Les lectures de vacances du candidat JC Gruau
Le temps des vacances étant aussi celui des lectures, j’ai demandé à la future tête de liste de « Laval Mieux Vivre » de nous parler des livres qu’il a paresseusement dévorés pendant ses quinze jours de farniente au bord de la mer. Evidemment, certains sujets traités dans les livres en question rejoignent des préoccupations partagées par nombre de futurs électeurs… D’autres,en revanche, ne relèvent que du simple plaisir de s’évader avec des personnages qui ont marqué leur temps....
Alors, cher candidat, les vacances, pour vous, c'est aussi la lecture... J’ai toujours vécu avec et au milieu des livres, objets dont je ne saurais me passer ne serait-ce qu’une journée. C’est mon côté Mitterrand. Pour parler comme Montesquieu, je dirai que la lecture « a été pour moi le souverain remède contre les dégoûts de la vie, n’ayant jamais eu de chagrin qu’une heure de lecture n’ait dissipé. » Résultat : si les rares vacances que je prends m’éloignent de l’ordinateur et de l’Internet (sans que j’en souffrisse le moins du monde), elles m’offrent à chaque fois un plaisir de roi : lire deux ou trois heures d’affilée sans être interrompu.
Que lisez-vous ? Des livres récents ? Des romans ? Généralement, je termine quelques-uns des six ou sept ouvrages que j’ai « en cours » et qui se trouvent, le plus souvent, au pied de mon lit… Il s’agit principalement de recueils d’articles, biographies, mémoires, essais, journaux littéraires, livres d’Histoire écrits par des auteurs qui, souvent, feraient hurler les militants du PS ou du Parti de Gauche. Jamais de romans, en tout cas. Ou alors, une fois tous les trois ans, un « vieux » Déon, le seul auteur qui ait le don de me faire voyager sans quitter mon fauteuil, dans des pays me faisant encore rêver à mon âge (Grèce, Italie, Irlande).Ils me font rêver parce que je n'y mets pas les pieds...
Vous n’achetez pas de livres spécialement pour les vacances ? Si. Chez les bouquinistes que je fréquente immanquablement quand je suis en dehors de Laval. Le plus souvent, il s’agit de mémoires de chanteurs, d’acteurs, de troisième couteau qui évoquent des personnages ayant eu, en leur temps, suffisamment de talent pour attirer mon attention. J’étais très Paris-Match dans ma jeunesse, je me tenais au courant de la vie des stars. Aujourd’hui, la cinquantaine commençante, ces lectures me rappellent de bons souvenirs, une France que j’aimais. Ils me permettent aussi de découvrir quantité de détails croustillants que je peux ensuite « recracher » aux personnes qui assistent à mes causeries à caractère historique… J’aime apprendre les anecdotes sur les gens, les détails qui font sourire et, souvent, en disent plus long sur les personnes en question qu’une batterie de tests psychologiques.
Et cet été qu’avez-vous acheté chez les bouquinistes ? Je me suis laissé tenter par les mémoires d’un grand nom de la presse française de la fin du siècle dernier (Paris-Match, Jazz Magazine, Lui…), Daniel Filipacchi (Ceci n’est pas une autobiographie). Non sans talent cet homme aujourd’hui rangé des voitures raconte des souvenirs concernant des jazzmen (Miles, Dizzy, Django, Grappelli…). Mais aussi quelques anecdotes concernant Simenon, Cloclo, le général de Bénouville, Marcel Aymé, France Gall, Jean-Marie Le Pen… Le bonhomme ne m’a pas emballé (c’est un fan d’art contemporain et il souhaite mourir dans une maison spécialisée en Suisse…) mais je dois dire qu’on ne s’ennuie pas en le lisant. Il sait trouver le détail qui fait mouche.
