CM du 24 septembre 2018 : halte de nuit, africanisation de la gare, expertise psychiatrique...
Alors, cher JCG, vous avez de nouveau participé au conseil municipal de lundi dernier, 24 septembre 2018, et le moins que l'on puisse dire est que vous n'êtes pas resté silencieux... Il ne manquerait plus que ça ! Car si je fais l'effort financier de rester dans ma ville de coeur un lundi soir pour un conseil c'est pour défendre mordicus les idées de la droite nationale qui m'ont fait élire en 2014, ce n'est pas pour faire de la figuration comme nombre de mes voisins socialos ou non, qui feraient mieux de rester chez eux devant leur télé car, entre nous, ils ne servent strictement à rien !
Vous aviez prévu, je pense d'intervenir sur le sujet «brûlant» de la halte de nuit, qui a défrayé la chronique politique lavalloise la semaine dernière... Oui, car j'étais tombé sur ce sujet par hasard le matin même en lisant la couverture de Ouest France chez la boulangère chez qui je me rends tous les lundis matin. J'ai constaté que près de 300 personnes «en voulaient» au maire centriste d'avoir tenu des propos politiquement incorrects concernant cette «halte de nuit». Mais je dois reconnaître que, dans mon esprit, cette halte de nuit concerne l'accueil des «SDF», et non celui des envahisseurs «recrutés» en Afrique par la super-classe mondiale judéo-maçonnique et financés chez nous par nos impôts, les fameux «migrants».
Et alors ? Alors je me suis permis de dire que je ne voulais pas spécialement défendre le maire et son équipe dans cette affaire mais que ce que je savais de la situation présente ne méritait aucunement les critiques déchaînées de certains bobos de la gauche locale qui, n'ayant aucun leader à suivre, aucun programme politique susceptible de sauver notre pays du désastre, sautent sur tout ce qui bouge pour se mettre en avant...
Tantôt ils pétitionnent contre l'aménagement de Saint-Julien, tantôt ils poussent des hurlement concernant une retransmission un tantinet ratée d'une finale de coupe du monde de football et aujourd'hui c'est cette histoire de halte de nuit...
«On existe comme on peut», avez-vous ajouté. Oui, avant de poursuivre en disant qu'il est évident qu'un tel bâtiment se doit d'exister dans notre cité car nous devons tendre la main au plus faible - s'il est français, bien sûr ! et non un «migrant» -, et lui assurer, dans la mesure du possible, un accueil d'urgence mais il est non moins évident que le bâtiment - surtout quand il compte une cinquantaine de places - ne saurait se situer n'importe où en ville car l'image d'une cité passe avant tout par celle de son centre... D'autre part, ai-je poursuivi, soyons franc : je ne connais guère de personnes, la nature humaine étant ce qu'elle est, qui se réjouirait de voir s'ouvrir une halte de nuit près de chez elles...
Mais attention, il y a une exception... Forcément ! Et cette exception est, une fois de plus, je vous le donne en mille, cette sorte de saint laïc qui vit quelques jours par semaine dans notre cité et qui n'en finit pas de donner des leçons de morale à la terre entière tout en empochant - et sans aucune charge de famille ! - plus de 10 000 euros par mois depuis 11 ans, depuis sa première élection à l'Assemblée dite nationale, en 2007, contre François d'Aubert !
C'est le «bon Monsieur Garot».. Lui-même qui, dans le Ouest d'hier justement, évoque la main sur le coeur les «valeurs humanistes» (tais-toi franc-mac !) et le «respect de la dignité» sans même s'apercevoir que si ce parasite social était payé en fonction de la qualité de ses propos, il pourrait réellement parler des haltes de nuit car il les fréquenterait 365 jours par an...
Bien vu ! car ce type ne profère que des banalités ou d'énormes conneries... Alors, une fois de plus, chers collègues, ai-je poursuivi, contrairement à «saint Guillaumette», gardons notre calme et notre sang-froid et attendons que la Ville, en lien avec la préfecture - car la question de l'hébergement d'urgence est de la compétence de l'Etat -, trouve un local qui ne perturbe en rien les riverains concerné ; riverains qui, je le rappelle, ne sont en rien responsable de la misère occasionnée par le Nouvel Ordre Mondial soutenu, entre autres, par Monsieur Garot et ses affidés...
