% électrique
En 2004, le groupe Gruau crée un véhicule capable de transporter 20 personnes dans des endroits où des bus de 70 places ne peuvent accéder.
Le Microbus est né qui, quatre ans plus tard, séduira le fabricant de batteries LMP, Vincent Bolloré...
La collecte des déchets depuis 1972
A compter d’août 1972, l’Usine de Traitement des Résidus Urbains (UTRU) de la zone des Touches broie les ordures ménagères de la Ville de Laval et les met en décharge, réduisant ainsi le volume des déchets tout en accélérant leur processus de désintégration.
En 1975, l’usine a broyé 46 tonnes de déchets dont une partie (les débris végétaux), transformée en compost, a été utilisée par la société Royal Champignon à Saumur…
Mais une question se pose : cette transformation a-t-elle un avenir ?
La collecte des déchets du Moyen Age à 1943
Au Moyen Age, les Lavallois jettent leurs déchets et immondices par la fenêtre en criant gaiement: "Gare l’eau!" ou "Gare en dessous!".
Bien sûr, cette coutume dite du "tout à la rue" contribue à la formation d’une boue épaisse dans la cité. Pour s’en débarrasser, les municipalités passent des accords avec les "fermiers des boues".
A ces derniers, les boues sont appropriées aux enchères pour trois ans moyennant l’obligation, au moyen d’une pelle et d’un cheval attelé à un tombereau, de les enlever – ainsi que les autres immondices - deux fois par semaine, sans oublier de nettoyer au balai la place où chaque particulier dépose les unes et les autres.
La collecte des déchets de 1943 à 1972
En 1943, déçue par son prestataire de l'époque, la Ville de Laval décide d'assurer la collecte des ordures ménagères via un service en régie directe...
Ce service succède aux « fermiers des boues », aux frères Pautrel et à l’entreprise Coupeau.
Il est constitué d’un contremaître, de 11 cantonniers, d’un comptable, d’un palefrenier et d’un charron-maréchal qui entretenait les chevaux et les 11 tombereaux installés dans les écuries louées à M. Meyniel, rue de Saint-Jean.
La naissance du jumelage Laval-Boston
La Ville de Laval est jumelée avec cinq autres cités d’Europe, d’Afrique et d’Amérique: Laval (Québec), Gandia (Espagne), Garango (Burkina Faso), Mettmann (Allemagne), Vatava (Roumanie) et, depuis 1958, Boston (Grande-Bretagne).
Mais en fait, c’est en 1957 que l’idée d’un jumelage avec une cité anglaise avait germé dans le cerveau bouillonnant du maire de Laval de l’époque, le Docteur Le Basser…