logotype

JC Gruau attaqué par certains media

Bonjour, JC Gruau, mazette on ne parle que de vous ! Le Canard Enchaîné du 19 février, les sites internet du Parisien, du Nouvel Observateur, de FdeSouche et d’Europe 1 puis le petit Journal de Canal + et enfin, ce matin même, 26 février, de nouveau Le Canard Enchaîné. N’est-ce pas trop pour un seul homme ! Bien sûr ! Mais que voulez-vous ! Quand on ose dénoncer – même sur la pointe des pieds - certains dysfonctionnements en matière d’immigration incontrôlée et de dépenses publiques, quand on ose suggérer que, peut-être, certains réseaux…

On a droit à une formidable campagne d’intimidation, j’ai compris, n’en dites pas davantage car vous avez eu une semaine assez chargée comme ça. En fait, c’est une fois de plus cette satanée Radio Mayenne qui a ouvert le feu… Oui. Radio Mayenne et mes deux ennemies attitrées liées toutes les deux à celui qui m’a remplacé à la mairie de Laval, le  responsable de la communication de la Ville : Isabelle Marchand-épouse Maignan et Armelle Roque- ex-épouse Maignan…

J’ai cru comprendre que cette Radio avait lancé les attaques dès le mardi après-midi… Oui, elle annonçait à ses auditeurs qu’un article me traitant de « comique troupier » paraîtrait le lendemain dans Le Canard Enchaîné. C’est effectivement ainsi que la grande opération anti-Laval Mieux Vivre a débuté… Une opération menée de main de maître…

Et, comme par hasard, qui est sortie la semaine où vous avez déposé votre liste à la préfecture !!! Forcément ! Car jusqu’à présent nombre de Lavallois doutaient de l’existence de cette liste. Ils ne l’avouaient pas ouvertement mais, enfin, je le sentais bien en discutant avec eux, ils en doutaient. Or, le samedi 15 février – jour de mon anniversaire - quelques Lavallois – et une Lavalloise en particulier qui figure sur la liste Zocchetto et que je sais mauvaise comme une teigne - m’ayant vu entrer au centre administratif avec une enveloppe bourrée de certificats Cerfa, quelques Lavallois ont deviné que nous avions le quota requis, que nous ne bluffions point, que nous allions concourir nous aussi. Et enfin pouvoir livrer certaines vérités – comment dire ? - dérangeantes au conseil municipal…

Du coup, panique chez certains... que je ne nommerai pas !  Forcément ! Dès lors, il leur fallait passer à la vitesse supérieure, à la phase 2 de l’opération : me noircir pour intimider – à quelques jours du dépôt de liste à la préfecture  – quelques colistiers sensibles – sait-on jamais ? - aux attaques du Système… Pour cette entreprise d’intimidation, il suffit simplement de reprendre quelques écrits publiés sur mon blog personnel et littéraire depuis plus de six mois pour certains. Je dis bien : mon blog personnel, qui, depuis 2009, ne saurait engager en aucune façon le Front National qui me soutient. Que je sache il y a bien un dessinateur sur la liste Boyer dont certains dessins consultables du l’Internet pourraient choquer des électeurs socialistes s’ils étaient sur le site de campagne du Drômois… Mais je m’égare, revenons à nos moutons, enfin… à nos ennemis…

Concernant les sujets, pas besoin de chercher bien loin, j’imagine… Non. Il suffit de choisir les deux thèmes que le Système défend mordicus et veut nous imposer coûte que coûte : l’immigration incontrôlée (encore elle ! ) et le mariage pour tous. Deux thèmes, deux sujets sur lesquels – c’est notre droit – notre liste fait entendre un son de cloche différent de celui de nos adversaires. Deux sujets et deux thèmes qui peuvent permettre au Système de m’accoler les deux étiquettes les plus mal vues du moment, qui discréditent aux yeux de certains n’importe quel candidat visé : raciste et homophobe…  

Mais vous n’êtes ni l’un ni l’autre ! Evidemment ! Un homophobe est quelqu’un qui a peur des homos et un raciste quelqu’un qui place une race au-dessus des autres (la sienne, le plus souvent). Je ne suis ni l’un ni l’autre !

