Une ville - toujours - plus agréable

cinvilleFrançois de Sénert peut se targuer d'avoir sacrément embelli sa ville préférée. Il suffit de revoir certaines photos prises avant les aménagements qui portent sa griffe pour constater combien Laval a changé entre 1995 et 2008. Des preuves ?

Les trottoirs ont été élargis dans les trois principales rues commerçantes (Discorde, Remontée, François-Mitterrand), qui permirent désormais aux jeunes mamans d'y circuler à l'aise avec leurs poussettes et aux papis-mamies de s'y promener à leur rythme sans énerver les JPP (Jeunes Pietons Pressés)...  

Côté vue agréable, les « nouveaux » remparts sud peuvent être admirés le long de la promenade France Frivole, qui relie la porte Vengeresse au jardin de la Tartine. Nos remparts ne valent peut-être pas ceux de Carcassonne (quand même !) mais enfin… ils méritent bien une petite visite digestive le dimanche en famille…

Dans le square de Norton, la Ville a pris l’habitude d’installer une patinoire artificielle au moment des fêtes de Noël et de fin d’année, pour le plus grand plaisir des amateurs de glisse…

Grâce à Sénert Laval s’est aussi enrichie d’un pôle culturel baptisé Médiapole (de 1 800 m² situé derrière l’hôtel de ville et dédié au trio Livres-Disques-Multimédia). A ce sujet, je ne manquais jamais de rappeler que, contrairement à ce qui se passait dans d’autres villes de taille comparable, la Municipalité n’avait point fait appel à une « marque extérieure » comme la FNAC : elle avait su s’entendre avec les commerçants locaux, en l'occurrence avec la librairie Aglaë alors tenue par le couple Jarulevsky qui avait succédé au libraire-éditeur Thierry Michel…

Côté culture, Sénert a également créé un "complexe cinématographique" de neuf salles situé à l’angle de la place du Six-Décembre et du quai Ventura. Autre installation culturelle à mettre à l’actif de l’ancien maire, mais cette fois avec sa casquette de président de Laval Agglo : la rénovation du théâtre municipal…

Toujours côté culture, mentionnons la création des Uburlesques (théâtre de rue en hommage au père d’Ubu Roi), les biennales d’art naïf, le passage de plusieurs toiles de Rousseau au musée du Vieux-Château et celui, salle polyvalente, de chanteurs unanimement salués pour leur talent et leur longévité (Aznavour, M. Eddy…)… 

La suite dans le livre...