CM du 8 février 2016 : Une charte incomplète, Huon en poilu, Un règlement bidon...

JC Gruau, lors du conseil municipal du lundi 8 février dernier, l’équipe zocchettienne a longuement évoqué son PEL, autrement dit : son Projet d’Education Local, qui démontre que la Ville agit beaucoup dans le domaine éducatif… Oui, mais j’ai surtout apprécié que, par la voix du conseiller à la famille Jacques Phelippot, il soit clairement affirmé d’entrée de jeu que « la Ville ne se substituait pas aux parents », lesquels « restent les premiers éducateurs de leurs enfants ». C’est le genre de mise au point qui me réjouit, et qu’un Boyer ou un Garot ne sauraient émettre car ils pensent tous les deux que les enfants doivent être sous la coupe de l’Etat…

Force est de reconnaître que ce PEL mérite la plus grande des attentions car, comme son nom complet l’indique, il traite d’éducation et donc de l’avenir de nos enfants et petits-enfants, en clair de l’avenir de notre cité… et de notre « cher et vieux » pays. C’est exactement ce que j’ai dit avant de proposer à l’équipe municipale de l’améliorer, si j’ose dire, en corrigeant le tir dans quelques-uns des domaines évoqués. Car l’éducation, ce n’est un secret pour personne, est aujourd’hui bien mise à mal dans notre pays. Et ce tant par les Français eux-mêmes, qui divorcent à la pelle, que par le Gouvernement de gauche, qui ne sait plus quoi inventer pour éliminer notre culture gréco-latine, notre histoire nationale et notre langue à nulle autre pareille…

Que proposez-vous ? Que la Ville, en quelque sorte, entre en résistance contre le nivellement par le bas qui atteint actuellement de tels sommets de bêtise et d’inculture qu’on va bientôt finir par s’exprimer uniquement par des gestes violents et obscènes, ponctués de quelques onomatopées, un peu comme le faisaient nos lointains ancêtres préhistoriques. La préciosité fut brocardée à juste titre au XVIIe siècle mais il m’arrive de la regretter quand j’entends certains de mes contemporains « causer entre eux », comme on dit par chez nous…

Vous n’avez donné que deux exemples, je crois. Oui, deux seulement afin que le maire n’ait pas la tentation de me couper le micro une fois de plus car s’il aime - et sait - parler chiffres au conseil, tous les sujets dits de société l’agacent assez rapidement, surtout quand ils décrivent des maux bien réels du monde d’aujourd’hui, des maux que des milliers de Lavallois connaissent et subissent, des maux qu’un homme aussi riche et aussi occupé dans la vie professionnelle que lui ne peut pas concevoir…

Premier exemple ? Il concerne la rubrique « Famille et parentalité » en page 4 et tout spécialement les Assises que la Ville aura la bonne idée d’organiser dans les mois à venir. Je souhaite que ces Assises insistent tout particulièrement sur le fait que si les familles sont aussi différentes les unes des autres que les visages et les caractères de leurs membres, il n’existe qu’une forme de famille digne de ce nom, celle qui, grâce à la complémentarité des sexes, permet de produire du fruit selon un mode de fabrication, avouons-le, plutôt plaisant. En conclusion, j'ai rappelé ce qu'était chez nous la mission première d’une famille : « Il faut que les Français fassent des Français s’ils veulent rester des Français libres de penser, manger et s’habiller comme ils veulent. »

Second exemple ? Il concerne « l’Enfance », un sujet décrit en page 8 du PEL. « Les devoirs écrits » étant « proscrits par l’Education nationale » (c’est écrit noir sur blanc en page 9), il serait bon, ai-je dit, d’utiliser la coûteuse réforme des rythmes scolaires pour faire travailler nos chères têtes de moins en moins blondes… Mais attention ! je ne propose pas de les faire bosser dans le domaine du civisme gnangnan « tout le monde il est bon tout le monde il est gentil surtout s’il vient de loin », civisme destiné à faire avaler la pilule ô combien indigeste du « VivrEnsemble ». Non ! Je propose de les faire travailler dans deux disciplines qu’il convient de maîtriser un minimum si l’on veut prétendre être Français sans faire sourire…

