CM du 30 mars, Garot, départementales (I)
Alors, JC Gruau, qu’avez-vous pensé du conseil municipal du 30 mars dernier ? Qu’il était un peu longuet - plus de trois heures, je crois ! - mais valait quand même « la peine d’être vécu », comme l'écrit Albert Camus quand il évoque la vie dans « Le Mythe de Sisyphe ». Certains sujets, vraiment, méritaient une grande attention, la description du nouveau Plan Local d’Urbanisme (PLU) par exemple. Pour le reste, j’ai aussi apprécié les numéros de pipo de Guillaume Garot et le fait qu’il y ait davantage de monde que d’habitude. Enfin… dans le public ! Car autour de la table, de nombreux conseillers manquaient à l’appel...
A commencer par trois « grands perdants » de la veille. Oui, Gwendoline Galou, Jean-Christophe Boyer et Alain Guinoiseau avaient en effet séché ce rendez-vous survenu trop tôt pour eux, je pense. Ils devaient avoir les yeux encore rougis par la défaite… C’est dur à vivre la politique, parfois…
Peut-être étaient-ils restés chez eux à éplucher les résultats des différents bureaux de vote ayant signifié à deux d’entre eux : « Dégage ! » et, à la troisième : « Reste à la porte comme en 2011 » ? Je l’ignore mais pense que MM. Guinoiseau et Boyer ont vraiment dû l’avoir mauvaise car, comme on dit couramment, ils avaient leur rond de serviette dans la boutique. Et le premier depuis près de vingt ans !
Vingt ans déjà, vous en êtes sûr ! Oui, je me souviens parfaitement de sa première élection en 1994 car j’avais, lors de cette campagne, conseillé assidûment durant plusieurs semaines l’un de ses adversaires, un citoyen sans étiquette politique, le truculent André Lucas, fondateur du groupe éponyme et président du Stade Lavallois à l’époque. Je me souviens que nous avions conçu un tract, l'ancien fils de pub Philippe Bouvet et moi-même, avec notre candidat caricaturé en Obélix. Car le « Dédé », c’est le moins qu’on puisse dire, ne donnait pas dans le genre anorexique ou dans le profil Karl Lagerfeld…
Il est vrai qu’à défaut de pouvoir porter un menhir, il avait quelques traits communs avec le meilleur ami d’Astérix… A commencer par la moustache, qu’il avait moins touffue cependant… Autant que je me souvienne, la sienne penchait plus du côté de Charles de Gaulle que du côté de José Bové… En tout cas, je garde un excellent souvenir de cette campagne qui vit le militant RPR Alain Guinoiseau battre un politicien local aujourd’hui disparu, René Rueil…
Revenons au conseil municipal où vous n’aviez point l’air abattu par votre défaite de la semaine précédente ! Et pourquoi diantre l’aurais-je été ! vu que je savais depuis le départ que les carottes étaient cuites, archi-cuites pour bibi et son étiquette FN !
Voulez-vous dire par là qu’en l’état des forces politiques, aucun candidat FN ne peut actuellement remporter un scrutin uninominal ou binominal à deux tours en Mayenne ? Exactement. Et Garot a d’autant moins triomphé glorieusement que - primo : le canton de « Laval 3 » avait été découpé spécialement pour lui par ses petits camarades du Gouvernement et que - deuzio : sa concurrente de second tour, l’adjointe au maire de Laval Gwendoline Galou, ne pouvait apparaître comme une adversaire vu qu’elle pense exactement la même chose que lui sur tous les sujets importants…
C’est pourquoi vous aviez tweeté – « gazouillé » en français : « #Laval3#Galou vs #Garot = mariage homo contre mariage homo, Maastricht contre Maastricht, immigration illimitée contre immigration illimitée ». En 140 signes tout était dit, et bien dit. Merci. Ne restait plus qu’à attendre – sans excitation d’aucune sorte - le retour de Garot dans la Maison présidée par Richefou…
A propos de vos « gazouillis », parfois repris par les media, me permettez-vous d’en citer quelques-uns liés à ces départementales qui ne laisseront un bon souvenir qu’à ceux qui, désormais, vont gagner près de 2 000 € de plus chaque mois pendant six ans sans trop se fatiguer vu qu’ils sont en binôme… Bien sûr, cher Bois-Renard ! Car cette idée enchantera tous nos lecteurs adeptes des réponses brèves…
Commençons par la première chose qui vous a étonné, choqué même : « Le vrai scandale de ces élections - car il y en a un, tu par les media - c'est qu'on ne sait toujours pas ce qu'un conseiller pourra faire ! » C’est vrai, j’ai trouvé ce flou scandaleux et peu mobilisateur ! Il a en grande partie douché mon enthousiasme pour cette campagne électorale...
