L'Affaire Le Pecq (Réaction)

le-pecq-jeuneEcrit dans le contexte d’une Marseillaise honteusement sifflée au Stade de France par des "Français de papier", l’article concernant l'exposition sur Bernard Le Pecq évoque la jeunesse sportive du futur Résistant ainsi que sa passion pour l’aviation. Dans mon paragraphe sur la guerre j’évoque « le sinistre pacte de non-agression entre l’Union Soviétique du "gentil" Staline (un "camarade" peu fréquentable mais qu’idolâtrent des milliers de Français et la fine fleur du gratin intellectuel parisien) et l’Allemagne d’un monstre prénommé Adolphe dont les comportements trahissent un état de démence avancée.

Conformément aux prévisions de Jacques Bainville, le grand historien de l’Action française, prévisions livrées dans un ouvrage paru en 1920 (Les conséquences politiques de la paix), les politiciens (verbeux) de la IIIe République sont incapables d’arrêter la marche vers la guerre… que l’Angleterre et la France déclarent à l’Allemagne le 3 septembre, deux jours après l’invasion de la Pologne par les Nazis. Rappelé le 26 août en activité dans l’armée de l’air, Bernard Le Pecq s’apprête à faire son devoir de pilote de chasse… »

Cet article se poursuit par les exploits de Le Pecq au-dessus du plancher des vaches, sa rencontre à Londres avec de Gaulle et Passy, son retour en France où il sera arrêté le 10 octobre 1943, sur dénonciation… Il s’évadera quelques jours plus tard mais, blessé par un coup de revolver, s’écroulera après avoir effectué 150 mètres… " Ainsi mourut Bernard Le Pecq dont l’amour de la France en fit à jamais un héros. Et dont la vie, dans quelques mois, fera l’objet d’une publication signée par l’un de ses admirateurs, Bertrand Pétoche…" En attendant, menée désormais par le très actif Guillaume Falot, l'opposition critique fortement mon article lors du conseil qui suit la distribution du Laval Infos dans les boîtes aux lettres... 

La suite, dans le livre…