Il y a eu des remarques du côté gauche ? Oui, forcément. Georges Poirier - qui a tendance lui aussi à se croire meilleur qu'il n'est - a évoqué le point de vue des catholiques... Il a parlé de Marie et Joseph qui, d'après lui, étaient des «migrants». Je lui ai répondu, autant que je m'en souvienne, que le fait d'avoir un frère curé (conciliaire) ne lui donnait pas le droit de nous faire la morale ! De plus, ai-je ajouté, Jésus n'a jamais dit qu'un peuple devait, comme c'est le cas pour la France actuellement, se suicider ! Nous avons le devoir d'aimer notre prochain, certes, mais... pas d'accueillir sur notre sol notre lointain, de surcroît quand ce dernier débarque chez nous avec "sa bite et son couteau".
Vous avez employé cette expression ? Oui, mais un peu plus tard dans la soirée, dans une réponse liée à l'invasion de ces Africains qu'on dénomme des «migrants» et que le Gouvernement réussit à placer partout en France pour tuer notre peuple.
C'est une expression qui a dû choquer un tantinet vos collègues de gauche ? Bien sûr ! Mais je ne sais pas ce qui ne choque pas ces insupportables chochottes ? C'est pourquoi j'ai rappelé que c'était une expression populaire (qui vient du peuple), qu'elle est, à ma connaissance, toujours dans le dictionnaire. Avouez qu'elle est parfaitement à sa place quand on évoque ces nouveaux arrivants.
Bien sûr et il suffit de lire tous les jours n'importe quelle rubrique de faits divers pour en être convaincu... Chose que ne font pas - hélas ! - la plupart des conseillers municipaux lavallois qui par flemme ou habitude ou désir de ne pas choquer leur maire chéri se contentent de lire Ouest France et le Courrier de la Mayenne, deux journaux pro-migrants, Anti-France éternelle, pro-métissage obligatoire, etc. Ces gens vivent vraiment dans un monde de «bisounours» et n'auront bientôt plus que leurs yeux pour pleurer quand ils se retrouveront nez à nez avec un envahisseur qui leur demandera de quitter leur maison...
Ils prendront alors conscience que l'expression que vous avez utilisée était particulièrement appropriée [rires]. Oui, hélas ! Mais il sera trop tard..
Vous êtes ensuite revenu sur le bilan 2017 des actions de Laval Agglo, actions que le président, et maire de Laval, François Zocchetto, vante à qui mieux mieux comme étant de nature à favoriser «l'attractivité de notre territoire». Oui, c'est l'expression qu'il emploie régulièrement, il parle de « territoire » à longueur de journée, ainsi que «d'attractivité». Mais l'attractivité de Laval en général et celle du quartier de la gare en particulier seront nulles si notre cité accueille autant d'étrangers que n'importe quelle grande ville de France ! Pas besoin d'avoir son bac pour comprendre cela !
Qu'avez-vous dit ? Exactement ceci :
« Je voudrais revenir monsieur le maire sur l'une de vos grandes obsessions, sinon la principale, que vous poursuivez depuis que vous êtes président de Laval agglo et que vous avez une fois de plus signalée à la toute fin de votre édito, à savoir : l'attractivité de notre territoire.
Je commencerai par dire que si votre rapport sent par trop le mirobolant, le clinquant, le pubeux qui, dirait Céline «tortille du panier» pour se faire bien voir, il faut reconnaître que de gros efforts ont été entrepris et qu'il y a - en cours ou déjà inscrites au bilan de votre mandature - plusieurs réalisations que MM. Garot et Boyer eussent été bien incapables de lancer.
Mais - car il y a un mais - il y a toutefois un aspect de l'attractivité que vous refusez toujours de citer, un aspect pourtant essentiel, un aspect auquel les Lavallois en général et les Lavallois les plus modestes en particulier sont particulièrement attachés : c'est l'homogénéité de la population locale, homogénéité qui est le fruit d'une longue histoire modelée, qu'on le veuille ou non, qu'on le comprenne ou non, par la culture gréco-latine et la religion catholique. Cette homogénéité, il est bon de le rappeler, a permis un «vivre ensemble» qui, hors la triste et sanglante période révolutionnaire, a plutôt bien fonctionné chez nous, à Laval, si l'en en croit les commissaires de police qui se sont succédé dans notre cité tous plus ou moins sidérés d'avoir officier dans une ville aussi tranquille.