Pourquoi avoir acheté ce livre ? Parce que vous feuilletiez des Lui dans votre jeunesse entre deux lectures de Paris-Match ? Non. Parce que, en préparant dernièrement une causerie sur l’année 1978, j’ai été amené à parler du vingt-cinquième anniversaire du « Livre de Poche » qui eut comme fondateur un salarié de la maison Hachette qui s’appelait... Henri Filipacchi, le père de mon mémorialiste. J’aime beaucoup ces rapprochements, que tous les amateurs de livres connaissent puisque bien souvent quand ils en achètent un (ou se le procurent à la bibliothèque), c’est parce que ce dernier évoque ou a trait à un thème, un personnage, une histoire qu’ils ont découverts peu de temps avant.
Pouvez-vous nous donner une anecdote qui vous a amusé ? Oui, elle concerne l’alter ego de Daniel Filipacchi, Franck Tenot, qui avait la prétention – partagé par énormément d’hommes « ayant réussi » - d’être un fin connaisseur dans le domaine du vin. « Cela m’agaçait, écrit Filipacchi. J’ai toujours pensé que les œnologues professionnels sont souvent des bidonneurs, faciles à comprendre. Et les amateurs encore plus. » Pour s’amuser et tester son ami et associé en affaires, Filipacchi lui rapporte de Londres un cadeau : une boîte de conserve contenant de la poudre de vin rouge ! L’autre se moque, refuse le cadeau et Daniel lui dit qu’il va lui préparer ce breuvage qui, d’après ce qu’il a cru comprendre, vaut un Bordeaux style wagons-lits. « Je repris ma boîte, poursuit Filipacchi. La semaine suivante, je revins avec un petit bidon dans lequel j’avais versé une bouteille du vin préféré de Franck : le Château-Margaux, une année correcte, j’ai oublié laquelle. Il remplit un demi-verre de ce vin, le porta à sa bouche et, avec une expression dégoûtée, se précipita à la fenêtre pour le recracher bruyamment. Je sortis de ma poche l’étiquette de la bouteille de Château-Margaux que j’avais soigneusement décollée et la lui mis sous le nez. Notre amitié résista à cette épreuve, mais ce fut limite. »
Quel autre livre avez-vous également acheté ? Un ouvrage sur le célèbre Principe de Peter selon lequel, dans une hiérarchie, tout employé tend à s’élever à son niveau d’incompétence, à savoir un poste où il sera mauvais. Il est vrai que j’ai souvent rencontré des gens qui avaient grimpé des échelons tout pendant qu’ils étaient compétents à tel ou tel poste et qui, une fois arrivé à un stade « prestigieux », n’en bougeaient plus car ils y étaient… incompétents ! Dès lors, plus question de grimper ! Mauvais ils étaient, mauvais ils resteraient pour le plus grand déplaisir de ceux qui étaient sous leurs ordres. Bien sûr, on trouve rarement un système dans lequel chaque employé aura atteint son niveau d’incompétence ! Dans la plupart des cas le travail continue grâce à ceux qui n’ont pas monté en grade et qui… effectuent parfaitement leur travail.
Des noms, des noms ! Vous rigolez ! Je ne veux pas perdre la considération de certaines personnes susceptibles de voter pour notre liste… Pour le reste, j’ai également lu les mémoires de la fille aînée de Jean Moncorgé : Quitte à avoir un père, autant qu’il s’appelle Gabin…
Vous appréciez Gabin ? Oui, beaucoup, même si le personnage en rajoute des tonnes dans le genre vieux loup de mer. J’apprécie sa gouaille, son côté bourru. Le fait qu’il ait combattu courageusement aussi pendant la dernière guerre. J’ai grandi avec des films que je revois toujours avec plaisir : La Traversée de Paris, La Horse, Le Clan des Siciliens, Le Chat, Les Vieux de la Vieille, Le Président, Deux hommes dans la ville… J’aime moins le Gabin jeune mais j’ai tout de même plusieurs fois savouré Le Quai des Brumes et, surtout, La Grande Illusion… Je dois avouer que, quand je revois Gabin, je revois mon grand-père paternel, l’homme qui a le plus compté dans ma vie.
