Cher JCG la cour de cassation vous offre une 3ème saison dans l'affaire - ô combien grotesque - qui vous oppose au maire-adjoint de Laval Bruno Bertier depuis 2022. Cette cour vient en effet, le 17 juin dernier, de casser le jugement de la cour d'appel d'Angers qui vous avait entièrement blanchi en janvier 2024. Elle vient de le casser mais attention ! uniquement sur le volet civil car, au pénal, bravo très cher, vous avez définitivement gagné ! Quelle a été votre réaction quand vous avez pris connaissance de cette décision ?
Ne comptez pas sur moi pour vous la décrire par écrit ni devant un micro de journaleux cher ami, car nous vivons - et de plus en plus - dans une dictature de la pensée ; une dictature de la pensée politiquement correcte, de la pensée sexuellement correcte, de la pensée racialement correcte, de la pensée écologiquement correcte, de la pensée médicalement correcte, etc. Cette dictature a été progressivement mise en place par les réseaux mondialistes pour détruire sciemment notre vieux peuple français - celui qui existait il y a encore quelques années. Celui qui était clairement visible, identifiable, sur toutes nos vieilles photos de classes des années 60, 70, 80 et même encore 90 (pour certains pans du territoire français).
Je suis d'accord, j'ai ce genre de photos dans mes archives…
Cette dictature de la pensée permet également de nous transformer en zombies, en zombies métissés et accrochés à nos smartphones tout au long de la journée, en zombies multi-vaccinés, en lopettes incapables de penser par nous-mêmes et de défendre et de transmettre l'héritage de nos aïeux, blancs et catholiques pour l'immense majorité d'entre eux, et longtemps attachés à la famille qui porte des fruits. Ah, on ne mesurera sans doute jamais à quel point la déchristianisation et la déruralisation de notre cher et vieux pays nous plonge chaque jour davantage dans la fange…
Revenons, si vous le voulez bien, à ladite justice de notre pays en général et à l'affaire Bertier en particulier.
Je suis partant pour en dire quelques mots bien que, comme quantité de mes compatriotes de droite, je n'aie plus aucune confiance dans cette justice. Aucune. C'est pourquoi la décision concernant l'affaire Bertier rendue publique le 17 juin 2025 ne m'a pas indigné, ni même un tantinet surpris.
Certes, la cour d'Angers avait eu droit à tout mon respect en 2024. Car j'avais eu l'impression, pour une fois, d'être jugé par des êtres intelligents et ayant conservé le bon sens de leurs ancêtres. Mais cette intense satisfaction fut de courte durée - quelques heures à peine -, le temps pour Bruno Bertier (B.B. pour simplifier) et son avocate parisienne Caroline Mecary (oui : parisienne alors que c'est le contribuable lavallois qui paye les notes d'honoraires depuis 2022), le temps pour ces deux bobos qui n'auraient eu aucun crédit dans l'opinion il y a quarante ans, de saisir ni une ni deux la cour de cassation.
M'étant renseigné sur cette cour et aussi - ce n'est pas encore interdit par la loi - sur son président, je sus rapidement que B.B. aurait le dernier mot. Car la justice rendue par cette même cour (et aussi par les autres) est homosexualiste, à savoir qu'elle est systématiquement favorable aux homosexuels, aux invertis, aux sodomites, appelez-les comme vous le souhaitez mais, conseil d'ami, évitez toutefois d'employer un petit mot de quatre lettres jadis popularisé par Fernandel dans sa chanson On dit qu'il en est…
En clair, les homosexuels sont devenus des sortes « d'intouchables » dans la société d'aujourd'hui. Et malheur à quiconque ose dire la moindre chose désagréable les concernant...
Oui, je m'en étais rendu compte en visionnant Le Placard de Francis Veber avec Auteuil et Depardieu… Mais, si j'ai bien compris, le 17 juin dernier, B.B. n'a pas vraiment gagné…
Vous avez bien compris même si ce dernier fait le paon devant ses amis des merdias et du conseil municipal. Et d'aucuns, qui connaissent le droit, ajouteront même qu'il a connu une défaite - oui, une défaite - car il a perdu - et définitivement - au pénal.