Le problème, monsieur le maire, c'est que cette homogénéité de population commence à se fissurer depuis plusieurs années et que les rues de Laval ressemblent de plus en plus à celles qu'on rencontre dans moult villes de France avec une population originaire d'Afrique chaque mois de plus en plus importante.
Ce changement démographique, que seuls les aveugles ayant des problèmes auditifs ne peuvent constater, inquiète de très nombreux Lavallois qui m'en font part toutes les semaines et ce tout en souhaitant garder l'anonymat car, ils ont bien compris la leçon lorsque l'an passé, un conseiller municipal élu du peuple s'est retrouvé comme un malfrat ou un violeur dans un commissariat de police pour avoir simplement fait remarquer à une assemblée bouchée à l'émeri qu'un des trois chantres les plus fameux de la négritude, Aimé Césaire, était noir.
Monsieur le maire, je sais que vous n'appartenez pas aux élites mondialistes de l'ONU qui ont donné instruction à l'Union Européenne d'appliquer le principe de la Replacement migration, en français migration de peuplement, une décision longtemps tenue secrète, mais que Philippe de Villiers, dans son dernier livre, «Les cloches sonneront-elles encore demain ?», a fait connaître au public, décision qui met en place un scénario migratoire proprement effrayant pour les caucasoïdes que nous sommes : car pour atteindre le ratio "3 actifs pour un retraité" ce scénario impose de faire entrer en France 16 millions de migrants entre 2015 et 2040, soit 800 000 personnes par an sur la période...
Pour infos, sachez que 37% des jeunes en Afrique subsaharienne veulent émigrer, que 40% de la population africaine a moins de 15 ans et qu'en 2050 il y aura 5 fois plus d'Africains que d'Européens...
Monsieur le maire, ce changement de population devrait vous inquiéter car il est à même de rendre notre territoire aussi peu attractif que ceux des grandes banlieues de notre pays, y compris dans le quartier de la gare en général et dans l'avenue Robert Buron en particulier qui, dixit un retraité que j'ai rencontré ce matin, devrait être rebaptisée «Black Street» !
J'insiste oui, une fois de plus, car cette africanisation galopante occasionnera immanquablement d'énormes problèmes dans le domaine dit de la sécurité, des règles du vivre ensemble, or on ne vous entend jamais en parler alors que le père de famille que vous êtes a prouvé qu'il était plutôt un chaud partisan de la croissance interne en matière de lutte contre le déclin démographique...
Je n'ose pas croire que l'avenir de notre population - de la population de notre territoire - ne vous intéresse pas et que l'africanisation de notre cité ne vous donne pas de temps à autres des frayeurs !
Ma question est donc simple, quand allez-vous enfin nous brosser un tableau détaillé des flux migratoires en provenance d'Afrique et, dans la foulée, nous poser, via un référendum d'initiative locale, la question de savoir si oui ou non, nous souhaitons que la Ville de Laval, eu égard à sa croissance démographique actuelle, devienne dans très peu de temps, je veux dire moins d'un siècle, un territoire africain.
Il s'agit vous en conviendrez d'un sujet infiniment plus important pour notre avenir commun - et surtout celui de nos descendants - que de savoir s'il faut mettre ses papiers de bonbons Krema dans la poubelle marron ou dans la poubelle jaune... »
Et alors, quelle fut sa réponse ? Comme d'habitude : silence total. Ce sujet ne l'intéresse pas ? Non. Il attend sûrement qu'il y ait des morts en ville pour réagir... En tout cas, moi, je continue de tenir des propos que je juge essentiels concernant le présent et l'avenir de ma cité de coeur.
Ensuite, ce fut une séance rigolade avec le nouvel achat de tableau préconisé par M. Pillon... Ah ça oui, nombre d'élus ont souri quand ils ont vu le tableau en question, un tableau très moyen, très médiocre, signé par un certain Renaud Philippot, un tableau que la Ville achète tout de même 1 200 € ! Un scandale !
Qu'avez-vous dit ? «On connaissait Florian Philippot et voici maintenant le dénommé Renaud qui, j'imagine n'a jamais flirté avec feu le Front National sinon le très politiquement correct Didier Pillon n'aurait jamais accepté de lui distribuer un seul euro tiré de la poche du contribuable. Une fois de plus, je pense qu'il s'agit d'une oeuvre qui ne mérite pas plus de 50 € - pardon : 14 € ! - et que l'une de mes nièces serait capable de faire en moins d'une après-midi...» J'ai terminé en disant que je demandais une «expertise psychiatrique» pour M. Pillon, lequel a lui-même souri...
