CC du 19 juin 2017 : crématorium-chauffage public, Samia absente, prostitution...

Hier, lundi 19 juin, le conseil communautaire s'est déroulé sous une chaleur accablante et vous y avez parlé, entre autres, de... prostitution, un sujet généralement peu prisé lors de vos réunion ! Eh oui car l'un des membres de notre assemblée va rejoindre une commission départementale dont j'ignorais jusqu'à l'existence, une commission "chargée de lutter contre la prostitution, le proxénétisme et la traite des êtres humains aux fins d'exploitation sexuelle" ! Une lutte à ma connaissance jamais engagée dans la salle du conseil de l'hôtel de ville de Laval...

Qu'avez-vous dit sur le sujet ? J'ai d'abord évoqué les quelques péripatéticiennes si j'ose dire installées à la périphérie de Laval, catins qui ont en quelque sorte pignon sur route et que "connaissent bien" tous ceux qui se sont déjà rendus à Rennes, à Ernée ou, entre autres, à Meslay-du-Maine en voiture. Elles font le tapin dans leur petit camion, le plus souvent blanc... Et les clients ne manquent pas, qui garent leur voiture ou camion à deux pas, le plus souvent dans l'indifférence générale.

Quel métier ? On prétend que c'est "le plus vieux du monde", non ? En tout cas, hier (comme aujourd'hui), compte tenu de la chaleur qui agite tant les merdias (dommage qu'ils ne consacrent pas autant de lignes aux nuisances occasionnées par les "migrants"), ce métier qui ne ressemble à aucun autre doit être encore plus pénible à pratiquer, à moins, me suis-je permis de signaler, d'avoir une petite éolienne au fond du camion, un diffuseur d'huiles essentielles ou quelques bons gros bâtonnets d'encens...

On m'a dit aussi que vous aviez posé une question au Président qui, une fois de plus, n'y a pas répondu... Je lui ai demandé si les conductrices de ces camions  - car dans ce domaine,  la parité semble être à la traîne - si les conductrices allaient être dans l'obligation, selon l'expression de la fiche technique que nous avions sous les yeux, de suivre "un parcours de sortie de prostitution et d'insertion sociale et professionnelle" ? Le maire m'a dit que c'était un sujet trop important pour n'en parler que quelques secondes en ce lieu et qu'il relevait du travail des députés...

Bref, "choux blanc !", comme disent vos enfants. Oui.

Vinrent ensuite les sempiternels dépenses liées au contrat de ville, avec cette ribambelle d'activités dont on ne peut mesurer que les coûts car, pour les résultats, quand on voit comment la France évolue depuis qu'on dépense des milliards d'euros pour cette politique de la Ville... Cette fois, c'était Yannick Borde qui, en l'absence (définitive) de Samia Soultani, a présenté le nouveau catalogue qui permet de financer bon nombre d'associations et de consultants qui ont tout intérêt à ce que cette situation perdure...

Qu'avez-vous dit ? Une fois de plus, je me suis permis de rappeler que ce contrat de ville est une usine à gaz destinée à garantir la paix sociale avec des sommes énormes, colossales et, bien sûr, c'est pour cela que je le critique à chaque fois qu'il en est question dans cette assemblée, payées par le contribuable. En gros, pour bien résumer la situation, des gens de moins en moins nombreux travaillent de manière de plus en plus pénible - je pense, entre autres, aux mises aux normes incessantes - pour des publics qui s'étendent d'année en année et que l'on habitue à vivre comme des assistés. Le résultat sera désastreux pour nos enfants mais bon, la majorité des élus, je l'ai bien compris, a définitivement choisi la politique de l'autruche... Après nous, le déluge !   

Vous vous êtes, paraît-il, contenté de revenir sur un paragraphe de cette délibération... Oui, un paragraphe qui, en ce lendemain d'élections législatives, m'a particulièrement fait sourire : celui concernant les trois projets qui, je cite, "portent sur les valeurs de la république et la citoyenneté".

