Vive le passé (C'était Laval)

bouttierLe numéro de janvier vit, pour la première fois, son C'était Laval revenir sur les événements de l'année passée, une "nouveauté" qui perdurera désormais dans chaque premier numéro de l'année. En février, C'était Laval évoque "les grandes heures de la section boxe " narrées grâce aux souvenirs transmis par un ancien champion local qui me prêta aussi moult photos de "collègues" ayant jadis pratiqué le noble art au Palais de l'industrie… Ce numéro, je l'ai remis en main propre à l’une de ces vieilles gloires qui coule des jours heureux dans le quartier de l’Epine. J'en ai aussi remis un à l’ancien buraliste qui tenait Avignon dans le temps…

Le C’était Laval suivant concerna, lui, le quartier de la Gare né dans les années folles ; celui d'après fit le point sur les nouveaux noms de rues récemment attribués (Francis Robin, Berthe Marcou, Emile Salmson... Sans oublier la Grèce que je choisis de présenter en citant Jean Daujat qui, dans La Face interne de l’Histoire, rappelle que ce pays a élaboré des valeurs humaines universelles sans lesquelles il ne peut y avoir de complet développement humain…) Le C'était Laval d'après ne fut guère excitant à écrire : il s'agissait d'évoquer la présence de notre patrimoine sur l’Internet (eh oui, un nouveau site venait de lui être consacré !) ainsi qu'une chasse au trésor organisée par le service Patrimoine…

Le n°71 évoque la vieille Entreprise des Trous Mayennais qui ont du sens car, sous la houlette de sa nouvelle présidente, cette vieille maison souhaite dépoussiérer son image un tantinet ringarde, passéiste et élitiste. Le sujet suivant narre l'histoire du lycée Ambroise Paré - superbe depuis sa récente et fort dispendieuse restauration aux frais du contribuable... - et cite quelques-uns de ses anciens élèves ayant brillé dans maints domaines : mairie de Laval (Boissel, Goupil, d’Aubert…), peinture (Henri Rousseau…), poésie (Jules Trohel), littérature (Jarry, Etiemble, Claude-Jean Launay…) 

Profitant de l'anniversaire du Stade Lavallois Omnisports (100 ans ça se fête !), le 73e  C’était Laval retrace l’épopée - inoubliable, forcément ! - de la 1ère division (1976-1989) . Dans le numéro d'après j'aborde nos chers bateaux-lavoirs aujourd'hui hors de l'eau (pour rénovation). Le numéro suivant revient, lui, sur les dernières plaques de rues attribuées à Georges Macé (un géographe disparu quelques années plus tôt) et au peintre-général Georges Lascroux... Enfin, le dernier  C’était Laval  fut consacré au fondateur du musée-école Adrien Bruneau et, histoire de tirer cet article vers le haut, accorda une page à la découverte du Beau vue par Jean Ousset...