Quelles sont ces disciplines ? Les grands événements de notre histoire nationale ainsi que les règles élémentaires de notre belle langue que la ministresse actuelle au regard de « suivez-moi jeune homme », Najat Belkacem, a décidé d’achever parce qu’elle serait trop difficile à ingurgiter pour les millions d’immigrés et de « migrants » à venir…

Votre conclusion sur ces propositions ? Il va de soi qu’en les mettant en place, la Ville de Laval, non seulement « gagnera » de meilleurs citoyens mais, en plus, se distinguera au sein des villes moyennes qui se contentent de regarder couler le navire de notre culture sans rien faire. J’ai également dit au maire qu’en agissant ainsi il aurait sans doute droit à d’excellents articles dans des journaux connus et réputés pour leur respect de la langue française, je pense à Minute et Rivarol…

Le maire a-t-il répondu à votre demande ? Non. Pas un mot. Manifestement cela ne l’intéresse pas d’améliorer le niveau culturel des petits Lavallois qui doivent fréquenter les écoles avec des animateurs payés par la Mairie…

Peut-être vous prend-t-il pour un demeuré ? C’est la question qu’il m’arrive de me poser quand je constate que 99% de mes remarques, pourtant pleines de bon sens, reçoivent, dans le meilleur des cas, des regards témoignant d’une profonde hébétude…

Reconnaissez que quand vous avez demandé que Pascal Huon, élu chargé des commémorations patriotiques, se déguisât en poilu pour fêter le centenaire de la bataille de Verdun, vous poussez un peu le bouchon, non ? Oui et non. Huon adore se déguiser en patriote et porte très bien la tenue militaire. Par l’accoutrement que j’ai suggéré qu'il adoptât pour la circonstance, il frapperait à coup sûr les jeunes Lavallois qui, je le dis en passant, n’ont jamais vu de soldats de leur vie car il n’y a plus de service militaire depuis Mathusalem ! On pourrait aussi lui demander de stationner de longues heures devant la boutique spécialisée dans l’épilation située rue du Carrefour-aux-Toiles…  

Revenons au conseil... J’allais vous le proposer.

Après avoir fort justement approuvé la nouvelle tarification des centres multi-accueils municipaux, vous avez critiqué la charte dite du « Bien Vivre Ensemble » que les parents et enfants concernés par les accueils de loisirs sans hébergements municipaux doivent absolument signer… Cette charte est un document qui, n’en doutons pas, intéressera les historiens chargés d’étudier demain la société française d’aujourd’hui – celle de 2016 - car elle témoigne, mieux qu’un gros volume, de la dégradation de ce que la Ville nomme – c’est la grande mode - le « Bien Vivre Ensemble », en attendant de l'appeler, je prends tous les paris, le « Très Bien Vivre Ensemble », variante du « VivrEnsemble », lequel tient désormais lieu de valeur universelle chez les politiques surpayés alors qu’il ne s’agit que d’une platitude !

Une platitude destinée à masquer l’impossibilité – de plus en plus manifeste - de « faire vivre ensemble » les différentes communautés que le Pouvoir a installées - et continue d’installer à marche forcée - au sein d’une société française à la dérive. Exactement !

Mais là n’est pas le sujet, revenons à la charte… Cette charte, il faut la lire pour le croire, se permet de demander aux jeunes de s’engager à appliquer des règles de politesse aussi basiques que celles consistant à dire « bonjour », « au revoir », « merci », « s’il te plaît »…

Non ? Si. Elle demande également aux jeunes de « savoir s’expliquer sans se bagarrer » !

Je ne vous crois pas ! Si !

Tout cela en dit long sur la dégénérescence de notre société ! Oui, car, au train où vont les choses, on demandera demain par écrit à la jeunesse de se torcher le derrière après avoir fait la « grosse commission » - pas celle de Bruxelles et de Monsieur Arthuis, qui nous tue ; celle de tous les jours, qui nous libère !