On vous a ensuite entendu évoquer l'un des principaux problèmes qui caractérisent actuellement la gare de Laval, que vous fréquentez toutes les semaines depuis un an... Oui, je me suis permis de relever ce détail un tantinet... vulgaire. Je vous écoute :
« J'ai appris ce qu'était une gare en juin 2017 grâce au président des ultra-riches, l'ancien salarié de chez Rothschild, le jeune Macron, qui en a donné la définition suivante (que vous pourrez graver, monsieur le maire, sur la façade du bâtiment SNCF si vous invitez ce plaisantin pas drôle à l'inaugurer un jour) : " Une gare, c'est un lieu où l'on croise des gens qui réussissent et des gens qui ne sont rien." C'est finalement une définition assez juste pour qualifier la gare de Laval car seuls ceux qui réussissent - et donc qui ont du pognon selon la philosophie macronienne - peuvent aller aux toilettes alors que les gens qui ne sont rien - et qui, dixit Macron, n'ont pas un sou - doivent attendre de monter dans le train pour faire leurs besoins...
Tout ça pour vous dire qu'il serait temps de remettre à la gare ce qu'il y avait naguère, à savoir des toilettes gratuites, lesquelles seront infiniment plus utiles aux voyageurs que le piano blanc qui rencontre rarement des doigts de fée pour nous enchanter... »
Et là, quelle réponse ? Que dalle, une fois de plus. Ce sujet n'intéresse pas Monsieur le maire qui, il est vrai, prend moins le train depuis qu'il a abandonné le Sénat... Et qui a priori n'a pas de problème de prostate [rires]. Non, a priori...
Ensuite le sujet a roulé sur les études d'experts concernant le projet de rénovation du centre-ville... Oui, la somme m'a fait réagir : 350 000 € et conduit à dire ceci au maire de Laval : « Je me souviens de l'époque - lointaine, il est vrai - où membre de l'opposition municipale avec François d'Aubert vous brocardiez à juste titre les dépenses des socialistes concernant des études pondues par des cabinets d'experts proches de la rose au poing... Certaines, du reste, concernaient l'attractivité du centre-ville, que la gauche avait quasiment tuée en acceptant l'ouverture de plusieurs grandes surfaces à la périphérie de Laval. Je m'aperçois que vous avez bien changé et que vous êtes devenu, vous aussi, socialiste quand il s'agit de commander des études sur le même sujet. En clair, 350 000 € me semble une somme beaucoup trop importante et ce d'autant que vous avez su mobiliser dans ce domaine d'innombrables citoyens qui auraient pu, eux-mêmes, faire le travail. »
Ensuite, on vous attendu évoquer d'autres sujets et notamment celui concernant une subvention liée à un livre sur le centenaire de la Première guerre mondiale financé par le Souvenir français... Oui, la Ville veut donner à cet organisme une subvention de 500 euros.
Qu'avez-vous dit exactement à l'élu plutôt sympathique mais pour le moins fantaisiste Pascal Huon ? « Vous souhaitez apporter, avec le Souvenir français, «un témoignage du sacrifice et de l'engagement de nos aînés pendant la Première guerre mondiale», très bien mais j'avoue être un peu sidéré de lire une délibération pareille car elle émane d'une équipe municipale dirigée par un Maastrichtien et qui s'est engagée à fond derrière le cosmopolite Macron lors de la dernière campagne présidentielle, d'une équipe qui défend l'Union européenne apatride matin, midi et soir et abhorre la notion de frontière puisqu'elle est prête à accueillir royalement n'importe quel étranger, y compris particulièrement haineux à l'égard de notre pays !
Je ne vois vraiment pas ce que vous pouvez avoir de commun avec les poilus de 14 qui se sont fait tuer pour défendre la France en cultivant un nationalisme et une haine de l'étranger - «à mort les Boches !" - qui, aujourd'hui, à cause des lois liberticides que vous avez approuvées, tomberaient sous le coup de la Loi...
Permettez-moi de penser que si les poilus de 14 avaient eu vent de votre vision de la France et de votre rejet viscéral du moindre réflexe nationaliste en dehors d'une compétition sportive, ils auraient refusé de se s'engager en sacrifiant leur vie, je n'en doute pas un seul instant.