Qu'avez-vous dit ? Que ces fameuses valeurs - liberté, égalité, fraternité - sont totalement discréditées par les républicains au sommet de l'Etat ainsi que la sacro-sainte citoyenneté qui, pas plus tard que dimanche dernier, a pris une sévère déculottée avec un taux d'abstention de 53% ! Autrement dit une majorité de Français en âge de voter n'ont plus rien à faire de cette citoyenneté que les élus ne cessent de vanter quand ça les arrange !

Résultat : la représentation dite nationale a du plomb dans l'aile puisque les députés n'ont été élus que par 22,4% des inscrits ! Et que dire de la répartition des sièges quand le Parti communiste de Monsieur Guillot en compte 10 avec 1,2% des voix et le FN 2 de moins avec 6,5 % de voix en plus...Bref, ai-je poursuivi, à l'attention de Yannick Borde (mais cela vaut aussi - et surtout - pour François Zocchetto), il va donc falloir trouver autre chose, d'autres valeurs, d'autres références que celles que leur contrat de ville met sans cesse en avant pour mobiliser la "jeunesse des quartiers" et lui permettre de s'insérer dans notre société ô combien morcelée par l'individualisme d'un côté et le multiculturalisme de l'autre. Car si ce contrat de Ville est aussi critiquable et aussi inopérant, ai-je conclu, c'est parce qu'il s'appuie sur des bases théoriques qui ne tiennent pas, qui ne tiennent plus la route. Des bases théoriques qu'incarne si lamentablement le Système politique actuel totalement sous la domination de Bruxelles, de la Banque centrale européenne (BCE) et, entre autres, des lobbies financiers.

Ensuite on ne vous a plus vraiment entendu que lors de la délibération concernant le choix du concessionnaire pour le crématorium... Oui, mais je n'avais rien préparé sur le sujet ayant déjà plusieurs fois critiqué cette arrivée dans notre cité. J'ai écouté Jean-Jacques Perrin présenter les demandes formulées à ce concessionnaire puis Claude Gourvil reprocher à ce projet de ne pas être assez écologique (pour faire bref). C'est alors que Jean-Jacques Perrin a laissé entendre que la chaleur serait utilisée... Mon sang n'a alors fait qu'un tour et j'ai évidemment demandé la parole pour dire que la combustion des corps des Lavallois allaient chauffer des équipements municipaux... En gros, on va chauffer la piscine pendant que mémé crame...

Ils n'ont pas dû apprécier... Une fois de plus, nous avons assisté à un bon gros déni de réalité en direct. Jean-Jacques Perrin a marmonné une réponse gênée : d'après lui ce ne seront pas les corps qui brûlent qui apporteront de la chaleur mais... autre chose ! Quoi ? Pas de réponse satisfaisante. Jean-Pierre Fouquet a évoqué le cynisme de ma question...  J'attends avec impatience le compte rendu pour savoir exactement ce qui s'est dit... Mais je sais que j'ai plusieurs fois répété (hors micro) : "Je dis la vérité !" A savoir que la combustion des corps va permettre de chauffer des équipements municipaux ! Super, non ?

Je trouve cela scandaleux ! Moi aussi ! Mais nous sommes bien les seuls ! La crémation est désormais une pratique appréciée par ceux qui nous gouvernent. C'est ainsi... Il est vrai qu'il n'y a plus que la notion d'utilité qu'ils placent au sommet de la hiérarchie des valeurs. Au moins, en se faisant incinérés, les défunts seront-ils utiles jusqu'au bout.

Quelle horreur ! Ah ça oui ! Mais aucun catholique pratiquant n'a réagi ! Aucun ! Et, par charité chrétienne, je ne citerai pas les noms de ceux qui auraient dû, au moins, s'abstenir ! Voilà où nous en sommes. Voilà où en est notre société qui trouve beau, bien, vrai que la combustion d'un corps serve à chauffer des équipements municipaux !

Mais c'est le monde dans lequel nous vivons, un monde à la sauce Macron... J'avoue être sidéré mais, je suis comme tout le monde, je dois me contenter de noter ces faits inquiétants, de les enregistrer et, au mieux, de les commenter. Comme l'a écrit Philippe Muray, "le réel est reporté à une date ultérieure..."