La seconde chose concerne le comportement de « notre » premier ministre, lequel, pour vous, relèverait de la psychiatrie. Je persiste et je signe. Même si les résultats du PS ont été moins mauvais que prévus, en partie à cause du discours haineux du Catalan…
J’ai beaucoup apprécié votre tweet inspiré – si je ne me trompe - du jugement que Françoise Giroud avait porté sur les prestations télévisuelles de Tixier-Vignancourt lors des présidentielles de 1965 : « Pour #Valls, seul compte le catéchisme républicain, qu'il débite avec la tête de Ravaillac qui essaierait de nous faire aimer Henri IV... » Françoise Giroud n’avait pas que des qualités, loin s’en faut ! mais elle savait écrire et trouver l’image qui fait tilt !
Force est d’admettre que le Catalan arbore vraiment une tronche haineuse ! Laquelle vous a plusieurs fois inspiré sur Twitter : « Quand j'observe le visage de #Valls, je pense aux républicains de 1793 qui ont tué tant de Lavallois qui avaient de l'esprit et du coeur. » Je me permets de signaler qu’il s’agit d’un TTPI (Tweet Très Politiquement Incorrect) - et que les Français qui ignorent tout de la chouannerie mayennaise ne peuvent comprendre…
Peut-être, mais ils peuvent facilement saisir celui-là : « #Valls démontre chaque jour que Dieu fait que la République n'est pas la France et qu'idolâtrer la 1ère n'implique point d'aimer la seconde » J’en doute car l’histoire de France n’est plus guère enseignée par les professeurs de l’Education nationale autrement qu’avec de la haine plein la bouche pour nos ancêtres et aïeux… La France a existé bien avant l’instauration de la première république, qui date de 1792 ! Il serait temps que le premier ministre l’apprenne…
Bon, alors, voici un tweet que tout le monde comprendra… « Quand #Valls dit : "J'ai peur pour la France", il faut comprendre : "J'ai peur pour ma carrière, pour mon train de vie, pour mon ego." Ah ça, oui, ça parle à chacun d’entre nous ! Et je pense qu’on peut également en comprendre un petit dernier sans connaître ni Prévert ni Montherlant : « On peut dire de Manuel #Valls ce que Prévert disait - à tort - de Montherlant : "Valls, un bas-du-cul qui se prend pour un grand d'Espagne."
Retrouvons, si vous le voulez bien, ce FN, que Manuel Valls n’a cessé de diaboliser et que vous aviez vanté dès le début de la campagne, via une invitation : « Le 22 mars prochain, si vous trouvez que la France va très mal, allez voter #FN ou alors ne vous plaignez plus jamais de la situation... » Cela me semblait important en effet de rappeler que ce parti est actuellement le seul à proposer des solutions différentes des autres et, partant, susceptibles d’améliorer la situation du pays…
Par exemple ? C’est le seul parti qui refuse de baisser les yeux - et son froc -, devant l’Europe de Bruxelles ! Le seul qui n’ait pas honte d’assumer l’histoire de France (y compris les événements d’Algérie). Le seul qui prenne réellement conscience des dangers de l’islamisation et de l’immigration musulmane en France et en Europe. Le seul qui souhaite supprimer la double nationalité. Le seul qui ose encore défendre les Français de souche dans mon genre, etc.