Reste à trouver celui qui lancera la charge… Oui et ce sera un romancier couvert de prix, un ancien journaliste de Libération qui écrit désormais dans le « Canard Enchaîné », un homme dont la plume a un certain poids à Paris et qui se trouve également  impliqué dans la vie culturelle lavalloise, Sorj Chalandon, qui préside le jury du Prix du deuxième roman, après avoir été le parrain du festival du Premier Roman.

Pour info, il convient de savoir que ce festival et ce prix sont organisés par « Lecture en tête »…Oui, une association présidée par un professeur de lettres de Laval, Brigitte Maligorne, et dont le conseil d’administration comprend, entre autres, deux personnes ayant – vous le savez - de solides  raisons de me détester et de voir notre liste trébucher avant même de concourir : Isabelle et Didier Maignan (encore eux !).

Et c’est ainsi que de nombreux Français ont appris dès le mercredi 19 février que « Le FN s’offr[ait] un comique troupier » à Laval. Qu’avez-vous pensé de l’article ? Le terme « comique troupier » m’a étonné, je l’ai trouvé médiocrement choisi. Je n’ai rien d’un comique troupier, du moins je le pense. Quelques lignes plus loin, j’ai également été surpris par le terme de « clown ». Je ne suis pas un clown même si l’on m’accorde un certain sens de l’humour. Ensuite, M. Chalandon aligne quelques contrevérités.

Par exemple ? Je ne me suis pas présenté - comme il le prétend - pour me venger de la mairie de Laval mais pour défendre des convictions susceptibles de me permettre de mieux gouverner Laval que mes adversaires.

Des convictions qui, j’imagine, sont totalement différentes de celles du couple Maignan et, je le pense aussi, de M. Chalandon… Oui. D’autre part, je n’ai pas été  « bombardé tête de liste » : les choses se sont faites tout naturellement après que François Zocchetto (UDI) et Samia Soultani (UMP) ont refusé la main tendue de Bruno de La Morinière (FN) pour faire liste commune contre MM. Boyer et Garot. J’attire également l’attention sur le fait que le Front pouvait d’autant moins me bombarder quelque part que… je ne suis pas Front !

Une autre erreur à signaler ? Oui, une erreur plus subtile et que j’ai découverte trois jours plus tard en relisant l’un de mes entretiens actuellement désactivés pour ne pas envenimer les choses : je n’ai jamais écrit que « l’immigration était un  cancer », comme me le fait dire Sorj Chalandon. J’ai écrit la phrase suivante : « (…) le FN est désormais le seul parti qui ait le courage de nommer les deux cancers en train de détruire l'identité française sous nos yeux : l'Europe dite de Maastricht, qui entraîne chômage et vie chère et, liée à celle-ci, le Grand Remplacement de population avec l'arrivée massive, colossale et colorée, d'immigrés que nous ne pouvons pas assimiler. » Ce n’est pas la même chose, mais passons !

Autre point à souligner ? Oui, je n’ai pas compris son « Tagada tsoin tsoin » final. Est-ce une blague ? Une allusion à je ne sais quel spectacle lié aux comiques troupiers ? Tous les amis qui ont lu ce papier – et Dieu sait s’il y en a eu ! - se demandent encore ce que l’auteur a voulu dire ainsi…

Bon, revenons au mercredi matin 19 février, qu’avez-vous fait ensuite ? J’ai pris mon train pour Paris sans corriger quoi que ce soit sur mon administrateur de site considérant qu’il n’y avait rien de terrible, rien de répréhensible. Après tout, je suis, comme des millions de Français, contre « Le mariage pour tous » et considère, comme des millions de Français, que l’immigration incontrôlée pose de sérieux problèmes. Ce n’est pas parce que je suis le seul candidat lavallois à émettre ces deux avis qu’ils sont nuls et non avenus.  

