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CM du 16 novembre : le discours de JC Gruau sur la tuerie de Paris

Le conseil municipal s'est réuni ce lundi 16 novembre à 19 heures, conformément au programme prévu bien avant les tueries de l'Etat Islamique en plein Paris. Retenu par ses obligations politiciennes, François Zocchetto s'était fait remplacer par Samia Soultani et avait eu, samedi, la bonne idée de vous permettre, vous et JC Boyer, de prendre la parole pour donner votre avis sur les dramatiques événements... Oui, et je remercie le sénateur-maire de cette initiative qui m'a permis de dire ce que je voulais sur le sujet et, notamment, de revenir sur cette invasion de clandestins qui risque de tuer notre identité si elle n'est pas stoppée immédiatement...

Nous reproduisons votre discours qui permettra de montrer aux journaleux du Courrier de la Mayenne qu'il y a aussi une opposition de droite au conseil de Laval... Allez y...

Mesdames, Messieurs, mes chers collègues,

Les terribles – mais ô combien prévisibles – attentats de vendredi dernier ont une fois encore démontré que la France se trouve en guerre contre une partie non négligeable de sa population, celle qui veut que notre pays jadis fier d’être considéré comme la fille aînée de l’Eglise devienne - par la terreur - un état islamique.

Ne tournons pas autour du pot comme le font les media du Système et les élus de l’UMPS : tous les auteurs des attentats du vendredi 13 novembre sont des islamistes, que la France a d’ailleurs encouragés par une politique extérieure incohérente et qu’aujourd’hui elle doit combattre sans les confondre avec les millions de musulmans dits modérés.

A ce sujet, qu’il me soit permis de faire remarquer que nous sommes nombreux à attendre que ces musulmans dits modérés condamnent avec une fermeté absolue les tueries de ceux qui prétendent – à tort ou à raison -  agir au nom de l’islam.

Pour le moment, Sœur Anne ne voit rien venir…

 La France, mes chers collègues, est gravement malade et souffre de plusieurs maux qu’il est impossible de tous énumérer présentement, faute de temps. 

Elle est malade de son matérialisme, de son refus de rester fidèle aux promesses de son baptême, de ses familles décomposées et de son mariage pour tous, malade de ses 220 000 avortements annuels remboursés par la sécurité sociale, malade de la pornographie diffusée sur l’Internet à longueur de journées auprès d’enfants incapables de savoir ce qu’est l’amour véritable, malade de son culte du corps et de l’argent, malade d’avoir supprimé la peine de mort pour les assassins et le service militaire pour tous, malade de ses émission de télévision lamentables, de ses réglementations tous azimuts, de l’impunité réservée aux délinquants d’origine étrangère, de sa novlangue politiquement correcte qui émascule l'intelligence, malade de la pleutrerie et de la lâcheté de ses élus, etc.

Elle est gravement malade et nous sommes dans l’incapacité de la guérir avec un régime de cheval car nous ne sommes – hélas - que de simples conseillers municipaux.

Cependant, il nous est possible de trouver des moyens susceptibles de lui éviter – de NOUS éviter - de tomber encore plus bas dans les mois à venir…  

J’en ai trouvé un, de moyen, que je veux vous soumettre, Madame le Premier Adjoint car il est lié au dernier fléau qui vient de nous tomber dessus, après tous ceux que j’ai cités, un fléau orchestré par l’Union européenne et les grandes autorités mondialistes : un fléau qui tuera notre peuple et notre culture si nous ne l’arrêtons pas urgemment :  ce fléau c’est la déferlante migratoire que subit l’Europe depuis quelques mois.

Pour terrifiante qu’elle soit cette déferlante a au moins un mérite : permettre aux maires des communes de France d’agir, pour une fois, en matière d’immigration.

Le choix est simple en effet à l’égard des nouveaux arrivants qui débarquent en masse : les accepter – c’est la méthode « bisounours » ou « boboïsante » - ou les refuser – ce que j’appellerai le choix de la raison, du bon sens, le choix que nos parents auraient fait sans douter un seul instant du bien-fondé de leur attitude.

Monsieur Zocchetto, victime, comme tous ses amis de l’Establishment, de la manipulation médiatique qui ne faiblit pas depuis le début des événements, semble avoir choisi d’accueillir chez nous, à Laval, sur la terre de nos ancêtres et de nos enfants, des personnes que l’on présente comme des « réfugiés », des « migrants » alors qu’il s’agit de clandestins, de personnes qui entrent illégalement sur notre territoire et qui se comportent comme des envahisseurs !

Oui, je sais, ce terme a choqué certains d’entre vous mais il faut savoir nommer les maux si l’on veut les soigner.

Car ne nous voilons pas la face : s’il s’agissait d’un exode de victimes de la guerre, de «réfugiés», on trouverait parmi les foules des hommes, certes, mais en petit nombre car il y aurait surtout des femmes, des enfants, des vieillards comme il y en eut sur les routes de France en 1940.

Or, ceux qui arrivent sont à 85%, d’après l’ONU - de jeunes hommes seuls en âge de se battre pour leur pays mais qui préfèrent venir chez nous pour des raisons économiques en attendant rapidement de faire venir leur famille via les lois du regroupement familial !

Peu sont Syriens, peu sont chrétiens. Peu, aussi, sont capables de trouver du travail car nous avons déjà des millions de chômeurs…

Mais il y a plus grave – et c’est ce qui justifie mon intervention de ce soir : il y a parmi eux un nombre important de terroristes islamistes qui, imbibés par la haine des valeurs de l’Occident, veulent imposer la charia au pays du petit vin blanc et du jarret de porc braisé.

Ce que je vous dis là ne relève pas d’une imagination maladivement nationaliste mais d’un fait que les derniers attentats ont confirmé : a priori au moins l’un des kamikazes de vendredi dernier était l’un de ces clandestins que d’aucuns continuent de nommer « migrants »  et veulent accueillir comme le fils prodigue…

Madame Soultani, en acceptant ces clandestins, même en nombre très limité, vous prenez le risque de créer dans notre cité jadis tranquille et démographiquement homogène, des troubles comparables à ceux que Paris a connus la semaine dernière, en clair de faire couler le sang à Laval.

C’est pourquoi, je vous demande de suspendre cette décision ou, à tout le moins, de donner la parole au peuple de Laval en organisant, sur ce sujet crucial de l’accueil des clandestins, un référendum local.

C’est en effet aux Lavallois de décider de leur avenir !

Et de celui de leurs enfants !

Madame Soultani, vous avez été élu en mars 2014 sur un programme qui ne prenait nullement en compte ces arrivées massives d’envahisseurs qui, je le répète, seront forcément mortelles pour notre identité car les populations susceptibles de débarquer se comptent en centaines de millions dans le monde...

En clair :  "non aux clandestins dont certains sont des poseurs de bombes en puissance", et "oui à l’avenir de nos enfants !"

Une dernière chose, pour conclure : je déplore tout particulièrement cette année que vous n’ayez pas été assez courageux, vous le catholique pratiquant, pour installer une crèche municipale dans le centre-ville : suite aux événements tragiques qui viennent d’ensanglanter notre pays, je peux vous garantir que  beaucoup de Lavallois auraient en effet été très heureux de s’y recueillir devant Celui qui représente la Paix dans le monde pour l’immense majorité d’entre nous.

Merci de m'avoir écouté...

De rien mais promettez-moi une chose... Laquelle ? Celle de revenir sur ce conseil dans les jours à venir. Promis !

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