Sacré JCG, toujours prêt à lâcher les images qui frappent à défaut d'être romantiques ! En attendant, et après en avoir discuté avec certains « référents » qui opèrent hors Laval (je tiens à le préciser), il serait bon également, ai-je demandé au maire de Laval, de signaler dans cette charte qu’il est interdit de « roter et péter en public, et, surtout, de cracher un peu partout comme un joueur de foot » n’ayant point la classe de Monsieur Buzaré, lequel, hélas, était, lui aussi, absent ce soir-là.

Il conviendrait également de stipuler qu'il ne faut pas traiter les filles de « s… », de « p… » !Je l'ai également demandé au maire, juste avant, en conclusion, de lui reprocher de ne pas être assez sévère avec les gamins qui pratiquent l’impolitesse en toute impunité. Je pense qu’il convient de les exclure illico presto - et définitivement - s’ils refusent de respecter les règles élémentaires de la vie en société. Tolérance Zéro dans ce domaine. Sinon, le moindre accueil va vite devenir ingérable…   

Là encore, pour vous, la Ville doit se montrer plus ferme que l’Education qui, chacun le sait du côté droit, n’a rien de nationale ? C’est mon opinion et, comme disait l’autre, je la partage ! Les jeunes ont besoin de repères, plus que de libertés. A nous de leur en donner quand nous le pouvons... Il y a vraiment urgence !  

Vous avez ensuite critiqué une subvention accordée au Tennis Club du Bourny pour pérenniser un « emploi-tremplin » de moniteur de ping-pong… Oui, j’ai posé des questions sur une dépense d'argent public qui ne me paraît pas indispensable car elle revient à créer ni plus ni moins un poste de fonctionnaire supplémentaire… La France crève de ce genre de création qu’on ne peut plus ensuite supprimer... Je comprends qu’on ait tous envie de travailler aux frais de la Princesse Etatique – y compris en enseignant le tennis de table quand on raffole de ce sport ! - mais arrivera – et très bientôt - un moment où le contribuable ne pourra plus payer… Dans cette optique, on se doit de surveiller chaque nouvelle création de poste. Chaque euro public dépensé. Un élu se doit de veiller au grain...

Dans cette affaire, on m'a dit que vous aviez fait rire la galerie malgré vous… Oui, j’ai – paraît-il - parlé des « 200 salariés » du club au lieu des « 200 adhérents », ce que je voulais dire, évidemment. Car il faudrait vraiment avoir totalement perdu la boule pour imaginer qu’un club de tennis de table pût employer 200 salariés ! Mais il arrive que ma langue fourche…

Ce qui ne risque pas d’arriver aux opposants socialistes qu’on n’entend jamais ! C’est vrai ! Ils sont incroyablement silencieux depuis que Maître Doreau est parti et, comme lundi dernier, Claude Gourvil était absent... c'était particulièrement calme du côté gauche. Le silence des Tartares, comme dit l'autre. Mais revenons à ma petite bévue... qui aura, je l'ai appris, l'honneur de figurer dans le Ouest-France de samedi prochain, dans la rubrique humoristique ou prétendue telle dite, je crois, Y'a d'l'Ubu…

Les lecteurs de ce journal retiendront que vous confondez les mots… Que voulez-vous que je vous dise ? Les journalistes privilégient les propos qui leur semblent importants... Mais ceux qui s'intéressent de près à mes interventions municipales connaissent l'existence de nos entretiens et ne se privent pas de les lire avec une régularité qui m'interdit de me plaindre... Beaucoup de gens me suivent, vous savez... 

Juste après cette partie de ping-pong verbal, si j'ose dire, vous avez critiqué une subvention offerte au Théâtre de L’Echappée pour assurer des spectacles et autres animations concernant Germaine Tillion… Oui. Quand il a fallu approuver ce nom pour le donner à la nouvelle école située aux Pommeraies, j’ai donné mon accord considérant que cette femme méritait un coup d’éclairage pour la qualité de certains de ses écrits et son comportement pendant et après la Seconde Guerre mondiale. Qu’il y ait eu ensuite un spectacle la concernant pour l’inauguration, pourquoi pas ?

