CM du 28 novembre 2016 : "Oui aux nouveaux médecins, non aux futurs malades !"
JC Gruau évoquons le conseil municipal d'hier soir, lundi 28 novembre, et commençons par un sujet qui tient particulièrement à coeur à l'ancien rédacteur en chef de Laval Infos que vous fûtes puisqu'il s'agit du journal municipal. Disons que la Ville nous a demandé d'entériner ou non la possibilité de mutualiser la distribution des deux magazines suivants : celui de la Ville, Laval la Ville, et celui de Laval, "Le Journal de l'Agglomération". Histoire de faire des économies, il n'y aura qu'un distributeur au lieu de deux. J'ai répondu favorablement mais ai souhaité que la Ville aille plus loin...
Comment ça ? J'ai demandé au maire de supprimer carrément ces deux magazines tant leur contenu sont d'une platitude absolue, un ramassis de poncifs politiquement corrects sans aucun intérêt autre que celui d'allumer sa cheminée, quand on en a une ! La preuve ? Le journal de Laval va devenir bimestriel ce qui veut dire qu'il y en aura deux fois moins, et cette nouvelle - pourtant révélatrice d'une société qui perd peu à peu le contact avec l'écrit - n'a suscité aucune remarque, hormis dans le camp de la gauche bobo qui pleure à l'idée d'être deux fois moins présente dans les boîtes aux lettres des Lavallois !
Car Monsieur Boyer avait reproché au maire cette diminution, je l'ai entendu en effet. Vous avez une bonne ouïe...
Cela dit vous n'avez pas critiqué les "journalistes" de ces deux magazines. Non, je ne les blâme pas car je sais pertinemment que dans le monde matériel et métissé, multiculturel et "multisexuel" dans lequel nous vivons aucun sujet d'échappe à la censure des nouveaux bien-pensants qui s'est progressivement imposée à tous ceux qui veulent rendre compte d'un événement, si minime soit-il, avec un bon sens bien de chez nous accompagné d'une once d'originalité, d'un zest de passé et - qui sait - d'une petite dose d'humour.
Plus le droit de dire ça sur ça, ni ça ni ça ni ça ! etc.
Vous n'avez pu vous empêcher de vanter votre ancien canard et votre ancien patron. Exact. J'ai rappelé qu'on était loin des "Laval Infos" de jadis qui donnaient régulièrement lieu à des attaques de la part de Monsieur Garot qui trouvait toujours une référence à critiquer, un mot à blâmer, une citation littéraire à ranger dans le camp de la droite dure... J'ai même suggéré que ce dernier me devait une partie de sa carrière car il est vrai qu'il profitait de Laval Infos pour se mettre en valeur, faire parler de lui.
Vous avez du reste évoqué ce sujet dans les grandes largeurs dans "C'était Laval Infos", rubrique qui se trouve sur ce même site, en pager d'accueil. Oui, toute l'histoire est racontée même si les noms de protagonistes sont changés, transformés. Ainsi d'Aubert est-il devenu Sénert, Zocchetto Spaghetto, Favennec Sautard...
A ce sujet, quand ferez-vous un livre concernant cette période enchantée (1995-2008) ? J'y pense et puis j'oublie... L'époque est à l'Internet et nombre d'articles publiés sur ce site ont déjà trouvé plusieurs centaines (voire milliers) de lecteurs. Un livre aurait moins d'impact mais réjouirait certains fans. Des gens qui s'intéressent de près à l'histoire locale, que ça "excite" d'en savoir plus sur Roger Buard ou Albert Goupil. C'est la petite histoire, qui hélas laisse trop souvent les jeunes indifférents. Comme l'a écrit Dimitri Casali dans son dernier ouvrage "Désintégration française", "l'histoire perd peu à peu du terrain : cette discipline cardinale inspire désormais aux jeunes une véritable répulsion."