J'ignore d'ailleurs si le compte rendu de Ouest-France évoquera cet échange ? Je pense que non et l'ai d'ailleurs dit à Jean-Jacques Perrin : "Vous pouvez parler franchement car les journaux n'en diront pas deux mots..."

Nous le saurons demain mercredi et après-demain jeudi. Oui.

Ensuite, on m'a dit que vous aviez considéré comme particulièrement stupide une demande émanant du coco de service . Oui, le camarade Faucille & Marteau a dit qu'il fallait que "la piscine soit gratuite pour les Lavallois qui ne partent pas en vacances" !!! Ne partant pas en vacances et fréquentant la piscine, je me suis senti obligé de dire que cette demande était, effectivement, d'une grande stupidité. Imagine-t-il le monde qu'il y aurait - et simplement pour venir faire trempette en famille ! - si la piscine municipale était gratuite un jour comme aujourd'hui ? Et combien de personnes seraient obligées de rester sur le trottoir parce que la capacité d'accueil serait dépassée ? Et quid des maîtres-nageurs ? Comment pourraient-ils effectuer leur travail ? Et quid du chahut qui ne manquerait pas de survenir avec certains "nouveaux clients" ? Etc.

Ce Guillot est impayable ! Oui. Mais on finit par s'habituer à sa démagogie. Et le personnage n'a rien de désagréable. Il fait son boulot de coco, point barre, critiquant le moindre poil de nez pourvu qu'il appartienne au privé, au camp des riches, des profiteurs du Système...

Ces choses dites revenons à la politique locale, et à la démission de Madame Soultani. Pourquoi pas, c'est un sujet qui a nourri ces derniers jours les conversations des Lavallois que la politique locale intéresse encore.

Au fait, bravo pour votre "lettre ouverte" que Ouest-France a très largement publiée. Vous lui avait rendu un bel hommage (en disant qu'elle s'était bien impliquée dans la vie municipale) et, en même temps, vous avez rappelé qu'elle n'avait pas été correcte à votre égard et que ce comportement lui a coûté cher. C'était le but de ce "papier" suggéré par l'un de mes frères qui avait été très choqué de la lettre infâme que Samia a rédigée contre bibi. Mais, si vous le voulez bien, sortons des affaires personnelles pour évoquer son départ. Lequel est dû à la mini phase de macronmania que nous connaissons depuis les présidentielles...

Vous croyez que les deux événements sont liés ? Bien sûr ! Car si Madame Soultani a quitté le conseil municipal c'est bien parce qu'elle n'a pas supporté de voir sa petite camarade Béatrice Mottier lui "voler" son accession au second tour des législatives. Or, sans Macronmania, l'adjointe à "l'attractivité de la Ville de Laval" n'aurait pas dépassé le stade des 5%... Et je dirais même plus, elle ne se serait pas présentée...

Son orgueil n'a fait qu'un tour ? Oui, si l'on veut. Il est vrai que la démocratie offre régulièrement ce genre de supplice pour ceux qui en attendent beaucoup : la bonne étiquette ferait élire un singe. Ou une dinde... Ce fut le cas en 1958 et 1968 (avec l'appui de De Gaulle ; en 1981 avec Mitterrand, en 1993 avec le RPR et l'UDF...).

Je pense aussi que Samia n'a pas été suivie par ses pairs... J'ignore de quels pairs vous parlez ? Je sais seulement que l'UDI - le parti de Madame Mottier - n'avait pas placé de candidat contre elle... Samia avait donc un (petit) boulevard devant elle car Philippe Habault, concurrent en candidat libre (si j'ose dire), n'a jamais représenté un véritable danger même si... les voix qu'il a récoltées auraient peut-être être accordées à notre première adjointe...

Mais ce boulevard qu'elle avait devant elle n'était ouvert que si Fillon devenait Président.. Avec la victoire de Macron, le plan a été perturbé. Oui, et c'était compter sans le sens politicien de Béatrice Mottier, qui a réussi à décrocher l'investiture de notre nouveau Dieu vivant... Les Français considérant que, selon le mot du chroniqueur Hannibal, "les législatives ne sont que l'enregistrement de la présidentielle", Samia est allée se rhabiller...

