CC du 21 novembre 2016 : Le Révérend Père Guillot, un DOB décevant, Marcel Gauchet...

Avant d'aborder le conseil communautaire d'hier soir, je voulais vous féliciter pour votre critique des affiches actuellement dans le centre-ville qui concernent la prévention des risques liés au "sexe entre hommes". Merci. Et merci à Ouest-France d'avoir passé mon bref communiqué écrit ni une ni deux dès que je suis tombé sur ces nombreuses affiches qui, entre nous soit dit, donnent de l'homosexualité une image plutôt... enfin, vous me comprenez... J'imagine aussi le "succès" que ces photos pourront avoir dans certains quartiers islamisés de notre "Douce France"... C'est sûr : avec une telle campagne, "l'homophobie" ne peut que reculer, voire disparaître...

Quel était ce communiqué ? "Au risque d'apparaître comme un "père la morale" je trouve la campagne de "protection du sexe entre hommes" qui s'affiche actuellement en centre-ville comme particulièrement déplacée et choquante. Contraire à ce qu'on nommait jadis les "bonnes moeurs" cette campagne - payée avec nos impôts ! - suscite la gêne voire la colère de nombreux parents car elle heurte la sensibilité des enfants, lesquels n'ont pas à subir la propagande homosexualiste menée par le Gouvernement. Prévenir certains maux, faire de la prévention, oui ! Afficher des images qui doivent rester dans le domaine de l'intimité, non ! "

En revanche, vous n'avez rien dit de la campagne contre le racisme anti-noir, elle aussi actuellement sur nos "écrans Decaux" avec une citation d'un Sénégalais que vous appréciez, Léopold Sédar Senghor... Non et pourtant elle m'irrite également ! Mais je ne peux pas passer mon temps à tout critiquer non plus ! Même si je commence à en avoir ras le carafon de recevoir des leçons de morale à trois sous 365 jours par an ! J'espère qu'un jour proche tout cela changera et que les blancs hétérosexuels, de souche européenne, de religion chrétienne, non drogués, attachés aux valeurs familiales et nationales qui ont construit notre civilisation, etc. redeviendront eux-mêmes - à savoir les dignes descendants de leurs ancêtres - et enverront promener tous les "intouchables" de notre sinistre époque... Marre de cette propagande qui vise à nous faire ramper devant le premier étranger venu !

Revenons au conseil communautaire d'hier soir qui s'est réuni pour évoquer plusieurs sujets dont le traditionnel DOB, le Débat d'Orientation Budgétaire, lequel vous a de nouveau déçu. Oui car les impôts ne baisseront pas, même de quelques centimes d'euro, ce qui décevra fortement les artisans, commerçants, entrepreneurs et auto-entrepreneurs, en clair tous ceux qui font tourner la boutique, comme on dit. Et qui en ont marre de payer autant d'impôts et de taxes diverses et variées. Je pense à ces deux sigles de malheur, qui occasionnent bien des tourments à nombre de chefs d'entreprises : la CFE (Cotisation Foncière Economique) et la CVAE (Cotisation à la Valeur Ajoutée des Entreprises). 

Vous avez également parlé du sentiment d'injustice et de ras-le-bol qu'une telle stabilité procurera. Oui car les Lavallois, comme tous les Français qui ont encore un peu de jugeote, de bon sens, ont compris qu'il y avait toujours de l'argent public pour soigner aux petits oignons certaines populations qui, pourtant, ne devraient rien recevoir de la France... sinon un billet d'avion ou de train pour rentrer dans leur pays !

Vous avez de nouveau évoqué les 37 "migrants" que la Ville loge au frais de la princesse à Thévalles. Oui, cet hébergement est scandaleux car injustifié et dangereux. On sait en effet  - par Médecins sans Frontières - que ces envahisseurs sont moins de 13 % à fuir la guerre dans leur pays ! On sait également - par le ministre de la Défense cette fois - qu'un certain nombre d'entre eux sont des terroristes ! En clair, nos politiques, tout à leur "grand remplacement de population" souhaité par les instances internationales (ONU, UE...), sont en train d'organiser sous nos yeux la mort de notre peuple. Et, plus grave, la mort de nos enfants...  C'est d'autant plus intolérable que nous ne trouvons aucun moyen de combattre efficacement cet assassinat mené par les gauchistes du Gouvernement alliés à la grande finance apatride.