Très juste. Oui, et cet auteur poursuit ainsi : ""Regardez l'histoire de France donne le vertige", rappelait Victor Hugo. Elle parvient à éveiller les émotions, les sentiments, les mémoires. Elle est notre album de famille, que nous vivions sur ce territoire depuis toujours ou depuis peu. Elle guide nos actions, nourrit nos imaginaires, nous sert de réservoir d'énergie, de leçons d'abnégation, de raison de vivre - car l'histoire c'est la vie."
Revenons à Laval Infos... Ah, c'était le bon temps !, celui où l'on pouvait s'exprimer librement - merci d'Aubert ! Alors, maintenant, puisqu'on doit nécessairement faire emmerdant sous peine de tomber sous le coup de la Loi, autant qu'on économise l'argent du contribuable. D'où ma demande au maire de Laval de supprimer ces magazines coûteux et de les remplacer par des courriels ou autres SMS. Sans oublier les panneaux Decaux dernièrement mis en vedette avec leur invitation - ô combien controversée - à tester les "coups d'un soir" "avec un inconnu"...
Vous aviez lancé cette allusion pour que les fameuses affiches de la campagne anti-sida soient évoquées ? Non, cela m'est venu comme ça. Mais il est vrai que j'aurais aimé qu'on puisse aussi parler de ce sujet même si les photos du "scandale" avaient disparu...
Qu'auriez-vous dit sur ces affiches qui ont choqué de nombreux parents et également quelques homosexuels. J'aurais dit que, au nom du respect des bonnes moeurs, les slogans et les images de cette campagne "anti-sida" n'avaient pas à être exposés dans les centres-villes, à la vue d'enfants et d'adolescents qui, dans la mesure du possible, doivent être préservés d'un certain "naturalisme" susceptible de les choquer, les perturber.
J'aurais dit que cette vision de la sexualité -une sexualité vagabonde : "coup d'un soir", "avec un inconnu"- ne doit en aucune façon devenir la norme ! Cela ne s'est jamais vu dans aucune société depuis la nuit des temps ! Chacun "fait, fait, fait, c'qu'il lui plaît plaît plaît" avec son corps mais toute société qui se respecte ne doit point, si j'ose dire, encourager les "bas instincts" surtout quand ces derniers le sont déjà 24 h /24, 365 jours /an, via la pornographie qui circule sur l'Internet...
J'aurais également dit que l'homosexualité n'est acceptée dans notre société que si les intéressés restent discrets sur leurs pratiques, qui ne regardent qu'eux. Il y a, je le répète aux gauchos qui ne cessent de faire entrer dans notre pays des étrangers convertis à l'islam, des pays - musulmans, justement - où on tue les homos uniquement parce qu'ils sont homos. Il y a fort à parier que ces publicités -Dieu merci supprimées- auront tout de même énervé certains adeptes de la méthode forte, expéditive à l'égard du troisième sexe. En tout cas, ces affiches n'étaient point de nature à faire baisser ce qu'on appelle désormais - et de manière incorrecte - l'homophobie.
Enfin, cette campagne n'affichant que des homosexuels, j'aurais achevé mon propos en signalant qu'il serait temps qu'on arrêtât de nous dire sans arrêt que le sida nous concerne tous, et ce du collège à la maison de retraite !
Revenons au conseil où les nouveaux tarifs du cimetière ont été sévèrement augmentés. Oui et j'ai déploré cette augmentation, d'où mon abstention au moment du vote. La gauche a dit qu'il s'agissait d'un effet "baisse d'impôts" et je ne suis pas loin de la croire. Mais Jean-Jacques Perrin a donné des chiffres qui contredisaient ceux de Gourvil... Pour ma part, je pense qu'il serait bon d'adapter les tarifs aux revenus des défunts, à partir du moment, bien sûr, où ces derniers souhaiteraient, malgré leurs problèmes financiers, s'offrir une place personnalisée à Vaufleury ou aux Faluères. Dernier point : j'ai aussi insisté sur la "réduction de corps", qui est également très coûteuse pour certaines bourses qui n'ont pas d'autres possibilités que d'être inhumés en terrain connu, si j'ose dire.