Et le bouquin de sa fille ? Agréable à lire. Avec des souvenirs qui me présentent un homme tel que je l’imaginais : casanier, râleur et doté d’une mauvaise foi de compétition. Un fichu caractère. J’ai eu du plaisir à mieux connaître ce personnage aujourd’hui inimaginable. J’apprécie par exemple le fait qu’à cinquante ans, il ait cessé de jouer les séducteurs et souhaité changer de personnage. Aujourd’hui, le type de soixante ans qui a réussi, il avale (discrètement) du viagra et porte des « 501 » en reluquant les copines de ses petites-filles. Gabin, c’était autre chose…
Vous avez un extrait à proposer à vos lecteurs... Bien sûr et il concerne cet aspect famille du personnage : « Pierre Granier-Defferre, qu’il avait connu assistant et qui eut avec lui des rapports très complices, avait été marié quatre fois et avait cinq enfants de ses différentes femmes. Mon père, d’une façon amusée, lui avait lancé un jour : « T’as une vie compliquée, toi. » Et quand Pierre lui avait rappelé avec humour ses anciennes liaisons et ses deux précédents mariages, il lui avait rétorqué avec sa mauvaise foi légendaire : « Ouais, mais je n’avais pas d’enfants. Quand on a une famille, on l’assume jusqu’au bout même si c’est emmerdant. » C’est exactement ce que je pense, et je crois que bien des maux de notre époque ont pour origine la déstructuration de la famille aujourd’hui.
Et si nous évoquions les livres que vous aviez en cours… Bien volontiers. J’ai achevé le dernier livre de l’excellent Jean Madiran, l’une des plus fines plumes du catholicisme de tradition, mort cet été à 91 ans : Chroniques sous Benoît XVI (tome 1). Ce livre – qui recense les chroniques écrites de 2005 à 2009 dans le quotidien co-fondé par Madiran, Présent, est un chef d'oeuvre d'intelligence qu’on savoure en prenant des notes, surtout si on n’est pas - c'est mon cas - un spécialiste de la religion catholique et du (désastreux ?) Concile Vatican II. Madiran est d’une précision et d’une érudition tout à fait remarquables.Historien, il évoque également la France d’aujourd’hui et les innombrables problèmes qui se posent à elle pour mériter son titre de « Fille aînée de l’Eglise ».
Pourriez-vous nous donner un exemple de son art… Il y aurait cent extraits à livrer mais en voici un, daté du 11 décembre 2009, et qui concerne le fameux « pacte républicain » dont les politiciens à la sauce Garot nous rebattent les oreilles à longueur de journées. « Ce pacte républicain, écrit Madiran, si abondamment mais si obscurément ressassé, nul ne peut dire à quelle date et par qui il aurait été signé. Il est aussi imaginaire que le supposé « contrat social » de Jean-Jacques Rousseau, il relève de la même idéologie. Il renvoie en général à la devise liberté-égalité-fraternité et à la Déclaration des Droits de l’Homme (sans Dieu = DHSD). Souvent il s’y ajoute une traduction dialectique : la lutte contre toute discrimination par un métissage universel des ethnies, des cultures et des religions, sous le patronage de la laïcité à la française. » Et Madiran de poursuivre : « Oui mais voilà : on ne naît pas dans un pacte, fût-il républicain, on « naît » dans une « nation ». L’identité nationale rassemble tout ce qui est reçu à et par la naissance, et qui n’est pas choisi, et qui ne peut être aboli, on pourra seulement, si on le veut, le renier ou le trahir. Le pacte au contraire, c’est ce qui n’est pas reçu, c’est ce qui est choisi. Ce n’est pas une identité, c’est une intention. Ce n’est pas une réalité, c’est une idéologie. Théoriquement, on peut en sortir aussi librement que changer de parti politique ou démissionner de n’importe quelle association (…)»
Intéressant ! Comme on dit aujourd’hui : « Madiran, c’est du lourd ! » Ah ça, oui !, c’est autre chose que le traitement de la question de l’identité nationale par ce rigolo d’Eric Besson ! Vous vous souvenez de ce gugusse qui était passé de Royal à Sarkozy et devait nous faire réfléchir sur l’identité nationale ?
