Fatigue du sens (Millet) : l'islam en France

milletDans Fatigue du sens, un livre épatant que nous recommandons à chaque Français qui s'intéresse à l'avenir de son pays, Richard Millet évoque plusieurs thèmes que les grands Media ignorent complètement parce qu’ils sont aux mains de groupes financiers (pour la plupart) et aussi parce qu’ils craignent de se retrouver devant un tribunal.

L’islam, par exemple et son incompatibilité – chaque jour de plus en plus manifeste - avec notre culture française…

Voici, parmi vingt autres, six extraits à méditer…

 

«  L’islam n’est pas « la deuxième religion de France », comme le clame la Propagande ; il est la première religion étrangère sur le territoire de la Fille aînée de l’Eglise. »

p. 108

« Il est si évident que l’islam est incompatible avec l’Europe, tant par ses signes extérieurs que par le terrorisme auquel il donne naissance et qui est sans doute indissociable de son essence, qu’il faut toute la puissance du Droit et celle du Capitalisme international pour l’imposer aux anciennes nations chrétiennes, c’est-à-dire en intimidant leurs populations, celles-ci vivant dans la double terreur du juridique et du chantage islamique, l’un et l’autre échangeant leurs effets pour renforcer leurs convergences. »

p.37

«  Coup de téléphone de S. Elle vient enfin de parler à sa sœur, convertie à l’islam, mariée à un Egyptien déjà marié en Egypte, et vivant dans la nuit du niqab et dans le feu du fanatisme : la conversation n’a d’autre ressort que la haine vouée par la sœur à l’hérésie judéo-chrétienne et à l’Occident, me dit S. en larmes. »

p. 39

«  Dans le RER. Un barbu aux poils hérissés, la tête couverte d’un bonnet musulman et, pour le reste, vêtu de la tenue sportive d’un délinquant de banlieue. Il parle dans un iPhone avec l’accent maghrébin, dans un français truffé de formules arabes, pour la plupart religieuses. Qu’ai-je de commun avec cet individu ? Le mépris qu’il paraît vouer au monde occidental ? Pourquoi pas ! Le rapport à la religion ? Admettons-le, même si l’on peut raisonnablement se dire que de tels hommes rêvent de transformer la France en émirat. Pour le reste, évidemment rien, cet homme étant évidemment si antifrançais qu’un même passeport ne saurait nous lier, la nationalité ayant toujours été pour moi autre chose qu’une affaire juridique (…) »

p. 46

«  Il n’y a plus de coiffes bretonnes dans la froide nuit de Rennes, ni de voiles de religieuses ; on n’y rencontre que l’ombre de musulmanes enfoulardées, au regard plus inaccessible encore que celui des Japonaises, et hostile, ces femmes sachant qu’elles ne seront jamais bretonnes, ni même françaises, mais des ombres, de plus en plus nombreuses, que l’on regardera s’accroître comme la nuit, et ajoutant à la ruine de la province comme territoire où était conservée l’essence française, autre mythe balayé par la mondialisation : tout est province, les capitales n’étant plus élues qu’au gré des marchés financiers. »

p. 60