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La défense du mariage

mariageLes hasards de l'actualité sentimentale ont fait que, dès le premier numéro, celui de décembre 1995, j'ai évoqué le mariage. Enfin, un mariage : celui de Jacques et Elisabeth Monbébé. Pourquoi ? Parce que Jacques est adjoint au maire et, comme ce dernier, se marie sur le tard. D'où la tirade suivante de François de Sénert : « Je sais ce que c’est de se marier quand on n’a plus 20 ans, cela fait des mariages formidables ! » Il a ensuite dit à Elisabeth : « Je ferai en sorte que Jacques soit relativement souvent à la maison… mais les conseils municipaux resteront à 20 heures… » La voilà prévenue...

 

La suite dans le livre... 

Le taux de divorce

Dans le numéro trois, profitant du salon du mariage, j’évoque une institution qui a, comme on dit, fait ses preuves. Mais qui est, avouons-le, mal en point. En effet à Laval, en 1995, le taux de divorces par rapport au nombre de mariages célébrés a été de 48%, soit près d’un pour deux… Une situation d’autant plus inquiétante (pour ceux qui croient que le bonheur d’une société dépend aussi de son taux de mariage qui durent) que le nombre de ces unions, déjà peu élevé, est en légère baisse (214, 4 de moins qu’en 1994).

A ce train-là, les couples mariés feront bientôt figure de… marginaux ! Malgré ce tableau plutôt sombre, gageons que 1996 soit une année heureuse… Pour ceux qui convoleront en justes noces, bien sûr ; mais aussi pour ceux qui l’ont déjà fait, sont contents de leur choix, et pensent comme la mère de Napoléon : « Pourvou que ça doure… » Le dossier donnait aussi la parole à Sacha Guitry :« Les femmes sont faites pour être mariées et les hommes, célibataires. De là vient tout le mal. » 

 

La suite dans le livre...

Les couples qui durent

En décembre 2000, j’écris un articulet sur M. et Mme Saileloup qui, devant François de Sénert (un ami de leur fille Fabienne épouse Desfringues) se sont redit « Oui » 60 ans après celui de leur mariage. Si aujourd’hui de nombreux couples jettent l’éponge après quelques demi-douzaines de mois de vie commune, certains duos démontrent, dizaine d’années après dizaine d’années, que le mariage demeure l’une des plus belles aventures humaines qui méritent d’être tentées. Cet article eut une suite, cinq ans plus tard, en 2005 quand ils fêtèrent leurs 65 ans de vie commune…

Le 25 juin 2006, un autre couple les imitera, M. et Mme Mutant, qui tinrent longtemps le premier libre-service lavallois, une supérette de l’enseigne SPAR. J’avais rencontré papi Mutant à la pharmacie du Château-Neuf et avais apprécié la manière dont il s’était moqué d’un notable socialiste de la Ville, un médecin en retraite qui détestait Sénert au point de le clamer haut et fort devant toutes les personnes qu'il rencontrait. Ce petit père m’avait bien plu et il eut droit à un article soigné aux petits oignons... 

La suite dans le livre...

 

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