Vive le passé (C'était Laval !)

galeries.indusLe premier C'était Laval de l'année permet aux Lavallois qui l'ignoraient (99% de la population, je pense) d'apprendre que "le pianiste des rois" et "le roi des pianistes", Franz Liszt, était venu concerter chez nous en 1846, dans la salle de l'hôtel de ville et  y avait connu un flop ! D'autres sujets suivirent, écrits avec grand plaisir : L'Hôtel de Paris - quand icelui était tenu par la famille Pillon ; l'histoire - tragique mais superbe - des martyrs de Laval guillotinés en 1794 ; le patois mayennais (pour fêter le 25e anniversaire d'un ouvrage remarquable : Parlers et traditions) ; la vie de Michel Knindick ;  la guerre de 14 (avec un titre qui dut déplaire à un syndicat professionnel que je n'ai point besoin de citer : En route pour la boucherie de 14-18…) ; la vie d'un chouan passé à la postérité, Jambe d’argent le Palais de l'Industrie et les Galeries du même nom (photo), qui l'avaient précédé place de Hercé ; enfin, le numéro de décembre me permit d'évoquer le peintre-soldat Christian Poirier dont l'une des toiles avait illustré En route pour la boucherie de 14-18...