Non, j’ai une capacité inouïe pour oublier les gens sans intérêt. Autre ouvrage que vous avez terminé, cher candidat ? Le journal littéraire de Renaud Camus pour l’année 2012, le dernier de la série à être publié chez Fayard. Il y a des pages excellentes dans lesquelles cet écrivain courageux souligne son amour de la culture française et sa hantise de la voir disparaître. C’est lui qui a théorisé le « Grand remplacement de population » dont je parle sans cesse. Plutôt que de livrer sa prose voici un petit apologue que Camus cite le dimanche 16 décembre. Il est signé d’un certain Eric Chevrillard et, sur son blog L’autofictif, est présenté comme une dépêche d’agence : « La découverte hier d’un nouveau cas d’enfant civilisé a vivement ému l’opinion. Les services sociaux ont reçu un signalement de voisins choqués par les bonnes manières de ce garçonnet de dix ans qui se trouve aujourd’hui dans un état lamentable : il parle avec aisance quatre langues, connaît le grec et le latin, joue du violon, du piano, touche même du clavecin, il s’exprime avec raffinement et distingue sans coup férir un Titien d’un Tintoret. L’enfant a été immédiatement retiré à sa famille et placé dans un foyer. Ses parents devraient être mis en examen dans la soirée. » Bien vu, non ?
Camus parle-t-il aussi de son action politique (il est président du parti de l’In-nocence) ? Oui, ainsi le samedi 20 octobre revient-il sur l’affaire de la mosquée de Poitiers qui fit grand bruit et suscita beaucoup de réconfort chez nombre de Français de souche. « Nous venons de publier un communiqué de soutien aux jeunes gens qui ont occupé quelques heures durant la grande mosquée de Poitiers. Ils ont agi de la façon la plus in-nocente, l’édifice n’étant pas encore en service il n’y a donc pas eu de profanation, et tout ce qu’ils ont réclamé, bien démocratiquement, c’est que le peuple soit consulté sur la poursuite de l’immigration et de la construction de mosquées. Moyennant quoi, ils sont traînés dans la boue, bien entendu, par l’ensemble des médias remplacistes, si je puis risquer le pléonasme. »
Les médias « remplacistes » ? Oui, tous ceux qui voient d’un œil favorable l’implantation sur notre sol d’une nouvelle population venue des pays chauds. Tous ceux qui détestent les Gaulois, l’héritage de la France, le catholicisme. Tous ceux qui veulent que nous ressemblions à une affiche publicitaire pour la marque de vêtements Benetton (United colors)…
Vous ne sortez décidément jamais de ce sujet ! Eh bien, pour tout vous dire, en Bretagne, dans la station où j’étais invité à passer quelques jours en famille chez un ami que je remercie au passage, j’avoue ne pas avoir ressenti ce que je ressens chaque fois que je me rends à Paris, dans le 9.3 ou, depuis quelques années, dans le centre-ville de cette belle ville de Laval… J’avoue être particulièrement sensible à ce thème, comme vous dites, car il concerne la France et l’avenir de mes enfants. Je vous répète que je n’aime guère la tournure que prennent les évolutions démographiques de mon pays. Je trouve scandaleux que nous ouvrions nos portes à tout va ! Cela ne peut que se terminer par un bain de sang !
Un dernier livre, peut-être ? Non, deux si vous le permettez : j’ai acheté et lu dans la foulée la correspondance entre deux écrivains que j’admire, deux académiciens français : Michel Déon et Félicien Marceau. Ayant beaucoup pratiqué l’un et l’autre, c’est avec plaisir que j’ai lu leur correspondance même si elle ne vaut pas en rosseries et autres vacheries, celle d’un Morand avec son ami Chardonne. Enfin, il y a des passages agréables et un très beau mot de Déon concernant l’Irlande, une île qui n’est « qu’un morceau de Bretagne parti à la dérive ».
