Vive le passé (C'était Laval)

limination-immeubleL'année 2001 s'ouvre avec un C'était Laval consacré à l'entrée des Lavallois... dans le XXe siècle avec les événements qui se trouvaient narrés dans la presse du 1er janvier 1901...  Le mois d'après je fête un anniversaire : les 130 ans de la victoire française de Saint-Mélaine contre les troupes prussiennes... Dans le n° 59, je narre la construction de la zup-Saint-Nicolas car en novembre 2000, rasés par une pelleteuse, deux « immeubles-barres » de la rue Victor ont disparu du quartier. Ce C'était Laval est aussi l’occasion de rendre un hommage mérité aux hommes du bâtiment qui, de 1967 à 1970, construisirent plusieurs centaines de logements selon un procédé inédit à Laval : « la préfabrication lourde ».

 Le 60e C’était Laval fut, lui, consacré aux réalisations municipales auxquelles participa un ancien adjoint de Francis Le Basser, Jacques de La Croix-de-Lorraine. Cet article fut pour moi l’occasion de remercier cet homme que l’histoire de Laval passionne et qui m’a toujours aimablement fourni de nombreux renseignements sur différents sujets que j’avais à traiter : le développement de l’aéroclub, le jumelage Laval-Norton… Les C'était Laval suivants concernèrent les deux verrières récemment restaurées de l'église Saint-Vénérand et le quartier de la Gare né dans les années folles.

Dans le numéro 63, les Lavallois découvrirent qui était Noémie Hamard et la "grande oeuvre" qui la fit sortir de l'anonymat (le couronnement, chaque année, d'une rosière). Dans le n°64 quelques récents noms de rue furent commentés (Roger Cailleté, Jean Cornevin, les Trois frères Gruau...). Le C'était Laval suivant fut consacré à Bernard Le Pecq  (photo) et me permit de rappeler la justesse des vues du grand historien Jacques Bainville et le rôle néfaste des communistes entre 1939 et 1941...

Compte tenu des critiques de l'opposition (qui n'aimait point qu'on cherchât des poux dans la tête des cocos), le numéro suivant, le dernier de l'année (décembre), concerna un sujet plus neutre et, avouons-le, plus plat : les moulins à eau de notre cité… Pour me faire "oublier", je m'abstins de le signer et l'opposition ne le critiqua point lors du conseil municipal suivant...