Qu'avez-vous dit d'autre ? Que les gens qui souhaitent développer des activités dans ce pays sont de plus en plus découragés par l'importance des taxes et impôts ! Lesquels, chaque année, suscitent des déprimes voire des suicides... Je connais des commerçants qui envisagent de mettre la clé sous la porte car ils en ont marre de travailler pour les autres, et principalement pour les élus... En France, ai-je signalé, il est préférable d'être un planqué ou un profiteur du Système plutôt qu'un de ceux qui le font vivre en s'échinant parfois plus de 70 heures par semaine ! C'est pour ça qu'il y a tant de candidats sans convictions à se présenter aux élections qui peuvent être de vraies mannes financières pour l'heureux gagnant ! La place est bonne, très bonne même quand on grimpe dans les hautes sphères...

Cette description d'une des causes du malheur des Français est inquiétante mais les politiques s'en moquent, ne comprennent pas, même quand ils ont été de l'autre côté de la barrière ! Vous pensez à MM. Zocchetto et à Richefou qui ont fait leurs preuves dans le privé ?

Oui. Il est évident que je ne pense pas à "l'ami Guillaume" qui, depuis qu'il a quitté l'école, n'a vécu que grâce à l'argent public. A propos d'argent public, on m'a également dit que vous avez évoqué les mesures zocchettiennes qui ne passent pas auprès des fonctionnaires municipaux. Oui car Boyer a lancé le débat juste après la délibération concernant le "schéma de mutualisation". Il a voulu nous faire pleurer sur le sort des municipaux alors qu'il fut la bête noire des syndicats en général et de F.O. en particulier quand il était maire de Laval ! J'ai d'ailleurs rappelé que, pendant la campagne des municipales, en mars 2014, le candidat que j'étais se "fournissait" en critiques anti-Boyer principalement sur le site du syndicat susnommé...  

Qu'avez-vous dit sur le sujet ? Que la polémique concernant la réorganisation du temps de travail du personnel municipal ne peut atteindre que ceux qui sont concernés par celle-ci. Pour nombre de Lavallois, y compris pour ceux qui ont des amis chez les Municipaux, avoir un travail à vie est aujourd'hui un luxe. Oh, je sais que je ne me ferai pas de nouveaux amis en disant cela mais c'est une vérité. La preuve ? Beaucoup de Lavallois sont prêts, et dès demain s'il le faut, à remplacer ceux qui se plaignent aujourd'hui...

Tout cela est vrai ! Certes, ai-je poursuivi, l'homme est ainsi fait qu'il n'aime guère subir quelques désagréments concernant sa vie professionnelle mais enfin, il faut raison garder : la France est en faillite et traverse une crise migratoire et sociétale qui risque de lui être fatale dans quelques mois, quelques années, il convient donc de garder son sang froid et de relativiser certaines mises à jour. Et aussi de supprimer de son vocabulaire une expression qui aurait suscité la colère des "Grands Ancêtres" que tant d'élus syndicaux idolâtrent : "avantages acquis". Car il n'y a plus d'avantages acquis... dans le monde qui est le nôtre ! Un monde que nombre de fonctionnaires ont aidé - hélas - à faire éclore en 1992, en votant pour Maastricht, ce funeste traité que Mitterrand nous a légué avant de tirer sa révérence... Et maintenant ces électeurs-là viennent se plaindre parce que le Système international qu'ils ont aidé à mettre en place vient les titiller sur certains petits avantages - mais sans toutefois remettre en cause ce que d'aucuns commencent à leur contester, à savoir leur travail à vie.