Donc, pas de réaction particulière de votre part ?  Non. Je me suis dit que la campagne commençait vraiment, que c’était la première salve contre ma pomme. J’ai du reste été « encouragé » dans cette voie par deux connaissances croisées sur le quai de la gare et auxquelles j’ai lu l’article en question. La première  l’a trouvé « percutant » et la seconde m’a demandé si je comptais envoyer un chèque à son auteur pour le remercier de me faire une si bonne réclame ! Comme quoi tout le monde ne pense pas – loin de là – comme Le Canard Enchaîné de S. Chalandon !

Bon, très bien. Mais l’affaire ne s’est pas arrêtée là. Non. J’apprenais le soir même, alors que j’étais dans le métro, que le site du journal Le Parisien s’y était mis à son tour, ainsi que FdeSouche. Et le lendemain, c’était au tour du Nouvel Observateur de relayer cette histoire en attendant Europe n°1… La gloire !

C’est néanmoins à ce moment que vous avez décidé de mettre vos articles en veilleuse ? Oui, après une discussion avec Nicolas Bay (responsable des municipales pour le FN dans les communes de plus de 1 000 habitants), discussion durant laquelle je lui annonçais que Bruno de La Morinière et moi-même venions à l’instant de déposer notre liste à la préfecture de la Mayenne… 45 noms acceptant de combattre sous l’étendard du FN et du Rassemblement Bleu Marine, pas mal, non ? Bay m’a alors dit que les médias harcelaient son parti concernant « mon » affaire et qu’il serait sage de faire le ménage…

Et alors ? Ayant accepté d’être soutenu par le FN et le RBM dans cette campagne, et ayant la « responsabilité » (si l’on peut employer ce terme) d’une liste de 45 colistiers, j’ai donc décidé de désactiver illico la cinquantaine d’articles de mon site susceptibles de donner lieu à de nouveaux tracas à mes proches et à ma famille. Les désactiver le temps de souffler un peu. De réfléchir aussi car la politique a cela de terrible qu’on s’y démène tellement qu’on finit par ne plus prendre le temps de réfléchir ! Vous comprendrez qu’il n’est pas dans ma nature de céder aux critiques de certains ennemis mal intentionnés. Je ne pense pas qu'il appartienne au Canard Enchaîné de me faire baisser la tête car je ne leur reconnais aucun sens politique et aucune autorité morale. Mais le Net a ceci de formidable qu’on peut désactiver et réactiver en quelques clics…

Ce fut une décision difficile à prendre ? Oui, car je fais partie de ces hommes qui aiment dire ce qu’ils pensent, qui considèrent que le débat d’idées doit avoir lieu. Y compris avec des mots qui, parfois, peuvent choquer l’époque actuelle. Et ce d’autant que mes propos en question étaient frappés au coin du bon sens ! Du reste, j’en veux pour preuve qu’on m’a collé les deux étiquettes précitées (homophobe et raciste) sans être en mesure de contester mes propos, sans aucune argumentation ! Pire, aucun journaliste ne m’a contacté pour me demander mon avis ! Aucun ! Ils ont préféré utiliser des épithètes toutes plus grotesques les unes que les autres (propos « fracassants », « nauséabonds », etc.) Voilà l'époque dans laquelle nous vivons. C'est assez minable, non ? 

Il y a toutefois un fait que vous avez déjà évoqué : ce site est le vôtre et pas celui du Front National… Oui et cela est très important. Les autorités du FN l’ont bien compris, qui me conservent tout leur soutien. Ils savent que nous sommes engagés dans un combat délicat, périlleux et où tous les coups sont permis…

Mais, dans ce domaine de la malveillance, c’est encore cette satanée Radio Mayenne qui a encore battu tous les records ! Ah ça oui car ses journalistes ont parlé tous les jours de cette affaire – tous les jours ! -  alors qu’ils n’ont jamais daigné me tendre un micro afin que je m’explique. Vous rendez-vous compte que Roque et Marchand ne m’ont pas interrogé depuis le 3 juillet dernier ! Sept mois ! C’est lamentable ! Mais heureusement pour nous, de nombreux Lavallois ont pris conscience de ce mauvais traitement et envisagent, le 23 mars prochain, de signaler à ces journalistes d’opérette ce qu’ils pensent de leur comportement lamentable…