Rien de réjouissant dans toutes ces mesures... Si, une, et qui me fait chaud au coeur, vraiment : les Lavallois sont attachés à leurs cimetières puisque 80% des concessions de 15 ans sont renouvelées ! Il est vrai et nous l'avons encore constaté lors de la dernière fête de la Toussaint que la visite au cimetière fait partie des traditions chrétiennes qui permettent non seulement de rendre hommage à nos chers disparus mais aussi, avouons-le, nous sommes des provinciaux, de voir du monde qu'on ne voit guère le reste de l'année...
Vous avez également parlé de la crémation, je crois. Je me suis en effet réjouis de constater que les concessions coûtent plus cher quand il s'agit d'être, si j'ose dire, accueilli dans un colombarium que six pieds sous terre. Espérons que certains radins renonceront ainsi à la crémation...
L'autre sujet qui a eu son petit succès est la vente de l'ancien presbytère des Cordeliers et de son célèbre jardin de curé exploité depuis plusieurs années par des bénévoles de la société d'horticulture de la Mayenne. Oui et bien que j'eusse préféré que ce jardin gardât sa fonction originelle, j'ai approuvé cette vente à partir du moment où seul un tiers du jardin était réservé à la maison. La Ville aura ainsi une rentrée d'argent supplémentaire et les Lavallois pourront continuer de s'offrir une balade au jardin en plein centre-ville, il faut vraiment s'appeler Gourvil pour en faire une comédie !
C'est vrai - et vous l'avez fait remarquer - qu'on ne s'attendait pas à voir la gauche défendre avec autant de fougue un bien dont l'appellation - jardin de curé - aurait dû, au contraire, la réjouir de le voir quitter le patrimoine municipal... Vous avez raison car elle défend plus ce jardin que nos frontières ! je veux dire qu'elle préfère se battre pour quelques fleurs ou quelques cucurbitacées que contre l'arrivée de "migrants" qui, tôt ou tard, vont nous poser des problèmes extrêmement pénibles... Pour en revenir à la vente qui nous intéresse, j'ai quand même demandé à la Ville de veiller au "devoir de mémoire" en installant un panneau retraçant l'histoire de ce presbytère et le rôle que tenait jadis un "jardin de curé"...
Il y eut ensuite un interminable rapport - obligatoire, précisons-le (merci aux législateurs qui veulent éloigner de la politique les gens qui ont horreur de s'ennuyer !), un interminable rapport sur le "Développement durable" qui insiste cette année sur l'activité culturelle. En gros la Ville a voulu recenser tout ce qu'elle faisait dans ce domaine qui pût avoir un lien avec leur satané "développement durable". Par respect pour mes chers collègues je n'ai pas souhaité me lancer dans une énième contestation du réchauffement climatique d'origine humaine ( que je prends pour un bobard à faire du pognon organisé par le Nouvel Ordre Mondial) ni dans la lutte contre le "changement de peuple" qui devrait à mes yeux devenir la première finalité de ce développement que vous appelez "durable"... Je suis donc directement passé à la case Culture pour - de nouveau - reproché à la Ville d'avoir totalement raté le coup de projecteur mondial qui a été porté sur notre cher Douanier Rousseau, du 22 mars au 17 juin 2016 au musée d'Orsay.
C'était l'occasion unique de faire connaître notre cité à tous les amateurs d'art et à de nombreux curieux car la peinture du Douanier attire un public très large, y compris familial car il peint souvent de gros animaux qui fascinent les enfants. C'est exactement ce que j'ai dit ! Avant d'ajouter que si nous n'avions pas la possibilité de faire venir l'ensemble des toiles du Douanier au Vieux Château cet été nous aurions peut-être pu nous débrouiller pour en obtenir quelques-unes ! Et aussi inviter moult personnalités du monde de l'art, ainsi, bien sûr, que la Compagnie Créole qui les aurait accueillies en chantant sa célèbre chanson "Vive le Douanier Rousseau".