En plus – et surtout, c’est le seul qui ne soit – et EN RIEN !– responsable de la situation actuelle du pays. J’allais évoquer cet argument de poids. En effet, Sarkozy, Juppé, Fillon et consorts ont déjà été aux affaires avec les résultats que l’on sait… La simple perspective de les voir rempiler s’apparente, pour de nombreux Français qui ont encore un zest de la mémoire, à un cauchemar !
Malgré cela – ou plus exactement, à cause de cela, les politiques ont attaqué le FN, à commencer par Garot… Oui mais personne de sensé ne peut être dupe de ces attaques ! C’est le sens de mon tweet : « Quand #Garot dit qu'il "faut contrer le FN",il faut comprendre: "Je veux garder mon fric, mes nbreux avantages divers et variés." #Profiteur »
Restons sur le sujet Garot. On peut dire que vous l’avez plusieurs fois « chargé » sur Twitter. Oui et pour une raison simple, cette campagne ne nous a pas permis une seule fois de nous opposer pour de vrai, dans un studio de radio ou ailleurs ! De croiser le fer. Il fallait donc trouver le moyen de faire passer certains messages. Via Twitter, justement. C’est pourquoi, dès la fin du mois de février, j’ai évoqué un sujet grave, important, déjà traité dans cet entretien mais que les media ont négligé volontairement : « Au lieu de jacter dans les media, #Garot ferait mieux de demander au Gvt de sortir les attributions des futurs conseillers départementaux ! »
J’ai cité Garot mais j’aurais dû dire Monsieur le comte de « Chambooord » car vos tweets le nommaient souvent ainsi… Si vous le dites… Pardon, c’est vous qui le dites ! « Petite question liée au canton de #Laval3 : Monsieur le comte de Chamboooord #Garot fera-t-il campagne à cheval ou en chaise à porteurs ? » Autre exemple : « Aux dernières nouvelles, le Comte de Chambooord #Garot aurait demandé à J #Cahuzac de ne pas venir le soutenir dans le canton de Laval3... » Un dernier pour la route ? « Je suis déçu de constater que #Garot n'ait pas mis "son" château de Chambooord sur ses affiches, c'eût bien défini le socialisme du PS. »
Et je m’arrête là… J’ai souhaité en effet évoquer cette récente attribution accordée à Guillaume Garot par piston présidentiel, pensant que nombre d’électeurs de Laval 3 en seraient agacés. Mais j'ai raté mon but : Monsieur le comte a été réélu haut la main !
Malgré le fait qu’il ait plaqué la Ville de Laval pour l’offrir à son ami Boyer qui n’avait pas le profil de maire, qu’il ait participé à l’un des pires gouvernements de la Ve République, qu’il ait saccagé sciemment le square de Boston… Et aussi - malgré ses promesses de campagne de 2008 !- augmenté nos impôts locaux d'environ 30% !
Malgré ce dernier point, il a quand même osé faire campagne en évoquant les mensonges du FN ! Oui car ce type est un adepte du « plus c’est gros, plus ça passe ! » D’où mon tweet du 7 mars : « #GGarot me fait toujours penser à la phrase de #Péguy : "Il a les mains propres mais il n'a pas de mains !" En revanche, il a une langue ! »
Moi, il me fait plutôt penser à Jack Lang. Oui, vous avez raison ! Mêmes mimiques, mêmes expressions, mêmes mouvements de mains, même talent pour l’incantation du vide, du creux, du poncif moralement correct ! Il faut l’écouter au conseil, c’est incroyable ! Quel talent pour prendre la posture du défenseur de la veuve et de l’orphelin, du Bien, de la Bonté, de la Gentillesse ! Du fonctionnaire opprimé, de l'étranger en situation irrégulière, etc.
