Un poème pour le Vieux Zinc !
Pour vanter le retour du Vieux Zinc, je décidai d’innover en composant un poème car deux autres restaurants étaient déjà à l’affiche du numéro concerné : Quand en l’an 2005, le Vieux Zinc dut fermer Les Lavallois, surpris, en furent attristés Normal : comment, gaiement, imaginer Le centre de la ville à tout jamais privé D’un vieux café connu, vraiment très apprécié Après plusieurs années passées à commercer Dans les pays de l’Est, un fils de charcutier Félix Cubarré, originaire d’Ernée Racheta le vieux café sans le débaptiser Et avec Monika, sa charmante moitié Redonna vie à la vieille brasserie Réjouissant ainsi ses très nombreux amis Heureux de pouvoir à nouveau y déguster Tous les jours sauf lundi, le midi, en soirée Des produits frais maison de grande qualité En salle ou à l’étage quand un groupe l’a demandé...
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