Mais bon, tant mieux pour le Souvenir français qui a sans doute besoin de ces 500 € pour poursuivre sa nécessaire mission d'intérêt général et à qui je conseille, s'il lui reste un peu d'argent, 23 € exactement d'acheter un live décoiffant, un excellent bouquin écrit par deux historiens anglais Gerry Docherty et Jim MacGregor, «L'Histoire occultée, Les origines secrètes de la Première Guerre mondiale...»
C'était animé, à ce que je vois... Oui, d'un certain point de vue mais, vous l'avez remarqué, mes interventions ne récoltent toujours pas de réponses. C'est le silence le plus total, du côté du pouvoir, sauf avec le premier adjoint, Xavier Dubourg qui a tenté de justifier les 350 000 € de dépenses pour l'étude concernant l'aménagement du centre-ville, après que je lui fis remarquer qu'un grand nombre de retraités du bâtiment pourraient se mettre au travail bénévolement pour s'évader d'une existence par trop gnangnan, entre bobonne et la télé...
En revanche, on a senti que la gauche voulait de nouveau vous envoyer devant un tribunal... J'ai en effet le sentiment de plus en plus partagé par les élus de la droite molle que ces «rigolos de gauchos» supportent de moins en moins bien les élus qui ne pensent pas comme eux, bibi en l'occurrence ! Ce sont des petits dictateurs en puissance, des ennemis de la liberté d'expression, qui veulent étouffer notre liberté d'expression et nous obliger à penser comme eux ! Des tristounets de première, de sinistres cafards qui ne rêvent que de dénoncer les esprits libres comme le mien aux officines judéo-maçonniques qui nous disent quoi penser sur tous les sujets d'importance en France (Licra, SOS Racisme...). Ces flics de la pensée, je les méprise à un point inimaginable et me retiens de ne pas les insulter ! Car je ne supporte pas que ces censeurs m'interdisent de dire ce que je pense ! Je l'ai d'ailleurs dit plusieurs fois à Gourvil, le pire de tous lundi soir dernier : « J'ai été élu en 2014 pour dénoncer l'africanisation de Laval et si vous voulez que j'arrête de parler de cette invasion, il faut que vous l'arrêtiez en préconisant la réémigration !»
Ce type est de la graine de dictateur ! Oui. Mais Zocchetto, pour une fois, s'est montré réellement agacé par leur comportement. En l'occurrence par la leçon de morale prodiguée, j'y reviens, par le Père Georges Poirier...
C'était un peu «Modernes contre Modernes», comme aurait dit votre cher Muray dans ses Exorcismes spirituels n°4. Oui.
Revenons à ce triste Gourvil qui a fait part de sa haine de la voiture, qu'il souhaiterait interdire s'il le pouvait... Ce type est complètement givré, qui veut nous imposer de faire du vélo et de nous déplacer à pied ! Mais de quoi je me mêle ! Je lui ai répondu que je ne connaissais pas un jeune de 16/17 ans qui n'attendait pas avec impatience de conduire une voiture ! « Et vous voulez aussi leur interdire ce plaisir-là ?, ai-je demandé à ce triste personnage que je ne souhaite jamais voir au pouvoir. Et quand vous avez deux enfants en bas-âge, ai-je poursuivi, comment faites-vous ? Et quand vous voulez accompagner votre vieille maman faire un tour en ville ? Vous la prenez sur vos épaules ? Et les personnes handicapées, vous leur offrez un vélo 10 vitesses ? »
Il y a vraiment des «expertises psychiatriques» qui se perdent, côté gauche ? Oh que oui ! Mais il va falloir agir avec rapidité car ces malades gagnent chaque jour du terrain. Il est vrai que les media locaux - tous de gauche - les soutiennent ! Personnellement, j'ai beau marcher énormément depuis que je travaille à Paris (plusieurs kilomètres chaque jour), jamais il ne me viendrait à l'idée d'imposer ce moyen de locomotion à mes concitoyens ! Jamais ! Jamais ! Chacun fait ce qui lui plaît, dans ce domaine. Et dans mille autres, d'ailleurs. Ah ça oui, depuis que j'ai l'âge de m'intéresser à la politique, je hais la gauche, les types de gauche, qui nous rendent la vie détestable !
En tout cas, cela m'a fait grand plaisir de vous retrouver en forme au conseil et j'espère que vous reviendrez la prochaine fois ! Si Dieu me prête vie, c'est ce qui arrivera. Ainsi que la fois suivante car nous approchons des municipales...
A bientôt, donc, cher JCG. A la revoyure, Bois-Renard !