Et ce d’autant que la troupe de théâtre précitée avait déjà, si j’ose dire, creusé la question, planché sur le sujet. Oui. Maintenant, jouer les prolongations sur Germaine avec cette même troupe de théâtre et dépenser 14 000 euros d’argent public, je dis NON ! Tillion, c’est bon ! Arrêtons les frais et les manifestations ! J’aime bien Germaine mais enfin, ce n’est tout de même pas non plus un personnage qui mérite que, je cite la délibération, « les temps éducatifs sur sa personnalité se poursuivent ». Il y a quand même d’autres sujets d’étude, d’autres personnages historiques à découvrir ou à mieux connaître sur les bancs d'une école...

Vous avez raison… Vous allez me dire qu’elle a critiqué le nazisme. Qu’elle a connu l’enfer des camps de concentration. Tout cela est vrai ! Mais... 1°) elle ne fut pas la seule ; 2°) elle leur a – Dieu merci -  longuement survécu et 3°), last but not least, le nazisme est mort et enterré depuis plus de 70 printemps ! Et, à ma connaissance, ce n’est point de cet ISME que la France doit se protéger aujourd’hui...

J’allais vous le dire... Bref, la qualité du Théâtre de l’Echappée n’est pas en cause - je ne suis pas Monsieur Doreau - mais j’aimerais qu’on subventionnât cette troupe locale pour des spectacles traitant d’autres sujets que ceux ayant trait à la Seconde Guerre mondiale...

Enfin vint le grand sujet de ce conseil un tantinet tristounet : l’achat par la Ville du bâtiment du Crédit Foncier de France qui accueillera, dans le centre-ville, l’école de musique… C’est effectivement dans cet endroit pour le moins gigantesque (plus de 6 000 mètres carrés) que la Ville a décidé d’installer l’établissement que j’ai tant fréquenté avant de m’engager en politique avec le soutien du Front National…

Espérons que cette fois sera la bonne ? Oui car l’histoire du déménagement de l’Ecole de musique rebaptisée "conservatoire à rayonnement départemental" a débuté, comme vous le savez, à la fin du siècle dernier, sous d’Aubert Premier. Il était alors question d’installer cette institution lavalloise dans le « château neuf » - qu’on appelait à l’époque le Palais de justice - et une partie du Vieux-Château. Il y eut des critiques, il y eut des projets… puis changement de programme ! Les socialistes ayant pris la mairie, il a été rapidement question d’abandonner ce projet et d’installer l’école de musique dans les anciens locaux de l’hôpital – alias l’Hôtel Dieu - et de la maison de retraite Saint-Julien, sur le quai Paul-Boudet… Il y eut des critiques, il y eut des projets… Puis, de nouveau, changement de programme avec l’arrivée de François Zocchetto en mars 2014…

C’est désormais le grand, l’immense Crédit Foncier qui accueillera les musiciens et danseurs de la Ville. Oui, et je me réjouis que la Ville ait choisi un bâtiment qui appartient, lui aussi, au patrimoine architectural de notre cité. Un bâtiment que les Lavallois connaissent sans le connaître, comme on dit, car tous ou presque sont passés au moins une fois devant dans leur vie ! Oui, vraiment, je me réjouis car j'ai bien cru que la Ville allait, dans le quartier de la Gare, faire construire l'un de ces bâtiments modernes et sans âme qui privilégient systématiquement "l’optimisation des services" et la transparence de l’écorce. Au moins, là, en haut de la rue du Britais, avec le Crédit Foncier, on a affaire à de l’ancien, du massif, du Mussolinien…

C’est vrai que l’architecture de cette banque évoque un peu l’Italie de Benito… Espérons qu’elle ne suscitera pas de manifs du côté des antifascistes… [rires]

Maintenant, j’imagine que le début des travaux n’est pas pour demain et que la date d’ouverture aura sans doute lieu lors de la prochaine mandature… Ah, ça... On parle de l’année 2020, si tout va bien. Ce qui nous donnera le temps d’en reparler plusieurs fois entre nous.

