Coup d'coeur du libraire n°13 : Francis Veber, Brigneau, De Corte, Villiers...

Cher JCG, votre coup d'cœur n°13 débute par l'évocation de la catastrophe que fut le concile dit pastoral «Vatican II» pour l'Eglise catholique. Curieusement vous traitez de ce sujet par des extraits d'un vieil article paru dans Itinéraire, Le Temple écroulé, du philosophe belge Marcel de Corte… Oui, j'ai trouvé intéressant d'aborder ce sujet qui était à la devanture des librairies de qualité au moment de mon entretien avec le Frère Thierry - juin 2021 - via deux ouvrages qui méritent plusieurs heures d'attention : Les apôtres du salut universel , écrit par le jeune Adrien Abauzit, théoricien fougueux et infatigable du sédévacantisme, et La Fin d'un monde, du politologue Patrick Buisson.

Ce qui est intéressant c'est que, déjà, certains penseurs avaient tout deviné il y a cinquante ans ou plus… Oui, c'est très troublant. Il y a aussi, concernant cette descente aux enfers de l'Eglise, les articles de Louis Salleron écrits à chaud, si l'on peut dire, pendant le Concile, articles que j'ai vantés dans un autre coup d'cœur dont j'ignore le millésime…

Ensuite vous continuez sur ce thème avec la lecture de quelques paragraphes du tout dernier Dernier cahier de François Brigneau, celui qui porte le titre Avant de prendre congé. Oui, cet écrivain hors pair qui n'avait pourtant pas la foi avait, lui aussi, tout compris. Il parle excellemment de la religion catholique et peut être considéré comme l'un de ses meilleurs défenseurs. Une chose est certaine, il avait une vénération pour l'Eglise…

Deux autres ouvrages se taillent la part du lion dans ce Coup d'cœur bien agréable : Le jour d'après, de Philippe de Villiers, un livre terrifiant car il décrit avec talent ce qu'il nous attend avec les mondialistes aux manettes de notre «cher et vieux pays»… Oui, Villiers n'invente rien et n'est pas le premier à évoquer ce qui risque de nous tomber dessus, loin s'en faut ! Une demi-douzaine d'auteurs taxés de «complotistes» nous ont mis en garde il y a de cela des années quand Villiers votait pour les politiciens qui ont servi les intérêts du mondialisme, il faut le dire mais il a une qualité que d'aucuns n'ont point, n'auront jamais : un style excellent (ses livres sont plaisants et se dévorent), et une aura, qui permettent de toucher un public bourgeois qui ne lira jamais Claire Séverac ni Serge Monast ni Pierre Hillard ni aucun de ceux qui sonnent le tocsin depuis des années sans avoir droit à aucune reconnaissance «merdiatique». Toutefois, quand il s'agit de dévoiler certaines vérités, l'union fait la force… Ycompris avec des gens qui ont eu de la m. dans les yeux pendant plusieurs dizaines d'années !

Dieu merci, l'autre ouvrage qui se taille la part du lion, et qui a droit à deux passages dans la même séance est drôle, fin, subtil, détendant… et permet d'oublier complètement toutes ces sombres histoires de Nouvel Ordre Mondial. Oui, il s'agit des mémoires d'un des plus grands noms du cinéma comique français, un scénariste et réalisateur exceptionnels : Francis Veber. Le père du Jouet, du Dîner de cons, du Jaguar, de la trilogie avec Depardieu et  Pierre Richard (La Chèvre, Les Compères, Les Fugitifs).  Cet ouvrage m'avait bien amusé quand je l'ai lu il y a de nombreuses années et j'ai eu envie de le relire dernièrement. Je ne le regrette pas car j'ai souri et ri au moins autant que la première fois.

Son titre ? Assez mauvais car je ne souhaite pas lui obéir : Que ça reste entre nous !

Ces choses dites, voici le lien qui vous permettra de passer un excellent moment :

https://santavox.com/le-coup-de-coeur-du-libraire-numero-13/

A bientôt, Bois-Renard ! A bientôt JCG...