Nouvelles rubriques (révolution)

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Dès le premier Laval Infos, de nouvelles rubriques firent leur apparition et y restèrent jusqu'au dernier journal paru sous Sénert.

 

Les nouveaux commerçants

La première concerne l'ouverture des nouveaux commerces situés en ville (et non dans les galeries marchandes des cinq grandes surfaces Pas Cher, Petits Prix, Petits Prix Market - Stoc puis Champion à l'époque - et Supermarché). Ce choix était motivé à la fois par la volonté de donner un petit coup de pouce à ces nouveaux commerçants et de rendre le journal le plus attrayant possible...

La page "international"

Bien avant la naissance du pôle de réalité virtuelle et des rencontres annuelles liées à cette nouveauté intercontinentale, une page internationale permettait de montrer que Laval avait, elle aussi, une actu planétaire ! Et des échanges fructueux avec Boston (Grande-Bretagne), Mettmann (Allemagne), Laval (Québec), Gandia (Espagne), Garango (Burkina-Faso) et Vatava (Roumanie).

Du passé tous les mois

Liée à l'histoire de notre cité, C'était Laval a réjoui chaque mois nombre de "vieux" Lavallois qui aimaient à y revivre des événements de leur jeune temps ou que leurs parents ou grands-parents leur avaient narrés jadis. Cette rubrique permettait aussi de montrer aux jeunes générations que Laval a un passé d'une richesse infinie, et que nous en sommes les débiteurs insolvables, selon la belle expression de Jean Madiran. Elle a également permis de donner un peu de « vraie vie » au journal car les événements qui y sont décrits - et sur deux pages s'il vous plaît ! - ressuscitaient des périodes historiques où le souci de Transparence, de Sécurité, de Lutte contre les discriminations... toutes les caractéristiques de l'époque post-historique théorisée par Philippe Muray, n'existaient point. 

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Des élus au charbon

La rubrique des Elus au charbon permettait aux électeurs-contribuables de connaître les hommes et les femmes qui, tant bien que mal, oeuvraient pour leur bien au conseil municipal. Il va de soi que les conseillers d'opposition en étaient nécessairement exclus : la rédaction de leur portrait eût posé trop de problèmes ! Cette rubrique m’a permis d’interviewer chaque élu des deux équipes dirigées par François de Sénert entre 1995 et 2008. A l'exception d'un seul : Paul Javelin, qui ne souhaitait pas « se mettre en avant ». 

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Les citations

Ayant toujours aimé les citations, j'avais décidé d'en placer au moins une dans chaque Laval Infos. De temps en temps, il m'arrivait de la retrouver dans une conversation avec un interlocuteur qui, manifestement, avait de bonnes lectures... Signée Min Yu Tang, celle du premier numéro (décembre 1995) me laisse toujours admiratif : A côté du noble art de faire faire les choses par les autres, il y a celui, non moins noble, de les laisser se faire toutes seules... 

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Les textes littéraires

Souvent, quand un livre me plaisait, je voulais le faire connaître à mes lecteurs. Comme cet ouvrage ne concernait point Laval, c'était chose impossible ! C'est pourquoi, dès le n°14 (février 1997), je pris l'habitude de placer un extrait dudit bouquin, en bas de la marge bleue de la page 22. Je commençai avec La Baleine et le ricin (Fayard, 1982) du regretté André Frossard. Puis vinrent des auteurs aussi différents que Jacques Charon (Moi un comédien), François Nourissier (Autographie puis A défaut de génie), Claude Gagnière (Au bonheur des mots), Claude Imbert (A Point nommé), Robert Merle (Fortune de France), Saint-Exupéry (Lettre au général X)... 

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Nos cordons bleus sont formidables !

En avant-dernière page, la recette de cuisine – Nos cordons bleus sont formidables ! - était systématiquement illustrée par une photo du cordon bleu présentant ladite recette. Bien sûr, dans 90% des cas, le chef en question n'avait rien fait d'autre que prendre l'assiette dans sa main, sourire devant l'objectif de ma femme et...donner son feu vert pour figurer dans Laval Infos. C'était, le plus souvent, des amis ou des membres de ma famille...

Au départ, quand j'ai commencé – avec une collègue du service Communication, Sally - je pensais qu'au bout de cinq, six numéros, le soufflé retomberait. Tu parles, Charles ! J'ai tenu jusqu'au 130e numéro et ai commencé à peiner pour trouver des volontaires les deux dernières années. Il est vrai qu'entre temps, ma couleur politique plutôt droitière (j'ai toujours refusé de voir des nazillons partout !) a rendu nos dîners moins nombreux ainsi que les... cordons bleus !

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