Bon alors, terminons par la surprise du chef, si j’ose dire ou, plus exactement la mauvais surprise que Papa Zoc vous a, paraît-il, réservée... Le conseil dûment achevé, m'a-t-on raconté, le maire vous a annoncé qu'il avait décidé d’accorder la parole à l’élu communiste qui lui avait demandé de pouvoir donner son avis sur un sujet n'ayant rien à voir avec les affaires municipales ! , un sujet d'actualité, dans le vent : la "déchéance de nationalité" mais que, attention ! il vous était interdit d'émettre le moindre commentaire, la moindre remarque, la moindre critique sur les propos tenus par le coco  ! Eh oui, vous êtes parfaitement renseigné, cela s'est bien passé ainsi et j’ai été, je ne vous le cache pas, abasourdi par ce petit cadeau de Zocchetto au PC-F, cadeau que Ouest-France et Radio Mayenne ont passé sous silence lundi et mardi...

C’est contraire au règlement puisque les questions écrites ou orales qui interviennent à la fin d'une séance de conseil doivent impérativement avoir un lien avec les affaires municipales. C’est contraire au règlement et d'autant plus insupportable que ceux qui l'écoutent ne peuvent pas lui répondre...

C’est pour cela que vous avez quitté illico la séance et, pour une fois, sans élever la voix d'une façon tonitruante. Oui, je me suis contenté de dire tout de même assez haut pour être entendu : « Pas de débat, je m’en vais ! » Il est rare que je ne réponde pas présent quand je suis dans l'exercice de mon mandat municipal mais là, franchement, m’imposer un discours sans que je puisse répondre, c’est, je l'avoue, au-dessus de mes forces ! Que l'élu soit communiste ou centriste, peu m'importe ! C'est in-to-lé-ra-ble ! Je suis donc parti avant même que le jeune coco ouvre la bouche...

Je tiens à vous dire que j’ai beaucoup apprécié que vous ne cautionnassiez point cette faveur qui m’étonne beaucoup émanant de François Zocchetto. Je ne sais pas ce qu’il a voulu prouver en « violant », si j’ose dire, le règlement intérieur qu’il a lui-même pondu pour, je me permets de le dire, de le rappeler plutôt, m’empêcher de poser lors de chaque conseil certaines questions non inscrites à l’ordre du jour.

Bon, nous oublierons assez vite ce conseil où les absents étaient nombreux, y compris dans le public…. Je pense que d’aucuns, effectivement, avaient dû passer l’après-midi sur des pistes de ski… Mais là encore, le maire aurait dû y penser… En clair, il est dommage de convoquer un conseil municipal pendant les vacances de février…

Enfin, j’ai un peu l’impression que nombre de citoyens se moquent de toutes ces questions que vous soulevez comme de leur premier carambar… Que voulez-vous, il faut les comprendre ! Nous sommes dans un pays qui sombre à la vitesse grand V à cause des mauvaises actions menées par des politiciens qui préfèrent le fric, le pognon, la réussite sociale à la survie de leur pays… Beaucoup de Français sont démotivés, écoeurés, sidérés par l'irresponsabilité des élus. Certains, j'en connais, n’attendent plus qu’une chose : que ça pète une bonne fois pour toutes ! Ce qui ne saurait tarder avec la suicidaire politique d'immigration orchestrée par cette s... d'Union Européenne.

Ce sera le mot de la fin. Il me convient parfaitement n'ayant plus rien à ajouter en ce jour de mercredi des Cendres. A bientôt. A bientôt cher JC Gruau. Et encore merci pour le dynamisme dont vous faites montre au conseil, seul contre tous… Je ne fais que mon devoir d’opposant. Et vous connaissez le célèbre mot de Goethe.

Oui car vous me l'avez déjà cité plusieurs fois : "Il faut faire la plus petite chose de la façon la plus grande." Ah, quelle mémoire vous avez, Bois-Renard. A bientôt donc ! Et... bon carême à vous aussi !