Lors du conseil, il a encore parlé de Laval comme s’il s’agissait de l'amour de sa vie, de son unique raison de vivre… Ah, ce fut encore un grand moment, celui-là ! Un grand moment de baratin ! Car il est évident que Laval n’est pour Garot qu’un tremplin électoral et rien d’autre ! J'en veux pour preuve que s'il aimait vraiment cette ville, s’il l’aimait autant qu’il le prétend, il ne l’aurait jamais abandonnée quand Hollande, pour plaire à son ex-compagne Ségolène, lui a demandé de devenir le « ministricule » (parfaitement) inutile des « petits poix et des surgelés » !
Lors du conseil, vous lui avez dit aussi que si vous aviez été élu maire de Laval, jamais vous n’auriez déserté votre poste ! Et comment ! Quand on aime une ville, on ne la quitte pas, hormis - contraint et forcé - après une défaite électorale... En tout cas, on ne la quitte pas pour devenir le vassal, le larbin, l'obligé de deux personnages aussi médiocres, aussi fades et creux que Jean-Marc Zéro et le Pingouin Hollande ! Ces deux pitres ne vaudront jamais Laval. « Plutôt mourir ! », ai-je ajouté.
Son choix avait été d’autant plus idiot que nombre de Lavallois, lui gardant sympathie et confiance, aurait voté pour lui – quoi qu’il ait fait – en 2014. Oui. Car Garot colle parfaitement à la mentalité de nombre de mes coreligionnaires, qui - hélas ! - partagent sa philosophie du vide, des bons sentiments à la sauce Bisounours. C’est désolant mais c’est ainsi ! Et s’il n’avait point laissé la mairie à son Boyer chéri, je pense qu'il eût aisément triomphé de… Samia Soultani en 2014 car Zocchetto, d'après moi, ne se serait pas présenté, trop intelligent pour savoir qu’il n’avait pas nécessairement ses chances contre un socialiste qui, moult Lavallois les confondent encore, lui ressemble physiquement. Bon, on ne va pas refaire l’histoire et… le temps presse.
Enfin, il va quitter le conseil municipal et ses 26 € mensuels… Oui, il nous lâche tout comme doivent aussi s’en aller – d’après ce qu’on lit ici et là : Kiessling, Rolinat, Chauveau et Gourvil. D’où mon tweet concernant Boyer : « Au conseil municipal de Laval, côté Rose au Poing, le seul qui aurait dû partir est finalement le seul qui va rester : #JCBoyer ! #Absurdie »
Lui aussi, le Boyer, on peut dire que vous l’avez cherché via vos gazouillis. Vous connaissez le proverbe : qui aime bien châtie bien… Alors vous devez vraiment l’aimer… Car en voici quatre qui ne sont pas piqués des vers :
« Aux dernières nouvelles, #JCBoyer ne parle pas de ses dernières étrennes ministérielles (10 000€) pendant sa campagne électorale... » ;
« Avis aux électeurs de #Laval1 : si vous croisez #Boyer, parlez-lui donc des avantages qu'il a accordés à son ancienne cheffe de cabinet... »
« Reçu le tract de l'ancien faux-maire de #Laval #JCBoyer : on dirait une pub pour une marque de lunettes ! Vide et creux, comme toujours ! »
Et, enfin, le lendemain du premier tour : « Ce matin, toutes les personnes que j'ai croisées sont excitées à l'idée de voir #JCBoyer battu dimanche prochain au CD #RéponseDimanche »
Sacré Boyer, il y croit encore ! La preuve : il a fait coller des affichettes "A bientôt !" après sa déroute du 29 mars... Je pense qu’il veut vraiment devenir maire de Laval mais cette fois par ses propres moyens, avec ses petits bras de sportif émérite, sans être téléguidé par « Guillaumette ». A chacun ses ambitions, ses défis...