Contrairement à ce qu'il souhaitait en son for intérieur, je ne risque plus de peine de prison (pour mes deux touites on ne peut plus anodins) ni d'être qualifié d'homophobe, cet adjectif dont la définition est pour le moins imprécise mais qui permet aux invertis d'avoir droit à des régimes de faveur par rapport à ceux - pourtant encore nombreux - qui s'obstinent à pratiquer la complémentarité des sexes dans leurs relations intimes…
Répétons-le : Bertier a perdu au pénal, ce qu'il a fallu que je me fasse expliquer. Car, contrairement à un grand nombre de membres de ma famille, je ne suis pas juriste pour deux sous…
Moi c'est pareil… Et je ne comprends toujours pas pourquoi cette affaire est encore en cours alors que vous avez gagné au pénal…
D'aucuns m'ont dit exactement la même chose : qu'ils ne comprenaient pas qu'il restât « une action au civil » alors que Bertier avait perdu au pénal. Ils m'ont même lu ce qu'ils ont trouvé sur l'internet concernant ce sujet :
« C'est l'adage le pénal tient le civil en l'état. Si pour le juge pénal, il n'y a pas d'infraction donc pas de faute pénale, il ne pourra pas non plus y avoir de faute civile devant le juge civil. Et inversement, si au contraire, il condamne au pénal, cette condamnation s'imposera au juge civil. »
Ces lignes m'ont bien plu, je l'avoue, mais quand je les ai montrées à mon avocat, ce dernier m'a affirmé qu'elles ne s'appliquaient point au nouveau droit de la presse…
Il peut donc y avoir du civil même si le pénal a été écarté…
Oui, et si vous comprenez quelque chose, merci de me prévenir rapidement.
Je comprends surtout que Bertier veut vous soutirer de l'argent, lui qui, manifestement, n'en manque point…
Et comment qu'il n'en manque point puisqu'il est à la fois premier-adjoint d'une commune de 50 000 habitants (2000 euros mensuels ?), vice-président d'une agglomération de 100 000 habitants (1400 euros ?) et conseiller départemental d'un canton de Laval (1200 euros ?), sans compter sa retraite…
La politique locale lui rapporte plus de 5 000 euros par mois ?
Possible ! Et scandaleux ! Comment voulez-vous que la France se développe économiquement avec autant de profiteurs du régime en exercice, autant de parasites qui pompent l'argent de ceux qui en gagnent ? La soupe est trop bonne, on ne s'en sortira jamais !
Et malgré cela il a trouvé le moyen de se faire payer ses frais d'avocat par le contribuable local !
Il paraît que c'est son droit ! Mais le plus scandaleux dans cette affaire c'est qu'il ait choisi une avocate de Paris, très connue et, partant, très coûteuse… La fameuse Mecary ! Une vedette du barreau mais que j'ai personnellement trouvé peu brillante quand j'ai assisté à sa plaidoirie à Angers. Vu le montant de ses honoraires, ça cassait pas trois pattes à un canard, c'était franchement médiocre...
Autre scandale, municipal celui-là : l'opposition lavalloise n'a point relevé le coût des honoraires de Mecary ! Combien cette mascarade a-t-elle coûté aux contribuables de notre cité ? D'aucuns aimeraient peut-être le savoir...
Pourtant, si je me souviens bien, Bertier a plusieurs fois annoncé dans la presse qu'il ne souhaitait pas faire de ce histoire une affaire d'argent…
Comment accorder le moindre crédit aux paroles d'un personnage qui a tant retourné sa veste, et dans tous les domaines ?
Dernière question : irez-vous à Poitiers en compagnie de votre frère avocat ?
Oui, bien sûr ! Nous irons à Poitiers - non pour y arrêter les Arabes comme le fit Charles Martel en 732 mais pour évoquer, une fois encore, le pourquoi du comment. La cause principale de mon indignation : le refus de voir nos impôts locaux utilisés pour propager des comportements « anti-famille » !