J’espère que le jour où ils auront besoin de vous, vous saurez vous en passer  ! Vous ne pensez pas si bien dire car aujourd’hui, mercredi 26 février, alors que nous avions donné rendez-vous à Ouest-France et au Courrier de la Mayenne pour un point presse sur lequel je vais revenir, figurez-vous que nous y attendait un certain Thierry R., qui fait office de rédacteur en chef de la "première radio du département" !

Et il n’était pas invité ? Non. Quel sans gêne ! C’est pourquoi nous lui avons demandé de quitter les lieux le plus rapidement possible. Nous nous sommes passés de Radio Mayenne pendant sept mois, ce n’est pas maintenant qu’ils ont besoin de nous que nous allons changer nos saines habitudes… Disons aussi qu’en voyant ce Thierry R en train de nous attendre j’ai immédiatement compris pourquoi Armelle Roque avait gardé aujourd'hui son venin du matin concernant mon passage, hier soir, au Petit Journal de Canal Plus…  

Justement, j’allais vous en parler, vous êtes passé au Petit Journal de Canal Plus ? Vous êtes fou ou quoi ? Tous ceux qui pensent comme vous évitent cette émission totalement à charge ! Il se trouve que, n'ayant pas la télé chez moi,  je ne la connaissais pas, que je n’en avais jamais entendu parler ! Surtout, l’équipe était en place quand je suis arrivé dans la maison de quartier du Gué d’Orger pour faire ma réunion publique de 10 h 30.

Vous ignoriez que cette émission n’a qu’un souci : démolir les gens qu’elle interroge, et de la pire manière, sans donner aux victimes l’occasion de se défendre… Le tout en mélangeant les genres...  J’ignorais cela et j’ai autorisé l’équipe à filmer l’intégralité de la réunion. Puis, à la sortie de la maison de quartier un jeune type avec une barbe de deux jours et une tête à claques a souhaité me poser quelques questions. Il a alors tiré de son sac des extraits de mon blog, des citations qui avaient été épinglées par des gens qui ne pensent pas et ne penseront jamais comme nous… Tout était préparé.

Et alors ? Alors j’ai répondu à ces questions, après plus d’une heure de réunion.

Et alors ? Alors, si j’avais su qu’il s’agissait d’une pareille émission, j’aurais, bien sûr, refusé de répondre. On parle de sujets graves, qui touchent les gens les plus démunis (je pense aux problèmes de voisinage) et on se retrouve moqués par des jeunes bobos de Paris qui rient ou applaudissent comme des crétins quand on leur en donne l’ordre. J’étais loin de me douter que les sujets que nous avions abordés finiraient devant une telle assemblée, et avec des rires en boîtes, comme dans les séries américaines ! C’est assez lamentable et le type qui présente l’émission représente un condensé du boboïsme d’aujourd’hui. Enfin, une chose est sûre : mon électorat se moque pas mal de cette émission ! Quant aux propos qu’ils ont retenus, mon colistier et moi n’avons rien à en redire. Nous avons dit ce que nous pensons, comme dans n’importe quelle réunion…

Les réactions de vos proches ? Ils ont ressenti un sentiment de malaise devant l’émission. Ils n'ont pas aimé que nous soyons pris pour des imbéciles et ne comprennent pas qu’on puisse mépriser les gens à ce point, les gens simples surtout, ceux qui ont du mal à joindre les deux bouts et vivent dans des logements peu attirants. Des gens m’ont aussi téléphoné pour me soutenir, me dire qu’ils étaient derrière nous. Que le 23 mars, ce genre de provocation allait se payer cher dans les urnes. Car ne nous y trompons pas, les gens sont beaucoup plus exaspérés par les politiques et les journalistes qu’on ne le dit dans les médias. En clair, je crois que ce type d’émission, tôt ou tard, finit par se retourner contre ses initiateurs, dont je ne souhaite plus dire un seul mot. Ce sont des misérables et le type qui m’a interrogé est certainement le plus grand crétin que j’aie jamais croisé dans ma vie. Un crétin malfaisant, œuf corse. Enfin, si j’ai un conseil à donner à ceux qui voient cette équipe se pointer en leur direction, qu’ils refusent de leur parler, de les recevoir. 