Ah, la Compagnie Créole, quel talent ! Quelle gaieté surtout ! Avouez, ai-je reproché directement au maire, que Monsieur Pillon et Madame Mottier, adjointe à l'attractivité de la Ville, auraient pu au moins organiser une visite à Paris pour les petits écoliers de notre cité et les "vieux" Lavallois intéressés par les toiles du célèbre Père de l'art naïf.
L'avantage d'une telle action, ai-je poursuivi, toujours à l'attention de F. Zocchetto, c'est qu'elle vous aurait permis de mettre en pratique le "développement durable" en demandant à notre sympathique élu franco-italien Mariano Macaluso, d'organiser cette visite parisienne -non avec un car de Monsieur Macron jugé d'emblée par trop polluant- mais avec des moyens de "transport doux" comme la trottinette, le roller, la planche à roulettes ou encore, histoire de voir s'ils roulent vraiment, les fameux Vélib que Monsieur Garot nous a fait acheter pour ressembler à Bertrand Delanoë.
Très juste ! Vu le peu de kilomètres qui auraient été ainsi parcourus chaque jour, vous auriez même pu organiser des nuitées dans un champs sans OGM et préalablement sélectionné par des agriculteurs tous bio jusque dans leurs sabots...
Bien vu ! Nous aurions pu aussi faire fabriquer des toiles de tente chez TDV selon les standards du commerce équitable et du label Max Havelaar, des toiles qui auraient été identifiables grâce à un logo représentant un gros coeur bien rougeaud et le visage du Douanier qui est on ne peut plus à la mode avec sa barbe de hipster.
Bref, ai-je conclu, la Ville est, dans ce domaine passé culturel, passé à côté d'un gros coup de communication qui aurait fait autant de bien à sa notoriété qu'à la campagne électorale de votre adjointe à l'attractivité...
Ce délire - je parle de la visite écologique à Paris écologique, au cas où certains lecteurs n'auraient pas compris - a eu au moins le mérite de sortir certains élus de leur léthargie après la lecture - interminable - du rapport sur le développement durable. Oui mais F. Zocchetto n'a pas souhaité répondre à ce "ratage" concernant le Douanier...
Le dernier sujet a concerné la "MSP en milieu urbain", autrement dit : la Maison de Santé Pluriprofessionnelle, qu'il nous faut désormais construire si l'on veut avoir une petite chance de faire venir de nouveaux médecins dans notre cité... Je trouve bien triste qu'on soit désormais obligé de dépenser tant d'argent public pour faire venir des médecins dans un pays que je préfère à tous les autres. Je trouve cela d'autant plus malheureux que je connais de nombreux anciens étudiants en médecine qui avaient toutes les qualités intellectuelles mais également humaines pour faire d'excellents médecins mais qui, au nom d'un numerus clausus d'un autre âge, n'ont pu donner -en France à tout le moins- libre cours à leur vocation.
Vous avez donc approuvé la création de cette maison et le lancement de la procédure de concession de travaux publics. Oui. Et je ne vois pas comment on pourrait refuser pareille construction et se plaindre après de n'avoir plus de médecins ! Cependant, je me suis surtout polarisé sur un fait précis, car il se trouve que face aux événements négatifs j'ai toujours tendance à en rechercher les causes, afin de les combattre...
Qu'avez vous dit au maire ? Qu'il était incohérent de déplorer un fait -l'absence cruciale de médecins- tout en invitant chez nous des centaines de milliers de "migrants" !!!! Est-ce ainsi qu'on va améliorer l'offre médicale dans notre pays ? Bien sûr que non ! Au contraire, on va la rendre encore plus inquiétante !
D'où votre slogan : "D'accord pour de nouveaux médecins à Laval ! Pas d'accord pour de nouveaux futurs malades (les "migrants") !" Oui. Et j'ai "balancé" ensuite un certain nombre de choses frappées, comme on disait dans le temps, au coin du bon sens, des choses que nombre de Lavallois me disent quand je les rencontre dans la rue ou dans les grandes surfaces. Par exemple qu'il était anormal que les étrangers passent à l'hôpital avant les Français qui ont toujours cotisé ! J'ai également dit que je ne croirai à la bonne foi des notables "pro-migrants" que lorsque ces derniers accepteront de se faire soigner après leurs chers "amis" venus d'ailleurs. J'ai dit aussi que le préfet, qui nous demande d'accueillir chez nous des "migrants" en veux-tu en voilà, aura toujours, lui, un médecin pour le soigner. Etc. Bref, j'ai dit un tas de choses qui démontrent que nous vivons dans un pays où l'on ne peut - hélas - attendre aucune amélioration ! Aucune !