En revanche, celle qui n’y croit plus c’est la Gisèle Chauveau, laquelle, dans Ouest-France, n’y est pas allée de main morte avec vous, en comparant votre présence comme "une souffrance morale" lors de chaque conseil municipal... D’où ma réponse du lendemain, dans ce même journal : « Mme Chauveau se dit démocrate mais seulement quand elle est du côté du manche politiquement ! Elle le fut avec d’Aubert – durant sa période droitière, de 2001 à 2008 – puis avec la gauche de 2008 à 2014. Aujourd’hui, dans l’opposition, elle vit très mal qu’un opposant FN donne de la voix au conseil en défendant certaines idées droitières. Tant pis pour elle ! » Et d'ajouter cette phrase que Ouest-France, toujours délicat avec les élus, a omise : « Madame Chauveau est une enfant gâtée dont le conseil saura se passer sans que personne ne réclame le moindre Kleenex ! »
Et vous alors, que devriez-vous dire ? Alors que vous n’avez pas un boulot pépère de communicant dans une chambre consulaire et que votre conjointe – contrairement au conjoint de Gigi - n’est pas avocate d’affaires ? Vous connaissez ma devise dans ce domaine : « Never explain, never complain. »
Qu’ajouter pour conclure sur les élections départementales ? Féliciter Richefou ? Oui. Mais, compte tenu du faible nombre d’opposants qu'il aura, ce serai du gâteau pour lui : il ne devrait pas être trop stressé les jours de sessions ! Il a des petits copains partout !
Un souhait concernant cette nouvelle assemblée ? Non, deux. J'espère qu'une fois installés, les élus vont diviser par deux leurs indemnités puisqu'ils sont deux, désormais, à assumer le job ! Le travail ne les tuait déjà pas quand ils étaient tout seuls, alors, en binôme…
Voilà une demande logique, en effet. Et le second souhait ? Je trouverais normal que le président partageât son poste avec sa binôme car après tout, ils ont été élus tous les deux et n'ont que le mot parité à la bouche !
C’est vrai, ça, c’est la parité obligatoire partout - sauf pour le mariage républicain - mais une fois qu’il y a de grosses sommes à se partager, comme pour les vice-présidences de Laval Agglo, allez ouste, les nanas ! Dehors ! Mais que proposez-vous ? Qu’il y ait une présidence tournante, à Laval comme partout en France : un mois Richefou, un mois Segrétain… Ou trois mois l’un, trois mois l’autre…
Voilà qui serait bien ridicule, bien insupportable, bien ennuyeux pour un tas de raison… Mais parfaitement conforme aux idées de l’époque dans laquelle nous sommes contraints de vivre…
Toujours ces histoires de fric ! Une obsession chez vous... Disons que je suis persuadé - et plus encore depuis que je suis élu - que la trop grosse somme d'argent distribuée aux élus est – avec les lois liberticides qui empêchent d’aborder certains problèmes liés à l’immigration, notamment -, la trop grosse somme d'argent distribuée aux élus constitue le problème numéro 1 de la vie politique française. Hélas, je ne vois pas nos « chers » élus se priver des avantages que la République leur accorde…
Vous dites cela parce que vous gagnez 26 € ! Nenni ! Je dis cela parce que c’est la vérité ! Maintenant, le fait de gagner si peu me donne - comment le nier ? - une liberté de ton que d’aucuns jugeront, au choix, extraordinaire ou suicidaire (socialement) ! Moins de fric et plus de liberté de parole ! Voilà le sésame pour qu'on sorte de la situation actuelle !
Baisser les émoluments des politiciens, n’est-ce pas un discours d’homme de gauche ? Vous entendez les hommes de gauche tenir ce discours, vous ? Les hommes de gauche défendent les fonctionnaires, les immigrés – surtout quand ils viennent de très loin et ont une religion et une couleur de peau très différentes de la leur-, les minorités sexuelles, les rescapés des camps de la mort nazis (et uniquement), les défenseurs de l'euthanasie, etc. Mais je ne les entends jamais militer pour faire baisser les indemnités des hommes politiques ! Jamais !
Ces choses dites, venons-en au conseil du 30 mars. D’accord mais accordez-moi d’abord une pause de quelques heures car je dois aller bêcher mon jardin avant d’y planter, dans quelques jours, plusieurs kilos de pommes de terre...
Permission accordée ! Je vous retrouve en fin d’après-midi et là, nous évoquerons vos interventions sur différents sujets traités durant ce conseil. A tout à l’heure, cher Bois-Renard !