Et le second ouvrage que vous évoquiez ? C’est un Muray posthume, qui vient de paraître, « Causes toujours ! » avec des chroniques parues dans le journal La Montagne. Il va de soi que je le recommande à tous ceux qui ne connaissent pas cet auteur extraordinaire décédé en 2006 d’un cancer du fumeur.
Muray, c’est vraiment votre penseur "actuel" préféré, celui auquel vous vous référez chaque fois que vous essayez de comprendre notre époque asphyxiante. Et comment ! J’en parle longuement dans ce blog où une partie lui est même consacrée. Il avait su, avant nombre de ses contemporains, décrypter le monde dans lequel un homme comme Guillaume Garot ne peut que « réussir ». Le triomphe du vide sidéral. Du néant. Le principe de précaution érigé en dogme. La haine du « vide juridique ». L’interdiction d’appeler un chat un chat. Etc.
Vous avez un extrait à nous proposer ? Oui et comme il concerne les discriminations, je me permets de le dédier à l’une de mes têtes de turc sur ce site, l’adjointe au maire Sylvie Deslandes dont la fonction et le titre ronflant sont aussi coûteux qu’inutiles pour le contribuable lavallois. Elle est adjointe à l’égalité des sexes et à la lutte contre les discriminations. Quel baratin !
Venons-en à votre extrait… Muray, dans une chronique de 2004, évoque le projet de loi chiraquien destinée à punir les propos « discriminatoires » à caractère « sexiste » ou « homophobe ». Ce projet - qui portera le nom de Loi Perben - a été pondu par la pseudo-droite « pour se faire pardonner son opposition au mariage gay ». Entre autres vérités, Muray revient sur une définition qui a son importance : qu’est-ce qu’un propos « discriminatoire » ?
Oui, qu’est-ce au juste ? " La discrimination, on rougit de le rappeler, est à l’origine et littéralement, l’action de distinguer des objets de pensée, ou de discerner les choses les unes des autres. Il n’y a donc pas un propos, dans quelque langue que ce soit, il n’y a pas une phrase issue d’une pensée un peu construit , qui ne soit, en son essence, discriminatoire. La parole ne s’énonce que pour distinguer ou différencier. Toute opinion est un tri. Toute remarque, même la plus évasive, commence par écarter ce dont elle ne parle pas et que, par conséquent, elle « discrimine ». Au-delà, ou en deçà, de cette verbalisation par laquelle l’être humain adulte se distingue de toutes les autres espèces, s’étend le vaste domaine des borborygmes, gargouillis, onomatopées et autres baragouins. Disons : le parler-bébé. Ou la glossolalie, qui est une vergibération particulière, dépourvue de structures et inintelligible, une salade de mots informe et sonore ne renvoyant à aucune réalité anthropologique, cosmique ou historique."
Mais quand même, certaines injures... « On me dira, poursuit Muray, qu’il s’agit de sanctionner les injures à caractère « sexiste » Ou les insultes « homophobes ». Mais qu’est-ce qu’une injure ? Et qu’est-ce qu’une insulte ? Le simple fait de mettre entre guillemets « sexiste » et « homophobe », c’est-à-dire de prendre avec des pincettes deux termes hâtivement découpés dans cet aggloméré très spécial que compressent avec une inventivité satanique les dominants modernes pour forger leurs instruments punitifs, ce simple fait n’est-il pas déjà injurieux ou insultant par ce qu’il suppose de mise à distance de ces termes ? »
En clair, vivent les discriminations et à bas Sylvie Deslandes ! Si vous le dites…
Merci cher candidat et à bientôt, pour un nouvel entretien qui concernera la rentrée de septembre. Vous savez où me trouver, votre jour sera le mien. Et bonne rentrée à mes nombreux lecteurs…