A ce sujet, on m'a dit que vous aviez lourdement insisté sur cette expression, comme si elle vous fascinait... Oui, j'ai souligné plusieurs fois l'expression avec une voix forte. Vous connaissez ma situation économique misérable, je ne peux tout de même pas m'effondrer quand des gens qui détiennent cet "avantage acquis" (le travail à vie) se plaignent d'une réorganisation de leur emploi du temps "recommandée" de surcroît par la Cour des Comptes, que d'aucuns aiment par ailleurs vanter quand ses remarques concernent des sujets qui les arrangent... Je ne ne suis pas un politicien qui court après un électorat, je ne m'appelle pas Jean-Christophe Boyer...  

Mais évidemment, vous vous en prenez à un Système pas à Pierre, Paul, Jacques... Bien sûr ! Je ne suis pas pour la suppression des fonctionnaires car certains postes ne peuvent être envisagés que dans le cadre du service public. De plus, il y a de nombreux professionnels de qualité à la Ville de Laval et j'en connais plus d'un ! Mais le contexte actuel, la misère galopante (je parle de celle qui concerne les Français de souche et assimilés), le chômage qui détruit les équilibres familiaux, le déclassement, etc. ont pris et prennent de telles proportions qu'il faut bien réfléchir avant d'aller se lamenter sur son sort dans la rue... surtout si on a la chance d'occuper un travail qui n'est pas soumis à la concurrence infernale du Nouvel Ordre Mondial... Ne jouons pas aux enfants gâtés, nous n'en avons plus les moyens...

La gauche a-t-elle riposté ? Nenni ! La gauche m'ignore depuis toujours. Jamais elle ne répond à mes interventions, sauf quand j'évoque l'africanisation (encore accélérée ces temps derniers) de la Ville où, dans ce cas précis, elle m'accuse systématiquement d'être un raciste de compétition, un cousin de "Tonton Adolf". Sans succès d'ailleurs. Le disque est usé... Il est vrai que plus faux cul qu'elle dans le domaine de la morale, tu ne trouves pas ! On connaît son refrain depuis toujours : "Faites ce que je dis, ne faites pas ce que je fais !" Je le connais par coeur ce refrain et ce, depuis que j'ai l'âge de raison... En fait, j'ai toujours pris les socialistes pour ce qu'ils étaient : des tartuffes...

Aurélien Guillot, lui, vous répond le plus souvent, j'en ai été témoin à chaque fois que je suis venu au conseil. Vous avez raison. Mais c'est l'exception qui confirme la règle...

On m'a dit qu'hier soir, avant d'évoquer la réorganisation à la mairie, vous aviez eu un petit accrochage avec ce "coco de service" que vous trouvez plutôt sympathique et que vous appelez parfois "Révérend Père Guillot". Oui car il m'a fait une fois la morale un soir de conseil municipal en me citant je ne sais plus quel passage de l'Evangile de je ne sais plus quel apôtre... Car Monsieur Guillot, il faut le savoir, a un coeur plus vaste que l'ancien territoire de feu l'URSS ! et tient toujours à le faire savoir - lourdement, le plus souvent - lors de chaque conseil. Hier, je lui ai (re)dit ses quatre vérités car celui-ci avait de nouveau critiqué certaines grosses subventions offertes à certaines grosses entreprises locales ("vos amies du Medef", comme il aime à le rappeler à chaque fois au Président Zocchetto, alors que le Medef que Guillot abhorre - c'est son droit - est tout autant internationaliste que le Parti Communiste, soit dit en passant !). Je n'ai donc pas résisté au plaisir de lui citer l'un de mes proverbes africains préférés : "Quand le singe monte à l'arbre il faut qu'il ait le cul propre."

Que voulez-vous dire ? Que le Révérend Père Guillot est bien mal placé pour critiquer les subventions d'argent public car son journal, L'Humanité, ce torchon, ne vit que grâce à l'argent public ! Il m'a alors répondu que tous les journaux étaient dans ce cas... Ce qui m'a permis de démontrer qu'il mentait en lui citant les cas de Minute et Rivarol, mes deux hebdomadaires préférés qui, eux, ne reçoivent aucun kopeck d'argent public. Rien. Jamais. Alors qu'ils se prennent des amendes ! C'est d'ailleurs pour ça qu'ils sont libres, surtout le second, qui a fait de la liberté d'expression un dogme absolu.