Ce qu'elle n'accepte pas ! Eh non ! car elle a eu l'impression de mener la meilleure campagne de tous les temps, ce qui n'est évidemment pas le cas. A commencer par sa communication sur les réseaux sociaux avec son petit personnage censé la représenter. Mi-petite souris, mi-Ma sorcière bien aimée... Un gadget à l'américaine qu'a dû lui vendre un communicant de je ne sais où. Même chose pour toutes ses séances d'immersion dans le monde du travail ! Non mais, sincèrement, qu'est-ce qu'on s'en tape de savoir qu'une femme qui a déjà trois mandats et un métier à vie, va aller jouer une journée à l'agricultrice, une matinée à la boulangère, une autre à jouer la caissière...

C'est grotesque... Oui. Surtout pour ceux qui n'ont pas de boulot. Ou qui se plaignent de ne pas gagner de quoi s'offrir des vacances...

Néanmoins, l'un des problèmes de Samia, c'est qu'elle croit mordicus que les gens l'apprécient autant qu'elle s'apprécie elle-même... Oui, mais ce travers est humain. Moi-même... [rires] Disons qu'il ne faut pas confondre les félicitations du "fan-club" avec la volonté ferme et déterminée des électeurs à glisser un bulletin dans l'urne...  Et là, son fan-club, ses copines du conseil pour être précis ont "déconné" complètement, si vous me passez cette expression vulgaire. Elles sont tellement "samiatisées" qu'elles en oublient de regarder la réalité : personne n'attendait Samia, pas plus qu'on attendait Habault !

On m'a dit qu'elle aurait décidé de démissionner quand Zocchetto, après les résultats du premier tour, a, lui, décidé de soutenir Mottier... J'ai entendu cela, oui. Il y aurait eu une réunion à la mairie et "Zoc" aurait décidé d'apporter son soutien à son adjointe à l'attractivité, ce que Samia n'aurait absolument pas supporté. Un élu m'a certifié qu'elle avait pris ce soutien pour une véritable trahison... Une sorte de cocufiage public, en quelque sorte. Peut-être. J'ignorais que le maire de Laval avait soutenu une élue de son camp se présentant sous l'étiquette En Marche ! Mais l'essentiel est ailleurs : Samia n'avait aucune chance, aucune. Ni elle ni Mottier ni Habault ni personne d'ailleurs...

Vous voulez dire que face à Garot, ce n'est même pas la peine de partir au combat. Si, quand même, le combat est toujours nécessaire, à condition de pouvoir payer la facture électorale sans mettre sa famille sur la paille. Mais il est vrai que, tout pendant que les Lavallois n'auront pas des problèmes de remboursement de médicaments, que leurs assiettes seront suffisamment garnies midi et soir, que les "migrants" n'auront pas encore atteint le seuil au-delà duquel les gros ennuis sanglants sont inévitables, tout pendant que certains n'auront pas perdu la vie à cause du désordre ambiant, etc. Garot, "Guillaume", conservera une cote qui lui permettra de gagner les législatives. Petitement. Avec de moins en moins de bulletins de vote mais bon, cela lui suffit pour conserver son sourire ultra-bright...

Sa personnalité y est pour beaucoup. Oui, force est de reconnaître que le personnage est sympathique, souriant, "cool", et toujours "open" devant les appareils photos, etc. Qui peut détester Garot, je vous le demande ? Tout le monde l'aime bien. Mais cela n'en fait pas un type bien pour autant ! En tout cas, c'est un ancien ministre de Hollande, qui a participé, soutenu, défendu toutes les mesures anti-françaises mises en place par l'ancien amant cosmopolite de la fameuse Valérie Trillermachinchose... Il veut toujours plus d'impôts, toujours plus d'étrangers inassimilables, toujours plus de lutte contre les discriminations, toujours plus de lois liberticides, toujours plus de permissivité au sein de la société,  etc. C'est un politicien dangereux, néfaste pour notre pays mais... peu de Mayennais comprennent cela : "il est gentil tout plein, le Guillaume !" Cette phrase explique tout.