Nous irons dans la capitale du Poitou pour, de nouveau, retrouver ce B.B. qui, quand il était marié à la mère de ses enfants, a fait partie, et durant treize ans (1995-2008), des deux équipes municipales dirigées par un maire de droite, François d'Aubert, mon patron à l'époque (j'étais son journaliste municipal).
En 2008, ce même Bertier a osé nous trahir - honte à lui ! - et se présenter « contre nous » (et, partant, aider l'insignifiant Guillaume Garot à prendre la mairie de Laval) avant de disparaître en Bretagne pendant douze ans (2008-2020).
Bon débarras !
Oh que oui, douze ans de bonheur ! Mais B.B. est revenu sur la scène politique lavalloise en 2020, dans la garde rapprochée du jeune socialo-bobo Florian Bercault-Gruau (ayant épousé une jeune femme qui porte mon nom il se présentait ainsi au tout début de sa carrière politique. Pour gagner des voix de droite ?). Victorieux (merci, François Zocchetto !), le jeune Bercault-Gruau a fait de Bertier son maire-adjoint. Son maire-adjoint, ce qui n'est pas rien !
Ah, on peut dire que la trahison paye !
En politique, oui. Au Ciel, je ne pense pas.
C'est dire aussi à quel point il a le bras long…
Bien sûr ! Mais attention ! Le Bertier revenu en 2020 sur la scène politique lavalloise n'est plus celui des années 1995-2008. Il n'est plus un homme de droite ayant œuvré avec un maire de droite qui s'était opposé en 1997, comme nombre de maires de droite, au projet du Pacs en lequel il [d'Aubert] voyait une préfiguration du mariage homosexuel… sans que cette réaction ne choquât le B.B. de l'époque !
En 2020, le nouveau Bertier est marié à un homme - le mariage pour tous est passé par là -, à un homme influent dans les merdias locaux, un homme qui, lui aussi, a le bras long…
En mai 2022, en pleine campagne de propagande LGBT dans les rues du centre-ville de Laval, l'élu Bertier a osé parler - dans un tweet - de «dignité» pour je ne sais plus quelle raison liée à l'homosexualité. Comme si les homos étaient aujourd'hui mis sur la touche dans le domaine professionnel, politique, économique et social !
Hein, quoi ! Bertier qui parle de « dignité » !
Oui ! Et se prendre une leçon de morale par un traître de son acabit m'a conduit a balancé quelques tweets dont deux furent retenus contre bibi, me condamnant en première instance à six mois de prison avec sursis et 3 000 euros à offrir à deux périodiques homosexualistes !
Six mois de prison avec sursis, c'était délirant ! Quelle honte cette justice française !
Oui, et le tribunal de Laval s'est, pour moi, discrédité à vie.
Dieu merci, un an après, lequel tribunal se prenait une bonne leçon par la cour d'appel d'Angers…
Et le 17 juin, retour à l'actualité qui nous vaut notre entretien de ce jour, la cour de cassation décidait de nous envoyer à Poitiers…
Pour que la cour de cassation l'ait choisie, il s'agit certainement d'une cour d'appel homosexualiste…
Il y a de fortes chances. Mais nous ne le saurons vraiment que quand nous serons passés devant elle. Dans six mois ou dans un an, peut-être plus tard…Car Dieu sait quand cette affaire s'achèvera…
En attendant, pensons à autre chose car toute cette histoire est grotesque, ridicule, minable.
Vous avez raison mais elle a toutefois un grand intérêt, que je vous demande de méditer : elle décrit parfaitement quelles sont les priorités de l'Etat français d'aujourd'hui inféodé à l'Union Européenne. Il convient d'étouffer toute critique concernant les nouveaux maîtres mondialistes qui veulent nous imposer une façon de vivre qui, et je terminerai là-dessus, déplaît pourtant souverainement aux millions de musulmans qu'ils ont fait venir en France ces dernières années…
Une chose est certaine : si l'islam triomphe un jour en France, il vaudra mieux être à votre place qu'à celle de Bertier.
Joker.