On m'a dit aussi qu'il n'apprécie pas le surnom que vous lui donnez. Non, en bon athée qui se respecte, il ne l'aime pas, et à tenu à me le dire bruyamment. Et le Président de Laval Agglo m'a, dans la foulée, demandé d'appeler mes collègues par leur vrai nom... Il est vrai que j'avais déjà deux fois nommé ce dernier "Monsieur le Ministre", rapport au score "éblouissant" de son ami Fillon lors de la toute récente "primaire de la droite et du centre"...

Est-ce tout sur le sujet ? Non. J'ai demandé la parole pour dire qu'on offrirait moins de subventions aux entreprises si on leur prenait moins d'impôts à tous les étages ! Ce serait d'ailleurs la meilleure solution, celle que je mettrais en place si j'étais le dictateur de ce pays. Moins d'impôt, et aucune subvention ou alors, uniquement quand icelle se justifie pour sauver un bassin d'emploi menacé de disparition... Mais ça, Guillot ne peut le comprendre car s'il aime le golf (il nous l'a avoué un jour), il déteste les entrepreneurs, d'où qu'ils viennent et quoi qu'ils fassent ! C'est plus fort que lui...

Vous avez ensuite évoqué "l'accompagnement des communes dans l'exercice de leurs compétences" par Laval Agglo, accompagnement mis en place, suite à une demande des élus, "dans le cadre de l'élaboration du projet de territoire et du schéma de mutualisation". Cette intervention a fait sourire, m'a-t-on dit. Je l'ignore mais elle m'a permis de citer mon cher Philippe Muray, un écrivain qui a illuminé ma vie en me permettant de mieux comprendre certaines évolutions de notre sinistre temps et notamment ceci, que j'ai évoqué : quand le Système met en avant une chose, une idée ou une notion précises dans le monde actuel cela signifie tout simplement que cette chose, cette idée ou cette notion précises n'existent plus ! Ou sont en train de mourir...

Comment lui donner tort ?, ai-je poursuivi, quand on pense aux compétences communales que le Président Zocchetto souhaite développer car depuis la loi socialiste dite NOTRe ( Nouvelle Organisation Territoriale de la République), votée en juillet 2015, plus d'un an après les municipales 2014 soit dit en passant (bonjour le hold-up électoral !), depuis la loi NOTRe donc, on se demande bien quelles compétences il va rester aux communes !

Le développement économique et l'installation de nouvelles entreprises, c'est l'Agglo ! Le ramassage et la gestion des déchets, c'est l'Agglo ! Les bus, c'est l'Agglo ! Le tourisme, c'est l'Agglo ! Etc. Même chose pour l'urbanisme, à partir de mars 2017, et la gestion de l'eau, à partir de 2020 ! L'Agglo, toujours l'Agglo !

Que reste-t-il au maire, à part annoncer certains décès accidentels aux familles concernées, gérer l'état-civil, porter une belle écharpe tricolore, marier des couples ou des paires de personnes et, entre autres petites tâches, déposer des pots de fleurs pour décrocher le label des Villes et Villages fleuris ? Autrement dit : peu de choses !  

Dans ces conditions, pourquoi créer ce type d'accompagnement qui coûtera de l'argent aux communes ? Allez donc, Monsieur le Président (je m'adresse toujours à lui même si c'est l'un de ses sbires qui a lu la délibération), allez donc directement au bout de la logique du Nouvel Ordre Mondial ! Et retirez toutes les compétences aux communes ! Vous ferez ainsi des économies et pourrez réaliser plus vite le monde de demain, un monde atroce en vérité car exclusivement dirigé par une élite de technocrates à laquelle obéiront des élus de moins en moins en prise directe avec leurs électeurs...

C'est le monde imaginé par George Orwell dans "1984"... Disons qu'on y étouffera autant dans l'un que dans l'autre...

Rien à voir avec ce qu'on a connu jusqu'à une date récente ! C'est aussi ce que j'ai dit en terminant ainsi mon laïus :  

"Souvenez-vous de naguère, M. le Président, ce n'est pas si vieux, quand les électeurs élisaient comme maire le père Machin parce qu'il était intimement lié à son pays, à son "territoire" comme vous dites à tout bout de champ, parce qu'il avait des qualités humaines, l'expérience de la vie et aussi, parfois, une grande gueule pour se faire respecter et avouons-le, pour amuser la galerie avec une bonne saillie politiquement incorrecte qui ne suscitait aucune crise d'apoplexie, y compris dans les rangs de la gauche.. .