Que Samia ait un jour pensé le battre relève de la psychiatrie pour vous ? Oui. Elle n'avait aucune chance. Aucune. Surtout qu'elle n'a cessé d'appuyer sur le bouton Soultani et non sur le bouton Vigneron... Ce qui n'est guère porteur électoralement car elle perd ainsi des voix de droite sans gagner une seule voix musulmane... Je lui avais d'ailleurs parlé de ce très beau nom de la langue française qui évoque le vin, la vigne, le travail des hommes... Mais, bon, personne ne lui parle ainsi car elle est entourée, j'y reviens, d'un fan-club d'une "nouillerie" sans nom (comme tous les fan-clubs !) bien que, prise séparément, chacune des femmes qui en font partie, est plutôt agréable et ne manque pas de bon sens.

Enfin, nous voilà avec une équipe de mondialistes de gauche au commande du pays pour cinq nouvelles années... Alors que, souvenez-vous, c'était il y a quelques mois seulement, Hollande atteignait des sommets d'impopularité et une grande majorité d'électeurs pensaient que la droite ne pouvait pas perdre cette présidentielle... Eh oui, nous sommes très mal barrés et avons raté le virage électoral de 2017. La grande descente va donc se poursuivre... Avec toujours plus de "migrants" (comparés - incroyable mais vrai ! - aux Français qui fuyaient les bombes allemandes sur les routes de France, en juin 40, par la mairesse d'Ernée !), de taxes diverses et variées (pour les classes moyennes qui sont d'autant plus à la peine que les divorces et autres séparations continuent de se multiplier), de crachats dans nos rues (popularisés par nos joueurs de foot), de violences urbaines, de pornographie sur l'Internet, de répression contre les militants nationaux  (au nom de l'état d'urgence et de la lutte contre les radicalisés), d'inculture crasse, d'islamisation, etc.  Bref, toujours le même disque, qu'il n'est pas nécessaire de faire tourner devant les enfants...

Le chaos est inévitable, d'après vous. Bien sûr ! mais la seule chose qu'on ignore encore c'est l'incident qui mettra le feu au poudre, celui dont nos descendants parleront plus tard dans les livres d'histoire...

Si ces derniers existent encore ! Oui, si ces derniers existent encore, ce qui n'a rien d'évident quand on mesure la baisse de niveau intellectuel et culturel constatée un peu partout. Je rencontre de plus en plus de personnes incapables de lire un livre, ni même un chapitre entier... Le portable, c'est plus facile... Quant au passé, les gens ont tendance à s'en moquer de plus en plus ! Il est vrai qu'on ne le leur a pas enseigné. Ni à l'école ni dans leurs familles respectives ! Résultat, nous avons, et Pauwels l'avait noté le premier, en observant la jeunesse de 1987 aujourd'hui au pouvoir, une maladie très grave, mortelle même, et qu'aucun médecin ne peut combattre efficacement en quelques mois... Nous avons le sida mental, à savoir que nos défenses immunitaires sociétales ont disparu...

Voilà des perspectives qui rendent bien ridicules les petites querelles de personnes qui agitent la majorité municipale en ce moment. Vous pouvez le dire ! Mais nous sommes ainsi faits que les réactions humaines continuent de nous intéresser, malgré tout. Il faut aussi savoir profiter du moment présent car nous ne savons pas quand nous partons... J'aimais bien Samia Soultani, en tout cas suffisamment pour lui parler franchement, et je regrette déjà de ne plus l'avoir au conseil comme interlocutrice "privilégiée" quand elle abordait son cher "contrat de ville"...

Ah non, vous n'allez pas y revenir ! Vous avez raison, il est grand temps de mettre fin à cet entretien si nous ne souhaitons point lasser nos centaines de lecteurs fidèles.

A bientôt cher JCG ! A plus, cher Bois-Renard...