J'ai senti que si vous aviez été calme pendant tout le conseil, vous étiez cette fois, beaucoup plus excité. Oui car ces arrivées de "migrants" me scandalisent terriblement ! J'ai l'impression d'avoir "chez moi" des gens qui n'ont rien à y faire car je ne les ai pas invités à franchir le seuil de "ma" maison qui s'appelle La France ! Il se trouve aussi que j'en avais rencontré quelques-uns ce lundi 28 novembre, avant le conseil, dans les locaux de l'AFPA où je me rendais pour un rendez-vous avec une charmante psychologue mandatée par Pôle Emploi. J'ai vu de grands gaillards célibataires et exclusivement masculins, sans famille, sans enfant, mais avec des portables ! - et qui ne fuient pas la guerre, loin s'en faut. Et qui ne sont ni médecins, ni ingénieurs, ni architectes contrairement au baratin qu'on entendait il y a quelques mois dans les "merdias" aux ordres du Système qui a choisi de nous tuer.
Quel tissu de mensonges, là encore ! Oui. Et, n'étant pas dupe, cela m'agace, me révolte. Ma vie est faite (et, professionnellement, pas brillamment, je le confesse) mais j'ai des enfants et, franchement, je ne pensais pas qu'ils vivraient dans le monde que nos fumiers de politiciens leur ont créé ! Ah, les s. ! ils nous ont plongé dans la mouise, et jusqu'au cou... Et que dire des intellectuels "déconstructionistes"... si ce n'est qu'ils ont réussi leur coup. En cinquante ans, ils ont fini par scier la branche culturelle et spirituelle sur laquelle nous étions confortablement assis... Et maintenant, on tremble à l'idée de suivre l'actualité... On se dit : et aujourd'hui qu'est-ce qu'ils ont encore imaginé comme c. ! qu'est-ce qu'ils ont encore pondu pour nous em. !
C'est vrai que les mauvaises nouvelles tombent tous les jours ! Dernière en date, le délit d'entrave numérique à l'avortement... Oui, ne m'en parlez pas ! Dans tous les domaines où, pour le Bien de tous, la vérité a son mot à dire, le Système (aux ordres des lobbies et de l'Union Européenne) trouve le moyen de nous couper la chique, de nous contraindre au silence sous peine d'être brisé socialement. Un mot plus haut que l'autre sur les étrangers, la Seconde guerre mondiale et le traitement réservé à certains détenus des camps de concentration, Pétain, le respect des valeurs de base... et hop ! Amende, PV, prison, chômage, etc. Oui, je le dis car je le pense : Satan est littéralement déchaîné et nous n'avons pas fini de morfler...
Cela relativise vos problèmes de travail, au moins. Ah, ça oui ! Et je n'envie nullement tous ceux qui se tuent au travail pour nourrir, loger et blanchir - entre autres - les envahisseurs qui débarquent chaque jour plus nombreux. Et qui, différents de nous dans moult domaines (à commencer par la pratique de la violence physique), sont incapables d'épouser nos coutumes, d'adopter notre art de vivre à la française, lequel art de vivre est, je vous l'accorde, bien malade...
Bon, nous allons nous quitter là-dessus car il se fait tard. Oui, vous avez raison, cher Bois-Renard. Et merci, une fois de plus, pour cette petite conversation que nous venons d'avoir sur le tout dernier conseil municipal de Laval. Un de plus.
Ou un de moins ! A vous de voir...
Un de plus ! Allez, à la revoyure, cher JCG ! A très vite, comme disent certains.