Maintenant, on choisit le technicien, le technocrate, celui qui connaît l'alinéa 4 du paragraphe 3 de la circulaire 14... Cela démontre que la politique devient de plus en plus ennuyeuse pour rester poli, M. le Président, avec des interdictions en veux-tu en voilà, des formations continues... et, maintenant, grâce à vous, des "accompagnements de communes dans l'exercice de leurs compétences"...

Ma conclusion est simple (et fera plaisir à mon collègue Guillot, situé non loin de moi... géographiquement, bien sûr ) : non à la toute puissance de la technique, oui à l'humain d'abord !"

Voilà une intervention fort intéressante et qui mériterait d'être reprise dans la presse locale... Vous rigolez ! Ce genre de sujet n'intéresse pas la presse car ce n'est pas vendeur. Vous connaissez le mot de Boris Vian ?

Lequel ? "N'importe quoi sauf la vérité. Il n'y a que ça qui ne se vend pas !"

Très juste ! Blague à part, savoir que nous sombrons dans le technocratisme servile n'est pas un sujet pour la presse. Jamais. D'ailleurs, elle applaudit toujours le moindre progrès technique, quel qu'il soit ! Elle pense comme les élites qui nous gouvernent que le changement est bon en soi, à commencer par celui qu'elles ne maîtrisent pas et qui s'impose à elles...

Je vous vois venir ! vous allez encore me parlez du progrès - ou plus exactement de l'idée de progrès évoquée avec beaucoup de justesse dans l'excellent (dernier ?) livre de Marcel Gauchet : "Comprendre le malheur français" (Stock). Oui, j'aimerais terminer notre entretien avec cette réflexion car je la trouve particulièrement intéressante...

Demande accordée ! Eh bien, cette idée de changement systématiquement bon en soi, "c'est tout ce qui leur reste de l'idée de progrès. Dans l'idée du progrès qu'un homme de la IIIe République pouvait entretenir, il y avait la vision lointaine mais assez précise d'un avenir meilleur, où les gens seraient plus éduqués, dans une société plus pacifiée, mieux organisée. Dans la conviction d'aujourd'hui, il ne reste plus que l'impérieux désir d'aller de l'avant sans savoir ce que cet avenir impliquera. C'est le discours du progrès sans le contenu du progrès." Et Marcel Gauchet de poursuivre : "Comment cela pourrait-il convaincre qui que ce soit d'un peu sensé ? L'idée de progrès a subi une métamorphose cancéreuse. Classiquement, le vecteur du progrès était la raison dans toutes ses dimensions. Désormais, elle se réduit au progrès technique des objets, des manières de faire. La cohérence qui associait à parts égales progrès humain et progrès matériel pour définir un niveau de civilisation a été perdue en route. L'idée de progrès a éclaté entre l'élargissement des droits, avancées techniques et augmentation des richesses, sans qu'on ne voie plus le tableau que composent ces éléments. Il en faut pas s'étonner que son pouvoir d'entraînement se soit sérieusement émoussé."

Très intéressant, très bien vu. Je relirai cet ouvrage prochainement. Bon, cher JCG, avez-vous autre chose à ajouter concernant ce conseil communautaire ? Non, rien. Le reste était longuet mais moins poussif que la fois d'avant.

Alors à la revoyure ! La semaine prochaine, sans doute, car il y aura conseil municipal lundi 28 novembre. Si Dieu le veut, j'y tiendrai mon rôle d'opposant de la droite nationale déçu - jusqu'à présent - de ne pas avoir de candidat de son bord à se présenter en 2017 à la Grande élection...

Nos lecteurs étant susceptibles de se fatiguer si nous continuons cet entretien, je vous propose de parler de tout cela dans quelques jours... Vous avez raison, à bientôt Bois-Renard et encore merci !