Ce sera le mot de la fin ? Non. J’ai également indiqué aux journalistes présents ce jour que j’allais attaquer en justice l’un de mes concurrents, le sieur Bedue, que je ne connais ni d’Eve ni d’Adam et qui a prononcé les paroles suivantes dans le Courrier de la Mayenne de la semaine dernière :  « Gruau fait semblant de s’intéresser à tous, mais il n’aime que les riches lavallois, blancs ou de souche. » Il fut un temps où pareille insulte aurait mérité réparation dans le pré mais aujourd’hui cela se règle par une plainte auprès du procureur de la République. On ne peut pas dire n’importe quoi. Est-ce que je dis du mal de ce Monsieur, moi ?

Vous ne l’avez jamais rencontré ? Jamais ! Je ne lui ai jamais parlé de ma vie et ne connais rien à son sujet. En revanche, je connais un peu le chanteur Kaar Kaas Sonn, que j’ai présenté dans un Laval Infos avec un portrait couvrant quasiment toute la page. Ce portrait se trouve dans Laval Infos n° 112  et peut se consulter sur l’Internet (avril 2006, article signé JCG). J’ai plusieurs fois échangé des propos intéressants avec lui (notamment sur la musique de Bach revue à la sauce africaine, un mélange détonant !) et peux même ajouter que je l’ai pistonné pour qu’il puisse travailler pour le Lycée Molière, qui cherchait à l’époque un professeur d’économie… D’autre part, j’ai également côtoyé à la mairie une colistière de M. Bedue, qui s’appelle Claudine Prioul. Elle est blanche, certes (contrairement à M. Kobdigué) mais je doute qu’elle soit riche… Bref, les propos de M. Bedue sont minabillissimes et, d’après moi, uniquement motivés par le fait que les gens du peuple ne sont pas du tout attirés, dans l’isoloir, par les listes soutenues par le Front de gauche ou/et le POI. Pourquoi ? Parce qu'elles haïssent toute préférence nationale !

Est-ce tout, côté justice ?  Non, ce matin, dans le Canard, le dénommé Sorj Chalandon, m’a de nouveau attaqué dans un article aussi fielleux que vantard (« Le Canard fait un brin de ménage à Laval »). J’ai tout de même réussi à avoir ce type au téléphone et peux vous certifier qu’il n’a pas une petite estime de lui-même ! Et le pire est qu’il se flatte d’être catholique romain ! Enfin notre échange a été courtois et j'ai pu lui dire que cette fois il avait dépassé les bornes en transformant l’un de mes articles pour me faire passer – cela manquait – pour un antisémite. J’avais évoqué trois patrons dans l’une de mes interviews et il s’est contenté de n’en citer deux pour, une fois encore, me salir. Nous réglerons donc cela devant les tribunaux. Car l’article qu’il a sciemment transformé a eu la chance d’avoir été conservé par plusieurs sites qui ne me veulent pas nécessairement du bien…

Bien, bien, je suis ravi d’avoir pu de nouveau vous interroger car j’avais cru comprendre que vous alliez abandonner ce site ! Que nenni ! Je vais seulement écrire de nouveaux articles en attendant la fin de la campagne et je remettrai tous les autres après le second tour…

Car vous pensez accéder au second tour ? Oui, plus que jamais ! Et la sur-médiatisation que nous avons connue la semaine dernière grâce à M. Sorj Chalandon, m’a persuadé que cela arrivera.  

2024  Laval et son histoire   globbersthemes joomla templates